Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 - France |
Common terms and phrases
agens amis aristocrates armée Arras arrêté avez avons Barrère bespierre Camille Desmoulins CANTON CANTON DE FIRMINY Chálier Charles Barbaroux ci-devant curé Ci-devant noble ci-devant vicaire citoyen Robespierre collègues Collot Collot-d'Herbois comité de salut comité de sûreté commissaire commission commune Commune-Affranchie conspirateurs Convention nationale coupables Couthon crime d'arrestation d'émigrés décret dénoncé département député dire écrit ennemis eût femme gouvernement guillotine heures hommes Idem indivisible j'ai jacobins jour juges justice l'an l'armée Lebon Legendre lettre liberté long-temps LOUIS LEGENDRE Lyon Maignet maison Maximilien Maximilien Robespierre membre du comité messidor mort parler patrie patriotes Payan PIÈCE INÉDITE président prêtres publique représentans représentant du peuple républicain révolution Robespierre l'aîné Ronsin rue Honoré Saint-Just Salut et fraternité salut public sang sans-culottes scélérats section sentimens serait seul Signé société populaire société Tussat sortir supplice sûreté générale Sylla talens Tallien tion toyens traîtres tribunal révolutionnaire tyrans Vadier vention voilà Vougy voulait
Popular passages
Page 316 - Convaincus qu'il n'ya d'innocent dans cette infâme cité que celui qui fut opprimé ou chargé de fers par les assassins du peuple, nous sommes en défiance contre les larmes du repentir ; rien ne peut désarmer notre sévérité.
Page 317 - On nose pas vous demander le rapport de votre premier décret sur l'anéantissement de la ville de Lyon , mais on n'a presque rien fait jusqu'ici pour l'exécuter. Les démolitions sont trop lentes , il faut des moyens plus rapides à l'impatience républicaine. L'explosion de la mine, etc., l'activité dévorante de la flamme peuvent seules...
Page 58 - Mais lorsque vous le recevrez , vous emploierez toute la vigilance qu'exige la nécessité de fuir un théâtre où vous devez bientôt paraître et disparaître pour la dernière fois. Il est inutile de vous rappeler toutes les raisons qui vous exposent ; car le dernier pas qui vient de vous mettre sur le sopha de la présidence, vous rapproche de...
Page 290 - Saint-Just écrit à loisir dans son bain, dans son boudoir; il médite pendant quinze jours mon assassinat; et moi je n'ai point où poser mon écritoire, je n'ai que quelques heures pour défendre ma vie.
Page 323 - Ce dont ilfaut s occuper , c'est DE LES LICENCIER, de les répandre avec précaution sur la surface de la République, en faisant pour cela les sacrifices que notre grande et généreuse nation est en état de faire. Ainsi DISSÉMINÉS et surveillés, ils suivront au moins le pas de ceux qui marcheront avant ou à côté d'eux.
Page 327 - La commission militaire a trop souvent employé à juger ceux contre lesquels elle n'a pas trouvé de preuves, et qu'elle a élargis, des momens dont chacun devait être un jugement terrible prononcé contre les coupables. Elle en a fait fusiller plusieurs. Le tribunal va plus ferme ; mais sa marche est lente : il a encore peu opéré.
Page 294 - Je viens à ce qui me concerne dans ce rapport. De mémoire d'homme, il n'ya pas d'exemple d'une aussi atroce calomnie que cette pièce. Et d'abord il n'ya personne dans la Convention qui ne sache que...
Page 57 - O le plus scélérat des hommes, vis encore quelques jours pour penser à moi ; dors pour rêver de moi ; que mon souvenir et ta frayeur soient le premier appareil de ton supplice! Adieu ...... Ce jour même, en te regardant, je vais jouir de ta terreur.
Page 306 - J'ignore qui vous regardez cpmme vos ennemis mortels , je ne les connais pas, et certainement je ne les reçois point chez moi en confiance, car je ne vois à ce titre que des citoyens dont l'intégrité m'est démontrée et qui n'ont d'ennemis que ceux du salut de la France. Rappelez-vous, monsieur, ce que je vous exprimais la dernière fois que j'ai eu l'honneur de vous voir : soutenir la constitution , la faire exécuter...
Page 315 - ... où furent établies ces redoutes exécrables qui vomissaient la mort sur l'armée républicaine. Ces grands exemples influeront sur les cités douteuses. Là , sont des hommes qui affectent une fausse et barbare sensibilité ; la nôtre est toute pour la patrie.