Histoire de Napoléon, Volume 3Furne, 1834 - France |
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Popular passages
Page 241 - N'oubliez jamais, dans quelque position que vous placent ma politique et l'intérêt de mon Empire , que vos premiers devoirs sont envers moi, vos seconds envers la France : tous vos autres devoirs, même ceux envers les peuples que je pourrais vous confier, ne viennent qu'après.
Page 14 - Je suis en ce moment à la recherche de ses complices pour approfondir ce plan de la plus noire scélératesse , et je ne veux pas perdre un seul moment pour en instruire VMI et R., en la priant de m'aider de ses lumières et de ses conseils., « Sur quoi je prie Dieu , mon bon frère , qu'il veuille avoir V, MI et R. en sa sainte et digne garde. « CHARLES. « A Saint-Laurent (del'Escurial), le 29 octobre 1807.
Page 38 - Madrid? exercerai-je l'acte d'un grand protectorat, en prononcant entre le père et le fils? Il me semble difficile de faire régner Charles IV : son gouvernement et son favori sont tellement dépopularisés, qu'ils ne se soutiendraient pas trois mois. « Ferdinand est l'ennemi de la France, c'est pour cela qu'on l'a fait roi ; le placer sur le trône sera servir les factions qui, depuis vingt-cinq ans, veulent l'anéantissement de la France. Une alliance de famille serait un faible lien.
Page 39 - ... civilisation de l'Europe , pour la soustraire au régime des favoris Vous direz aux magistrats et aux bourgeois des villes , aux gens éclairés , que l'Espagne a besoin de recréer la machine de son gouvernement, et qu'il lui faut des lois qui garantissent les citoyens de l'arbitraire et des usurpations de la féodalité, des...
Page 48 - Je ne suis point juge de ce qui s'est passé et de la conduite du prince de la Paix ; mais ce que je sais bien, c'est qu'il est dangereux pour les rois d'accoutumer les peuples à répandre du sang et à se faire justice...
Page 225 - France que le fondateur de cette quatrième dynastie vieillisse environné d'une descendance directe , qui soit notre garantie à tous, comme le gage de la gloire de la patrie. «Lorsque ma mère fut couronnée devant toute la nation, par les mains de son auguste époux, elle contracta l'obligation de sacrifier toutes ses affections aux intérêts de la France. Elle a rempli avec courage, noblesse et dignité ce premier des devoirs; son âme a été souvent attendrie en voyant en butte à de pénibles...
Page 236 - Je ne dois cependant pas dissimuler que j'éprouve une peine très vive en m'éloignant d'elle : je perds à la fois le bonheur et les lumières que je puisais chaque jour dans ses entretiens.
Page 40 - L'armée évitera toute rencontre, soit avec les corps de " l'armée espagnole, soit avec des détachemens : il ne faut " pas que d'aucun côté il soit brûlé une amorce. " Laissez Solano dépasser Badajoz, faites-le ' observer ; " donnez vous-même l'indication des marches de mon armée " pour la tenir toujours à une distance de plusieurs lieues " des corps espagnols. Si la guerre s'allumait, tout serait " perdu. " C'est à la politique et aux négociations qu'il appartient " de décider des...
Page 40 - J'ordonne que la discipline soit maintenue de la manière la plus sévère : point de grâce pour les plus petites fautes. L'on aura pour l'habitant les plus grands égards. L'on respectera principalement les églises et les couvents.
Page 289 - Russie est entraînée par la fatalité ; ses destins doivent s'accomplir. Nous croirait-elle donc dégénérés ? Ne serions-nous donc plus les soldats d'Austerlitz ? Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire. La seconde guerre de Pologne sera glorieuse aux armes françaises, comme la première.