Le Consulat et l'Empire ou Histoire de la France et de Napoléon Bonaparte de 1799 à 1815, Volume 2 |
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... serait sujet à la visite ; que le droit de blocus ne s'appliquerait qu'aux places réellement bloquées ; que les propriétés ennemies seraient couvertes par le pavillon neutre ; que les marchandises neutres trouvées à bord des bâtiniens ...
... serait sujet à la visite ; que le droit de blocus ne s'appliquerait qu'aux places réellement bloquées ; que les propriétés ennemies seraient couvertes par le pavillon neutre ; que les marchandises neutres trouvées à bord des bâtiniens ...
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... serait la base d'une amitié durable entre les deux états . Le premier Consul répondit que les différends qui avaient existé étaient terminés ; qu'il n'en devait pas plus rester de traces que de démêlés de famille ; que les principes ...
... serait la base d'une amitié durable entre les deux états . Le premier Consul répondit que les différends qui avaient existé étaient terminés ; qu'il n'en devait pas plus rester de traces que de démêlés de famille ; que les principes ...
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... serait inutile , et lui rendrait désagréable l'exercice de fonctions qu'il regardait comme un fardeau , ré- solut de se retirer . Dès la fin de l'an vin , il avait donné sa démission . Elle ne fut point acceptée . Bonaparte lui répondit ...
... serait inutile , et lui rendrait désagréable l'exercice de fonctions qu'il regardait comme un fardeau , ré- solut de se retirer . Dès la fin de l'an vin , il avait donné sa démission . Elle ne fut point acceptée . Bonaparte lui répondit ...
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... serait possi- ble que les coupables fussent poursuivis , et que cette affaire vînt au tribunal , il voulait rester im- passible , du moins autant qu'il le pourrait . Le pre- mier Consul répondit : « Plût au ciel que depuis dix ans nos ...
... serait possi- ble que les coupables fussent poursuivis , et que cette affaire vînt au tribunal , il voulait rester im- passible , du moins autant qu'il le pourrait . Le pre- mier Consul répondit : « Plût au ciel que depuis dix ans nos ...
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... tenus de faire la promesse de fidélité à la constitution , d'après laquelle serait levé le séques- tre apposé sur leurs biens . Ils restaient en surveil- lance pendant la durée de la guerre , et un 26 HISTOIRE DE NAPOLEON BONAPARTE .
... tenus de faire la promesse de fidélité à la constitution , d'après laquelle serait levé le séques- tre apposé sur leurs biens . Ils restaient en surveil- lance pendant la durée de la guerre , et un 26 HISTOIRE DE NAPOLEON BONAPARTE .
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Common terms and phrases
Anglais armées arrêté avaient bataille d'Héliopolis bâtimens Bonaparte brumaire c'était cent chef Cisalpine citoyens civil clergé commandement concordat conseil d'état constitution convention corps Corps-Législatif cour de Rome culte Demerary départemens devait discussion donner Égypte émigrés ennemis envoya établi eût évêques constitutionnels floréal française fructidor fût Gantheaume général germinal gloire gouver gouvernement gration guerre Haute-Égypte Hawkesbury Joseph Bonaparte Kaire Kléber l'an vii l'Angleterre l'armée d'Orient l'église l'Égypte légat Législatif liberté lois lord Hawkesbury Malte Mamlouks Menou ment messidor mier Consul militaires mille hommes millions ministre n'avait n'était nation nationale négociations nement nivose ordonna pape Paul Ier peuple pluviose police politique Portalis porter pouvait préfets premier Consul présenter prêtres constitutionnels principes projet de loi public publique puissance religion République République batave reste révolution Reynier Russie s'était sénat sentimens serait seulement système thermidor tion traité d'Amiens traité de Lunéville tribunat tribune troupes vaisseaux vendémiaire ventose vernement voulait
Popular passages
Page 24 - Toutes conspirations et complots tendant » à troubler l'État par une guerre civile en » armant les citoyens les uns contre les » autres, ou contre l'exercice de l'autorité » légitime, seront punis de mort.
Page 187 - Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu'elle attend d'eux, avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l'unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges. D'après cette exhortation, s'ils se refusaient à ce sacrifice commandé par le bien de l'Église (refus néanmoins auquel Sa Sainteté ne s'attend...
Page 172 - Joseph Spina, archevêque de Corinthe, prélat domestique de Sa Sainteté, assistant du trône pontifical, et le père Caselli, théologien consultant de Sa Sainteté, pareillement munis de pleins pouvoirs en bonne et due forme ; Lesquels, après l'échange des pleins pouvoirs respectifs, ont arrêté la convention suivante...
Page 188 - Sa Sainteté, pour le bien de la paix et l'heureux rétablissement de la religion catholique, déclare que ni elle, ni ses successeurs, ne troubleront en aucune manière les acquéreurs des biens ecclésiastiques aliénés, et qu'en conséquence, la propriété de ces mêmes biens, les droits et revenus y attachés," demeureront incommutables entre leurs mains, ou celles de leurs ayants cause.
Page 473 - Ce n'est pas comme général que je gouverne , mais parce que la nation croit que j'ai les qualités civiles propres au gouvernement; si elle n'avait pas cette opinion, le gouvernement ne se soutiendrait pas.
Page 491 - II sera établi, dans une des places fortes de la République, une École spéciale militaire, destinée à enseigner à une portion des élèves sortis des Lycées les éléments de l'art de la guerre.
Page 327 - S'il reste encore des hommes que tourmente le besoin de haïr leurs concitoyens, ou qu'aigrisse le souvenir de leurs pertes, d'immenses contrées les attendent; qu'ils osent aller y chercher des richesses, et l'oubli de leurs infortunes et de leurs peines. Les regards de la patrie les y suivront; elle secondera leur courage: un jour, heureux de leurs travaux, ils reviendront dans son sein, dignes d'être citoyens d'un état libre, et corrigés du délire des persécutions.
Page 326 - Unissons aux efforts du gouvernement les efforts des citoyens pour enrichir, pour féconder toutes les parties de notre vaste territoire. Soyons le lien et l'exemple des peuples qui nous environnent. Que l'étranger, qu'un intérêt de curiosité attirera parmi nous, s'y arrête, attaché par le charme de nos mœurs, par le spectacle de notre union, de notre industrie et par l'attrait de nos jouissances ; qu'il s'en retourne dans sa patrie plus ami du nom français, plus instruit et meilleur.
Page 476 - On appelle cela des hochets; eh bien! c'est avec des hochets que l'on mène les hommes. Je ne dirais pas cela à une tribune; mais dans un conseil de sages et d'hommes d'état , on doit tout dire. Je ne crois pas que le peuple français aime la liberté, l'égalité; les Français ne sont point changés par dix ans de révolution; ils sont ce qu'étaient les Gaulois , fiers et légers.
Page 473 - Il ne faut pas raisonner des siècles de barbarie aux temps actuels. Nous sommes trente millions d'hommes réunis par les lumières, la propriété et le commerce. Trois ou quatre cent mille militaires ne sont rien auprès de cette masse. Outre que le général ne commande que par les qualités civiles , dès qu'il n'est plus en fonctions , il rentre dans l'ordre civil. Les soldats eux-mêmes ne sont que les enfants des citoyens. L'armée, c'est la nation. Si l'on...