Collection universelle des mémoires particuliers relatifs à l'histoire de France, Volume 171786 - France |
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Common terms and phrases
adverty affaillir affembler affieger ainfi artillerie auffi avecques avecques luy avoient avoit avoit efté ayans ayant bataille Bayard Bellay Bourbon Capitaine caufe cefte cens hommes d'armes chafteau Charles chevaux chofes cofté compagnie Comte delibera desja devers devoient devoit Duc de Bourbon Duché de Milan dudit eftant eftoient eftoit eftre ennemis entrepriſe eſt étoit euffent faifoit fans fe retira fecours feit feroit feulement fix mille foldats fon armée Fontarabie fous François François Ier fuivant gendarmerie gens de pied gneur hommes de pied Imperiaux j'ay jufques L'Abbé Lambert l'armée l'Empereur l'ennemy ladite laiffa Lanfquenets Langey Lautrec ledit lefdits lefquels lieuës loger Louis XII maifon Marefchal de Foix Martin du Bellay Meffire mefme meit mille hommes Montmorency n'eftoit noftre armée paffage paffer Pape parquoy Picardie plufieurs Prince Profpere quatre cens refte riviere Roy d'Angleterre Royaume Royaume de Navarre Seigneur du Pontdormy Suiffes tefte Trimouille Vendofme Venitiens
Popular passages
Page 435 - ... madame, que j'ai vu les lansquenets mesurer la pique aux Suisses, la lance aux gendarmes, et ne dira-t-on plus que les gendarmes sont...
Page 432 - Suisses se logèrent bien près de nous, si près que n'y avoit qu'un fossé entre deux; toute la nuit demeurâmes le cul sur la selle, la lance au poing , l'armet à la tête , et nos lansquenets en ordre pour combattre; et pour ce que...
Page 308 - Bayar qu'il avoit grand pitié de luy , le voyant en cest estat, pour avoir esté si vertueux chevalier. Le capitaine Bayar lui feit response : « Monsieur, il n'ya point de pitié en moy , car » je meurs en homme de bien ; mais j'ay pitié » de vous , de vous veoir servir contre vostre » prince et vostre patrie et vostre serment.
Page 436 - Talmond est fort blessé, et vous veux encore assurer que mon frère le connétable et M. de Saint-Pol ont aussi bien rompu bois que gentilshommes de la compagnie quels qu'ils soient; et de ce j'en parle comme celui qui l'a vu, car ils ne s'épargnoient non plus que sangliers échauffés.
Page 170 - Croix, du costé de Milan, qui n'estoit pour l'heure que le faubourg ; le jeudy, jour ensuivant, ils battirent ladite porte et autres deffences ; le vendredy matin, mirent en batterie un grand nombre, tant de canons que doubles canons; dequoy ils firent telle diligence, qu'à midy il y eut breche de cinquante pas, à laquelle ils donnerent trois assaux, desquels ils furent repoussez, tant par la gendarmerie que par les gens de pied. Il...
Page 58 - Dieu, delibera d'aller loger le lendemain à deux mille de Milan, auquel lieu luy furent apportées les clefs de la ville ; mais il ne fut d'advis de si tost y entrer, par-ce que Maximilian Sforce, avecques quatre mille Suisses, estoit dedans le chasteau. Parquoy fut conclu que le Roy n'entreroit dedans la ville que le chasteau ne fust en son...
Page 172 - ... mesmes où ils avoient esté repoussez, et feirent leurs approches de la ville en plain midy, car les maisons du faubourg leur servoient de gabions; et assirent leur artillerie du costé du pont, où ils ne feirent grande breche pour ce jour; mais le capitaine Lucas y fut tué d'un coup de canon. Finablement les ennemis...
Page 86 - Et pour cest effect le seigneur d'Asparrot (i), frere du seigneur de Lautrec (pour la jeunesse dudit Henry qui ne pouvoit faire ladite entreprise), ayant levé jusques au nombre de cinq ou six mille Gascons , tant de ses païs qu'autres circonvoisins , et deux ou trois cens hommes d'armes des ordonnances du Roy, entra dedans ledit royaume de Navarre, lequel en moins de quinze jours fut remis en son obeissance.
Page 376 - Galliot, seigneur d'Acié, seneschal d'Armignac , grand maistre de l'artillerie de France, avoit logé son artillerie en lieu si avantageux pour nous, qu'au passage de leur armée, ils estoient contraints de courir à la file pour gaigner un vallon, afin de s'y mettre à couvert de ladite artillerie; car coup à coup ils faisoient des breches dedans leurs bataillons, de sorte que n'eussiez veu que bras et testes voler.
Page 118 - Roy, son souverain seigneur , de luy garder ladite place; ce qu'il avoit deliberé de faire. La response ouye , le comte de Nansau commanda d'approcher son camp de la ville; puis, ayant planté son artillerie aux lieux qu'il veit les plus commodes pour offencer les...