Études historiques |
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Common terms and phrases
affaires amis anglaise Angleterre avaient Burke c'était caractère catholicisme catholiques cause cavaliers chambre des communes chambre des lords Charles Ier Charles Townshend chef chose classes cœur Colbert constitution devant Dieu écrivait ennemis esprit finances force fortune Fouquet gens George Grenville George III gouvernement guerre hommes idées institutions intérêts j'ai Jacques James Mackintosh jour l'Angleterre l'autorité l'Église l'esprit l'histoire l'opposition laisser Lamartine légitime lettre liberté Londres lord Bute lord Chatham lord North lord Rockingham lord Temple Louis XIV lutte Macaulay madame madame de Staël marquis de Rockingham Mazarin ment ministre mœurs morale n'avait n'était nation nationale noble parlement passé passions pays pensée personne peuple Pitt politique pouvait pouvoir royal premier prince prince Rupert principe d'autorité protestantisme protestants qu'un raison réforme révolution de 1688 révolution de février révolutionnaire royauté Rupert sentiment serait seul siècle sir James Mackintosh sociale société sorte Strafford têtes-rondes tion Walpole whigs Wilkes
Popular passages
Page 381 - que Dieu nous a confié ; nous devons le nourrir de » ce que nous trouvons de plus précieux. Il faut faire » entrer dans notre être tous les modes imaginables, » ouvrir toutes les portes de son âme à toutes les » sciences et à tous les sentiments ; pourvu que tout » cela n'entre pas pêle-mêle, il ya place pour tout
Page 292 - Sylvain, de ses deniers, a acquis de la naissance et un autre nom ; il est seigneur de la paroisse où ses aïeux payaient la taille ; il n'aurait pu autrefois entrer page chez Cléobule, et il est son gendre.
Page 315 - Point du tout, Monseigneur, répondirentils presque tous en même temps, ils se contentent de s'y promener et de regarder.
Page 9 - Je ne sais pas si les armes confiées à nos braves soldats seront toutes maniées par des mains prudentes; je le crois, je l'espère; mais si les baïonnettes viennent à déchirer la loi, si les fusils ont des balles, ce que je sais, messieurs, c'est que nous défendrons de nos voix d...
Page 324 - Paris ne lui reste pas , voyez Novion afin qu'on se hâte au parlement. Je sais que Montespan a menacé de voir sa femme, et, comme il en est capable, et que les suites seroient à craindre, je me repose encore sur vous pour qu'il ne paroisse pas.
Page 293 - PTS nous font sentir toutes les passions l'une après l'autre: l'on commence par le mépris, à cause de leur obscurité; on les envie ensuite, on les hait, on les craint, on les estime quelquefois, et on les respecte; l'on vit assez pour finir à leur égard par la compassion.
Page 272 - ... doit bien penser et faire souvent réflexion sur ce que sa naissance l'aurait fait être si Dieu n'avait pas béni mon travail et si ce travail n'avait pas été extrême...
Page 109 - Puis ayant dit mes petites prieres latines, je promets et atteste, devant Dieu et les hommes, que je sentois tout à coup venir une chaleur au cœur et aux membres, de sorte que je ne l'avois pas achevée que je ne me sentisse tout autre que quand je l'avois commencée : je ne sentois plus de peur, de façon que l'entendement me revenoit, et avec une grand promptitude et jugement je cognoissois tout ce qu'il me falloit faire , sans l'avoir jamais perdu en combat que je me sois trouvé. Combien...
Page 302 - Sévigné moins qu'une amante, plus qu'une amie, une providence invisible attachée aux mêmes chaînes que lui et prête à vivre de la même vie ou à mourir de la même mort. Le 19 décembre 1664 , au soir, elle écrit : « Louez Dieu, monsieur, et le remerciez! Notre » pauvre ami est sauvé. Je suis si aise que je suis » hors de moi... » Je mourrais de peur qu'un autre que moi vous » eût donné le plaisir d'apprendre la bonne nou
Page 318 - ... si longtemps inconnue en France , je crois qu'il est du service du Roi et même de votre gloire particulière que vous travailliez à surmonter la difficulté de cet esprit et à le rendre sociable , pour en tirer toutes les...