Prenez garde qu'on ne vous séduise par les faux ANNALES CATHOLIQUES. TOME TRENTE-CINQUIÈME. Chaque vol. 7 francs et 8 francs franc de port. Chez Adrien LE CLERE, Imprimeur de N. S. P. le Pape et de M. DCCC. XXIIL. AP. 20 A52 TABLE v135 DU TRENTE-CINQUIÈME VOLUME. MANDEMENS des évêques pour le Carême. Pages 1, 23 et 73 Visite pastorale à Paris. Assemblées de charité. Missions en province. 8, 20, 37, 71, 132, 167, 180, 199, 263 et 293 9, 21, 37, 38, 51, 71, 82, 103, 168, 181, 200, 218, 281, 294, 295 et 324 10, 40, 233, 311, 326, 345, 363, 376 et 389 L'Apologétique de Tertullien; traduite par l'abbé Meunier. 17 Projets de construction au Mont-Valérien. Quêtes. 21, 181, 201 et 345 Sur l'église et sur l'affaire d'Espagne. Souscription. 22, 2li, 80, 105, 137, 219, 232, 310, 346 et 363 Lettres pastorales de prélats allemands. 24 Sur les Esquisses historiques de la révolution; par Dulaure. 30 Decem triduana sacerdotum exercitia. 31 41 Du rétablissement des études. Discours de l'abbé Guillon. 33 L'Expérience du jeune âge; par Mme. de Courval. 47 49 et 353 54 59 64 74 OEuvres de Fénélon, d'après les manuscrits originaux. 65 Notice sur le bienheureux André Grego. Examen des principales difficultés sur l'office divin; par Modèles du Clergé; par l'abbé Carron. De l'Influence de la Réformation; par M. Robelot. 81 84 90 et 123 96 97 104, 218, 229, 234 et 346. Notice sur l'abbé Barbier. Page 104 Installation de la nouvelle Faculté de médecine de Paris. 142 Conduite pour le temps pascal. Le nouveau Mois de Marie; Société biblique protestante de Paris. Sur le couvent du grand Saint-Bernard. Jugement rendu à Marseille contre des jeunes gens. Sur la théologie morale du bienheureux Liguori. Méthode pour abréger l'étude du latin. OEuvres complètes de Massillon. Tomes IV et V. Catéchisme, et autres ouvrages; par M. Couturier. 210 La Cène aux Tuileries; discours de M. l'évêque de Troyes. 214 Sur le concile national de Hongrie. Nomination d'évêques. Rétractation du serment à la constitution civile. Vie de M. de Juigné; par M. l'abbé Lambert. Consécration d'églises. Notice sur l'abbé de Latour. 319 Nouvelles Tusculanes; par M. Baillot-Saint-Martin. Motion de M. Plunkett pour les catholiques. Lettre sur l'Histoire universelle de M. de Ségur. 321 333 334 337 Discours de M. de Marcellus sur les frais de l'évêché de Mar 351 et 373 seille. Retraites à Saint-Lazare et à la Salpêtrière. 357, 371 et 404 Bref à M. l'archevêque de Bordeaux. 36r Sur les aumôniers pour la marine. 362 Mémoire sur le Zodiaque; par M. de Dalmas. 368 Thesaurus Patrum. Ier, volume. 369 Notice sur M. de Cambon. 375 Visite générale de la Martinique. 378 Fables politiques; par M. de Valmalete." 382 Essai analytique sur l'Histoire universelle; par M. Roche. 385 Quelques réflexions sur le budget; par M. de Bonald. 398 Bibliothèque sacrée; par Richard et Giraud. 399 Vie de Marie-Clotilde-Adélaïde-Xavier de France, reine de Fin de la Table du trente-cinquième volume. (Mercredi 12 février 1843.) (N". 888.) L'AMI DE LA RELIGION ET DU ROI Mandemens des évêques pour le Carême. Nous prenons plaisir tous les ans à montrer avec quel zèle les premiers pasteurs varient leurs instructions pour ce saint temps, défendent la discipline de l'Eglise contre les prétextes de l'orgueil ou de la sensualité, ou bien quelquefois profitent de cette occasion pour traiter des sujets généraux ou donner les conseils que leur sollicitude leur fait juger utiles. Nous citerons donc quelques passages des Mandemens qui nous sont parvenus. Nous avons déjà parlé de ceux de M. le cardinal de Clermont-Tonnerre et de M. l'archevêque de Paris. Mr. le grand-aumônier fait paroître également un Mandement pour les personnes soumises à sa juridiction. Le prince leur rappelle le grand mystère de la croix et les anciennes rigueurs de la penitence dans l'Eglise. Son langage est aussi noble que ses instructions sont salutaires; on en jugera par le passage suivant : « Ne dédaignons pas ces traditions de nos pères; interrogeons-les, pour y puiser les règles dont le mépris a cansé tant de pertes à la religion, tant de calamités publiques, tant d'infortunes particulières. Interrogeons-les, pour comprendre la nécessité de revenir sincèrement à dos règles aussi sacrées que la religion qui nous les prescrit. Eh! si nous avons, N. T. C. F., à bénir la Providence de quelque faveur, de quelque prospérité, ne le devons-nous pas à d'angustes exemples que la France admire, que la France est appelée à imiter? ne le devons-nous pas à d'autres exemples qui honorent la capitale, Tome XXXV. L'Ami de la Relig, et du Ro1. A |