Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page ix
... publique accusait , Billaud - Varenne qui , membre de la Commune , avait encouragé du geste et de la voix les meurtriers ; Marat , Tallien , n'eurent pas de peine à persuader à leurs collègues de résister avec force à l'admission de ...
... publique accusait , Billaud - Varenne qui , membre de la Commune , avait encouragé du geste et de la voix les meurtriers ; Marat , Tallien , n'eurent pas de peine à persuader à leurs collègues de résister avec force à l'admission de ...
Page x
... publique , lorsque la France menacée avait besoin de toute l'énergie de ses dé- fenseurs , pouvait - il être de soulever le voile qui couvrait ces scènes déplorables , et de diviser , par une procédure impolitique , l'attention des amis ...
... publique , lorsque la France menacée avait besoin de toute l'énergie de ses dé- fenseurs , pouvait - il être de soulever le voile qui couvrait ces scènes déplorables , et de diviser , par une procédure impolitique , l'attention des amis ...
Page xxiii
... publique qu'ils avaient soule- vée , ils reconnurent trop tard que le souvenir de leurs services était effacé par celui de leurs excès : il fallut bien se résoudre à résigner la puissance en d'autres mains . Il fallut même se préparer ...
... publique qu'ils avaient soule- vée , ils reconnurent trop tard que le souvenir de leurs services était effacé par celui de leurs excès : il fallut bien se résoudre à résigner la puissance en d'autres mains . Il fallut même se préparer ...
Page xxxiv
... publique , que parceque la plupart des grands emplois furent remplis par des conventionnels , devenus ministres , hommes de guerre , législateurs , magistrats . Et si l'on réfléchit que ces mêmes représentants du peuple dont les lois ...
... publique , que parceque la plupart des grands emplois furent remplis par des conventionnels , devenus ministres , hommes de guerre , législateurs , magistrats . Et si l'on réfléchit que ces mêmes représentants du peuple dont les lois ...
Page 1
... publique , et Matthieu que l'on révoque tous les pouvoirs ; Chalbot , Tallien s'y opposent ; Couthon veut que la Convention jure la souveraineté du peuple ; Bazire , qu'elle décrète la peine de mort contre quiconque oserait pro- poser ...
... publique , et Matthieu que l'on révoque tous les pouvoirs ; Chalbot , Tallien s'y opposent ; Couthon veut que la Convention jure la souveraineté du peuple ; Bazire , qu'elle décrète la peine de mort contre quiconque oserait pro- poser ...
Common terms and phrases
10 août accusé administrateurs agitateurs applaudit armées assemblée avez Barbaroux Buzot calomnie Cambon ci-devant citoyens comité de législation comité de surveillance commissaires commission des vingt-un commune confiance conseil-général conspirateurs convention nationale corps législatif coupables courage crimes Danton déclare décret d'accusation demande dénoncer départements députés despotisme devant dictature dire discussion doit émigrés ennemis envoyé fédérés force française général gouvernement guerre hommes inviolable j'ai Jean Debry jugement justice l'anarchie l'assemblée constituante l'assemblée législative l'inviolabilité l'ordre du jour Lasource liberté lois long-temps Louis XVI Louvet Marat membres ment mesures mille ministre de l'intérieur municipalité murmures nation Osselin parceque passe à l'ordre patrie patriotes peine de mort Pétion pétition présenter président principes projet de décret prononcer propose proposition publique punir question rapport représentants du peuple républicains république révolution Robespierre rois Roland royauté s'il salut public scélérats SÉANCE sections sera seront seul sûreté Tallien tion toyens traîtres tribunal tribune tyrans voix
Popular passages
Page 321 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Page 361 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 333 - Il ya dans les états • où l'on fait le plus de cas de la liberté des lois qui la vio»lent contre un...
Page 37 - Il est incontestable qu'il faut une loi vigoureuse contre ceux qui voudraient détruire la liberté publique. Eh bien ! portons-la, cette loi, portons une loi qui prononce la peine de mort contre quiconque se déclarerait en faveur de la dictature ou du triumvirat...
Page 10 - Eh! qu'est-il besoin de discuter quand tout le monde est d'accord ! Les rois sont dans l'ordre moral ce que les monstres sont dans l'ordre physique. Les cours sont l'atelier des crimes et la tanière des tyrans. L'histoire des rois est le martyrologe des nations.
Page 468 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.
Page 502 - ... parce que nous sommes sans entrailles pour les opprimés. Le procès à Louis XVI ! Mais qu'est-ce que ce procès , si ce n'est l'appel de l'insurrection à un tribunal ou à une assemblée quelconque? Quand un roi a été anéanti par le peuple, qui a le droit de le ressusciter pour en faire un nouveau prétexte de troubles et de rébellion?
Page 329 - Ce fut un assez beau spectacle, dans le siècle passé, de voir les efforts impuissants des Anglais pour établir parmi eux la démocratie.
Page 498 - Français, mettre une distance incommensurable entre le seul souvenir de ce qu'il fut, et la dignité d'un citoyen ; c'est précisément avoir trouvé le secret de le rendre encore dangereux à la liberté. Louis fut Roi, et la République est fondée ; la question fameuse qui vous occupe est décidée par ces seuls mots. Louis a été détrôné pour ses crimes; Louis dénonçait le peuple Français comme rebelle ; il a appelé, pour le...
Page 36 - Il existe, il est vrai, dans la députation de Paris un homme dont les opinions sont, pour le parti républicain, ce qu'étaient celles de Royou pour le parti aristocratique : c'est Marat.