| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1825 - 510 pages
...rue. Aussitôt que j'y fus , M. le prince m'y vint voir ; il étoit dans un état pitoyable : il avoit deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse étoit pleine de coups,... | |
| France - 1825 - 506 pages
...rue. Aussitôt que j'y fus , M. le prince m'y vint voir ; il étoit dans un état pitoyable : il avoit deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse étoit pleine de coups,... | |
| France - 1825 - 508 pages
...rue. Aussitôt que j'y fus , M. le prince m'y vint voir ; il étoit dans un état pitoyable : il avoit deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins de sang, quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse étoit pleine de coups ,... | |
| Jean de La Fontaine - 1827 - 620 pages
...Aussitôt que j'y fus, M. le Prince m'y vint voir; il étoit dans « un état pitoyable ; il avoit deux doigts de poussière sur le visage, « ses cheveux tout mêlés; son collet et sa chemise étoient pleins de « sang, quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse étoit pleine de « coups,... | |
| 1901 - 990 pages
...elle y monta : <• — Aussitôt que j'y fus, M. le Prince m'y vint voir; il était dans un étal pitoyable : il avait deux doigts de poussière sur...[cheveux tout mêlés; son collet et sa chemise étaient tout pleins de sang, quoiqu'il n'eût pas été blessé; sa cuirasse était toute pleine découpa,... | |
| A.J.C. Saint-Prosper Ainé - 1839 - 706 pages
...» était, » dit Mademoiselle dans ses Mémoires , « il était tout couvert de poussière et • de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa » cuirasse était pleine de coups , et il tenait » ton épée nue à la main , en ayant ]>erdu » le fourreau. » II Tondit en larmes en revoyant sa... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - France - 1840 - 646 pages
...le prince de Condé. « II m'y vint voir, dit-elle; il « étoit dans un état pitoyable; il avoit deux doigts « de poussière sur le visage ; ses cheveux tout « mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins « de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé; sa « cuirasse étoit pleine de coups,... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1840 - 648 pages
...prince de Condé. « Il m'y vint voir, dit-elle ; il « étoitdansun état pitoyable; il avoitdeux doigts « de poussière sur le visage; ses cheveux tout « mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins « de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa « cuirasse étoit pleine de coups,... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1840 - 648 pages
...de Condé. « II m'y vint voir, dit-elle; il « étoitdansun état pitoyable; il avoitdeux doigts ce de poussière sur le visage ; ses cheveux tout « mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins « de sang, quoiqu'il n'eût pas été blessé; sa « cuirasse étoit pleine de coups,... | |
| |