Dictionnaire historique de l'ancien langage françois, Volume 1 |
Common terms and phrases
Advoués ambles amende amour Anseis Athis avoient avoit Beauvoisis Bern Bigne Blois Borel c'étoit Cange Carpentier ceste Chans Charles VII chascun Chevalier chose Chron ci-après ci-dessus Cléomadès Cordel Cotgr Cotgrave Cout Coutume Denys désigner désignoit Dict disoit espèce Estienne estoit estre étoient étoit étym Eust extension Fabl faisoit Fauvel fém fief figuré François Froissart Gace Gaignat gén Gloss grant Guiart Hist ibid indic latin Laur Livres des Rois Loix Marot masc Mém Ménage Modus et Racio moult Mousk neuf Preux Nicot et Monet Nouv Orth orthographe parlant paroit Pasquier passage Percef plur Poës pourroit premier sens préposition prés Rabelais Rech Seigneur sens propre Serm seroit signification signifioit St Bern St Germ subj subsist subst substantif suivans suppl Trévoux ubi suprà VARIANTES Vatic verbe Vo col
Popular passages
Page ii - La Curne de Sainte-Palaye est auteur d'un Glossaire de l'ancienne langue française, « depuis son origine jusqu'au siècle de Louis XIV. « L'impression de ce beau travail, dont deux manuscrits existent à la Bibliothèque « nationale, l'un en 31 volumes in-folio, à deux colonnes, l'autre, plus complet, en 61
Page 422 - philosophe des Mœurs de ce siècle, a dit que « de tous les peuples, le François « est celui dont le caractère a dans tous les temps « éprouvé le moins d'altération. » Sa proposition est du moins vraie, relativement à la galanterie. On auroit pu comparer l'Académie Françoise, dans son origine,
Page 343 - (Livres des Rois, ms. des Cordel, fol. 4, R" col. 2.) Les nuances de cette acception sont très variées. C'est encore dans le sens de croître, qu'en parlant du vent, on disoit allever pour s'élever, souffler. Dès que la mort ce grand coup eut donné, Tous les plaisirs champestres s'assoupirent : Les petits vents alors n'ont
Page 276 - père et desjà se monstra fier et courageux et « principalement à tenir ordre, où il se délectoit « aigrement, monstranl qu'il estoit Prince. » (Mém. d'Ol. de la Marche, p. 70 et 71.) VARIANTES : AIGREMENT. Orth. subsist. - Vies des SS. MS. de Sorb, chiff. Lix, col. 1. - Cléomadès, MS. de Gaignat, fol. 37, V». Agrement. S
Page 147 - une autre grande Dame plus qu'elle, et luy louant « et exaltant ses beautez, elle luy dit après : non, « Madame, ce que je vous en dis, ce n'est point * pour vous adultérer, voulant dire adulater. • (Brantôme, D
Page 234 - devant le Roi. Le Comte de Foix dans une entrevue qu'il eut à Toulouse avec Charles VI, « pour honorer le Roy et non au« trui... s'agenouilla tout bas d'un genouil; et puis « se leva et passa avant : Et à la seconde fois il « s'agenouilla moult près du Roy. Le Roy le prit
Page 211 - que généraument, par tout nostre Royaume, « de tant comme il peut appartenir à nous et à nos « successeurs, telles Servitutes soient ramenées à « franchises, et à tous ceusqui de ourine
Page 186 - la foy du Roy ; et pour ce que le Roy « François en son affermement ne déposa pas au « gré du Chevalier demandeur, il se troubla ; et « cuida Philippe le fils entendre qu'en ses argus il « démentoit le Roy son père ; et en la présence du « Conseil d'Angleterre... il haussa le poing, et tel « coup donna au Chevalier, qu'il demeura tout
Page 240 - Aggripper sous Aggriffer ci-dessus.) Piller se dit des chiens qui se jettent sur les animaux ou sur les personnes. C'est en ce sens qu'aggripeur a signifié matin : (Voy. Borel, Diet.) le chien Cerbère dans les vers suivans : Aggripeur, subst. mase. Celui qui pille. Si ne faut pas demander si j'euz peur, Quand j'apperceuz un si fier
Page 464 - 2* Chose nuisible, mal moral, offense de fait ou de paroles, injustice, injure; généralement ce qui trouble l'ordre moral et le détruit, comme les passions, les vices et leurs effets. « Pour ce que malice « et tricherie est si porcreue entre l'umain lignage, « que les uns font souvent aux autres tort et anuy « et meffès en maintes manières...