À SON EXCELLENCE MONSIEUR LE DUC DE MORNY, PRÉSIDENT DU CORPS LÉGISLATIF. MON CHER PRÉSIDENT ET AMI, J'espère que vous voudrez bien accepter la dédicace d'un livre dont le but est de défendre les principes de liberté industrielle qui sont les vôtres et de combattre l'excès de réglementation dont vous avez toujours été l'adversaire. En prenant la plume, je me suis efforcé de servir du mieux qu'il m'a été possible la cause d'une grande industrie, l'industrie des mines, guidé par un seul sentiment, celui du bien public. Veuillez donc agréer cet amical hommage de votre dévoué collègue, EDOUARD DALLOZ. Novembre 1862. |