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CONSTANCE. Concile de Constance, t. I, p. 166. Histoire et appréciation des actes
de ce concile, ibid.; t. III, p. 188 à 195.

CONTRAINTE. La contrainte, proscrite par l'Église comme moyen de conversion,
t. II, p. 297.


DANTE. Le Dante, auteur du traité de Monarchia, t. III, p. 180. Sujet de ce

livre, ibid. Ne peut être accusé d'hétérodoxie intentionnelle, ibid.

DIACONAT. Troisième degré de la hiérarchie d'institution divine, t. I, p. 179.

Ses attributions, 224. Ses divisions, 227.

DIMISSOIRE. Origine, objet du dimissoire, t. I, p. 278. Par qui il est délivré,

ibid. Ses conditions, 285.

DOCTRINE. La doctrine de l'Église est la parole de Dieu, t. II, p. 213. De sa

transmission historique; ibid. Deux voies de transmission: tradition écrite et
tradition orale, 216. La tradition orale a précédé la tradition écrite et en est le
complément nécessaire, 220; le fondement, 221. Livres canoniques qui consti-
tuent la tradition écrite de la doctrine, 223. Avantages et inconvénients compa-
rés de ces deux traditions, 225. Interprètes de ces deux traditions, 226. Voy.
Église, Pères.

DROIT. Source du droit, t. I, p. 9. Droit divin et droit humain, ibid.
DROIT ECCLÉSIASTIQUE. Sa terminologie et ses divisions diverses, I, p. 9.
Objet de la science de ce droit, p. 11. Ses œuvres, sa méthode, ibid. Ses rapports
avec d'autres sciences, 16. Son importance pour le prêtre, le théologien et le
jurisconsulte, 17. Sciences auxiliaires du droit ecclésiastique, 19. Ses affinités
avec la loi ancienne, 21; avec le droit romain et le droit germanique, 22. Litté-
rature du droit ecclésiastique, 23. Ses auxiliaires littéraires, 24.

Systèmes divers du droit ecclésiastique, 29. Quelle doit être la base d'un sys-

tème rationnel de ce droit, 32. Système fondé sur cette base, 33. Il se déve-

loppe dans trois divisions principales, 36. Sources du droit ecclésiastique;

sources du droit général : 1o la révélation divine, t. III, p. 323; 2° la tradi-

tion, l'Écriture, les pères de l'Église (voy. Tradition, Écriture, Pères); 3o la loi

ancienne et la loi nouvelle, 334; 4° l'Evangile et les canons, 338; 5o la tradition

divine, apostolique, ecclésiastique, 339; 6° les constitutions des papes, 347.

Leur correspondance avec les évêques, ibid. Epistolæ a pari synodicæ, 355.

Bulles et brefs, 363. Conditions constitutives des bulles, 366; des brefs, 368.

Constitutions, 371. Rescrits, ibid. Différentes espèces de rescrits, ibid. Condi

tions requises pour la validité du rescrit, 373. 7° Décrets des conciles comme

source du droit ecclésiastique, 374. Collection des décrets des conciles, 377.

SOURCES du droit ecclésiastique particulier, 379: 1° ordonnances des évê-

ques, 380; 2° statuts capitulaires, 382; 3° règlements des diverses corpora-

tions, 384; 4° concordats, 385; 5° force obligatoire, 386. Mode de leur

promulgation, 387.

Droit non écrit ou coutumier, 389. Reconnu comme source par l'Eglise, ibid.

Origine de ce droit, 400. Droit coutumier romain, 405. Droit coutumier germa-
nique, ibid. Procédé de l'Eglise à l'égard de ces droits, 406. Droit coutumier
éclos dans la législation même de l'Église, 408. Caractère de ce droit, sa condi.
tion essentielle, 410. Différentes espèces de coutumes qui sont le fond du droit
coutumier de l'Église, 412. Diversité des coutumes, 417. Source de cette diver-

sité, 418. Ne porte pas atteinte à l'unité de l'Église, ibid. Coutumes déro-
geantes, ibid. Conditions canoniques de la force légale des coutumes, 421. La
coutume doit pouvoir invoquer la prescription, 428. Elle doit être raison-
nable, 435.

E

ÉCRITURE. Une des voies de transmission du droit ecclésiastique, t. 111, p. 324.
ÉCRITURE (Sainte). Langues diverses dans lesquelles les saintes Écritures ont
été composées, t. III, p. 331. Différentes versions qui en ont été faites, ibid.
L'Écriture sainte, voie de transmission de la doctrine révélée; voy. Doctrine.
ÉGLISE. Sens étymologique du mot Église, t. I, p. 4. L'Église, royaume du

Christ sur la terre, t. I, p. 5, 34. Ses divers types, 6. Définition de l'Église, 9.

L'Eglise, école de Jésus-Christ, 34; son temple, 35; fondée par Jésus-Christ, 37.

Ne pouvait l'être par aucune puissance humaine, 39. Fondée sur Pierre,
41.

Caractères de l'Église. L'Église, visible, 139; une, 143; sainte,[144; catho-

lique, 145; apostolique, 148; impérissable, ibid.; immuable, 149; infaillible, ibid.,

t. II, p. 226. Organes de cette infaillibilité, 229. (Voy. Pape.) Nécessaire, t. I,

p. 151; romaine, 152. A ce titre, possède toutes les propriétés de l'Église géné-

rale, ibid. L'Église est une monarchie, 146; un gouvernement hiérarchique,

178; se compose de deux états, 180.

L'Église, royaume de Dieu, t. II, p. 252. Comme telle, fin de la société hu-

maine, ibid. Sa préparation dans la société juive, 268; dans la société païenne,
275.

L'Église dans ses rapports avec l'humanité : 1o avec l'humanité en général,

283; 2° avec les infidèles, 291. Son autorité sur eux, ibid. Les convertit sans

contrainte, 297. 3o Avec les juifs, 304. Comment elle règle le commerce de ses

enfants avec les non baptisés, 313. 4° Avec les chrétiens: avec les chrétiens en

général, 321; avec les hérétiques et les schismatiques, 326.

L'Église dans ses rapports avec l'État, 334. En quoi consistent ces rapports :

1o d'après le droit divin, ibid. Ses membres, considérés comme sujets de l'État,

ibid. Le pouvoir de l'Etat considéré comme membre de l'Église, 348; devoirs de

la puissance temporelle, à ce titre, ibid. Institution divine, nécessité, distinc-

tion des deux puissances, 359. Nécessité de l'accord de ces deux puissances,

367. Heureux effet de cet accord, t. III, p. 82. Conditions de cet accord, 84.

Obligation pour l'un et l'autre de s'assister mutuellement, t. II, 374. En quoi

consiste cette assistance du côté de l'Etat, 375. En quoi consiste la distinction

des deux puissances, 382. Leur indépendance respective, 386. Choses spiri-

tuelles, temporelles et mixtes, et droits respectifs des deux puissances à cet

égard, 395. Ce qu'il faut précisément entendre par choses spirituelles, 404. In-

dépendance complète de l'Église sous ce rapport, ibid. Son indépendance dans

sa puissance législative et juridictionnelle, 414; t. III, p. 337. Du placet, t. II,

p. 419. De l'appel comme d'abus, 422. Droit de l'Église, 429: 1o aux personnes

qui lui sont nécessaires, ibid.; institution des séminaires et des corporations reli-

gieuses, 431; immunités de l'Église, 432; 2o aux choses qui lui sont nécessaires,

435. Son droit de propriété, 436. Base de ce droit, ibid. Droit d'administrer sa

propriété, 444. Crime de l'atteinte à la propriété de l'Église, 447; t. III, p. 135.

Immunité des biens de l'Église, t. II, p. 449. Position de l'Église vis-à-vis de

l'État, relativement à la prééminence, 450. De l'opinion qui subordonne l'Église

à l'Etat, 451. Prééminence de l'Église, 458. Subordination médiate de l'Etat à
l'égard du pouvoir spirituel, 460; t. III, p. 123. Subordination des dépositaires
du pouvoir temporel comme individus, t. II, 464; comme dépositaires du pou-
voir, ibid.; t. III, p. 85, 92, 106, 108, 142.

2o Rapports de l'Église vis-à-vis de l'Etat au point de vue du fait, t. II,

p. 475. 1° Vis-à-vis de l'État païen, ibid. Persécutions auxquelles elle est en

butte de sa part, 476. Raison providentielle de ces persécutions, 483. 2o Vis-à-vis

de l'empire romain après sa conversion au christianisme, 485. 3° Vis-à-vis des

empereurs grecs jusqu'à la restauration de l'empire d'Occident, 499. Causes de

cette restauration, 500. Origine de la souveraineté temporelle des papes, 510.

Légitimité et caractère de la restauration de l'empire d'Occident, 513; t. III,

p. 96, 106. 4° Vis-à-vis de l'État germanique, t. III, p. 1. Influence de son esprit

sur la constitution germanique, 2. Couronnement, l'un des éléments de cette

influence, 6. Sens, objet de cette cérémonie, ibid. Son origine, son cérémonial, 8.

Influence de l'Église sur le droit germanique, 14.Vindicte, 16. Paix de Dieu, 17.

Lieu de paix, 19. Jugement de Dieu, 20. Famille, 21. 5° Vis-à-vis des Carlovin-

giens, 23. C'est d'elle qu'ils tiennent la dignité impériale, ibid. Sa prééminence

reconnue par eux, 26. Sa doctrine et ses prérogatives, objet de leur respect et

de leur zèle, 28. Empiétement dont elle a à souffrir de leur part sous le rapport

du gouvernement, notamment sous celui de la collation des bénéfices, 30.

Leur législation, auxiliaire de celle de l'Eglise, 33. 6° Vis-à-vis des États après
la seconde restauration de l'empire d'Occident, 38. Serment prêté au pape par

les empereurs, 45. Querelle des investitures, 50. (Voy. Investitures.) Conflit des

papes avec les empereurs d'Allemagne, 64 à 116. Conflit avec Henri 11,

d'Angleterre, 119. Complicité de ce prince dans l'assassinat de Thomas Becket,

120. Intervention d'Innocent III, par la bulle Novit, dans le démêlé de Philippe-

Auguste et de Jean d'Angleterre, ibid. Conflit de Boniface VIII avec Philippe

le Bel, 129. (Voy. Boniface VIII.) 7° A l'époque de la résidence des papes en

France, 145. (Voy. Clément V.) Excommunication de Louis de Bavière, 167.

Le conflit, occasion de cette excommunication, continue sous Benoît XII

et sous Clément VI, 172. Hérésie des fratricelles, 174. Dangers qu'elle fait nattre

pour l'Église, 176. Schisme du quatorzième siècle, 185. Décadence de la disci-

pline de l'Église à cette époque néfaste, ibid., 194.Essai de réforme par le concile

de Constance, 195. Obstacle que rencontre cette réforme dans la résidence des

papes à Avignon et dans d'autres causes, 196. Résidence des papes en France,

l'une des causes du nationalisme, 193; par suite, du gallicanisme, 199. Exposé

de ce système, 200. Le gallicanisme enfante le fébronianisme, et se propage à

sa faveur, 218. Le fébronianisme accueilli en Autriche, 222. Position faite

à l'Église par le schisme et l'hérésie en Orient, 230; en Occident, 240; chez les

peuples de race germanique, ibid.; en Angleterre, 242; en Irlande, 247; en

Écosse, ibid.; chez les Scandinaves du nord, 248; en Allemagne, depuis la

paix religieuse d'Augsbourg, 250; depuis la paix de Westphalie, 276. Position

de l'Église vis-à-vis des États paritétistes, 285; des Etats indifférents, 296. Sa

position actuelle, 303; en Asie et en Afrique, 305; en Russie et en Pologne',

ibid. ; en Suède et en Danemark, 306; en Espagne, à Naples, en Sardaigne et

dans les provinces pontificales, ibid.; dans le reste de l'Italie, 307; en

Autriche, ibid.; en Suisse, ibid.; en France, 308; dans les Pays-Bas, 309;

en Angleterre, 310; dans les différents Etats d'Allemagne, 311.

ÉPISCOPAT. L'épiscopat est d'origine divine, t. I, p. 102. Gouverne l'Église de

Jésus-Christ, 105. Est infaillible, 109. Comprend nécessairement le pape comme

son centre et son chef, 117. Distinct de la prêtrise, 121. Forme le premier degré

de la hiérarchie d'institution divine, 179. Est un sacrement, 210. Renferme la

plénitude du sacerdoce, ibid. Constitue un ordre particulier, ibid. Est seul mi-

nistre de l'ordination, 232.

ÉTAT. L'État est d'institution divine, t. II, p. 336. Objet providentiel de son

institution, ibid. Son autorité, reconnue et consacrée par l'Église, 337; par Jé-

sus-Christ, ibid. Type et origine de l'État dans la famille, 256. Préparation au

royaume de Dieu dans ses diverses phases historiques, 252. Soumis, en un sens,

quel qu'il soit, à l'autorité de l'Église, 335. Devoirs particuliers de l'État chré-

tien, sous ce rapport, 351. Doit reconnaître l'existence distincte de l'Église, 359.

Doit l'harmoniser avec elle, 367; t. III, p. 82, 84; l'assister, t. II, p. 374; ne

pas porter atteinte à son indépendance dans l'ordre spirituel, 386; dans sa puis-

sance législative et juridictionnelle, 414; dans son droit aux personnes et aux

choses qui lui sont nécessaires, 429. (Voy. Église.) Sa subordination vis-à-vis de

l'Eglise, 450. Position historique ou de fait des différents États vis-à-vis de l'É-

glise, 475. Etal païen, ibid. Empire romain après sa conversion au christia-

nisme, après la chute de l'empire d'Occident, 485; jusqu'à la restauration de cet

empire, 499. État germanique, t. III, p. 1. État carlovingien, 28. Nouvel em.

pire d'Occident, 38. États du moyen âge, 75. États schismatiques et hérétiques,

230. États paritétistes, 366.

ÉVÊQUE. Les évêques, successeurs des apôtres, t. I, p. 102. D'institution di-

vine, ibid. Ne participent pas à toutes les prérogatives des apôtres, 106. Dans
quel sens ils sont leurs successeurs, 107. L'évêque de Rome, seul successeur d'un
apôtre, 108. Seul a autorité sur toute l'Église, 109. L'autorité de chacun des
autres évêques limitée à son troupeau respectif, 110. Cette limitation est en
principe d'institution divine, 111. Elle est fixée par le chef de l'Église, 117. Les
évêques, seuls successeurs des apôtres, 121. L'ordre des évêques, premier de-
gré de la hiérarchie sacrée, t. II, ch. 7. (Voy. Hiérarchie.)

EXARCHAT. Deuxième degré de l'ordre des évêques, t. II, p. 51. Sa haute an-
tiquité, 52. Ses attributions, ibid.

EXORCISTE. Office de l'exorciste, division du diaconat, t. I, p. 228. Ses attri-
butions, ibid.

F

FÉBRONIUS. Pseudonyme de Hontheim, auteur du fébronianisme. (Voy. ce mot.)
FÉBRONIANISME. Produit et renchérissement du gallicanisme, t. III, p. 218. Ses
principes, 219. Leurs conséquences, 220. Faveur que ce système trouve particu-
lièrement à la cour d'Autriche, où il enfante le joséphisme, 232.

G

GALLICANISME. Produit du protestantisme et du jansénisme, t. II, p. 199.
Schisme déguisé, 200. Trouve un auxiliaire dans les parlements, 201. En se don-
nant comme protecteur de la liberté de l'Église, la met sous le joug, ibid. En
quoi il fait consister les libertés de l'Église gallicane, 204. Différend de Louis XIV

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avec Innocent XI, ibid. Les quatre articles, 212. Bossuet, ibid. Le Gallicanisme,
propagé et développé par le Fébronianisme, 217.

H

Premier ordre, celui des évêques : l'organisation graduée de cet ordre, ori-

ginairement apostolique, 10 ...; ses diverses dénominations, 13. Subordonné
à la primauté du siége de Rome, 14 ... Influence des institutions juives et romai-
nes sur cette organisation, 18. L'ordre des évêques quadruple, 25. Premier de-

gré, patriarcal, 26; les trois patriarcats primitifs, fondés par Pierre, ibid....;

érection ultérieure des patriarcats de Constantinople et de Jérusalem, 38

(v. Patriarche). Deuxième degré de l'ordre des évêques : l'exarchat en

Orient, 51; la primatie en Occident, 55.... - Troisième degré : l'archiepiscopat,

61. — Quatrième degré : l'épiscopat ou les simples évêques, 73. Évêques suffra-

gants, 75; - exempts, ibid.; coadjuteurs, 76; chorévêques, 77; prælati
inferiores, 88. - Ordre de la prêtrise, 90; caractère de cette institution, ibid.;
degrés divers de la prêtrise, 91. Ordre du diaconat, 92; archidiaconat, ibid.
Hiérarchie, base de la préséance et de l'obéissance canonique (v. ces mots).

-

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