A quoi servent les parlements, 1815-1830, 1848-1870 |
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Edouard Boinvilliers. par la Révolution lui paraissaient menacer sa sécurité après le premier succès de 1814 , devait - elle désarmer ? après l'insuccès des Bourbons , devait - elle les imposer de nouveau à notre pays ? Toute la question ...
Edouard Boinvilliers. par la Révolution lui paraissaient menacer sa sécurité après le premier succès de 1814 , devait - elle désarmer ? après l'insuccès des Bourbons , devait - elle les imposer de nouveau à notre pays ? Toute la question ...
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... premier instant favorable , dès qu'il apercevrait un affaiblisse- ment de forces chez les puissances , ou un com- mencement de désunion entre elles , il se jette- rait sur l'Europe et la mettrait de nouveau à la chaîne . C'était là une ...
... premier instant favorable , dès qu'il apercevrait un affaiblisse- ment de forces chez les puissances , ou un com- mencement de désunion entre elles , il se jette- rait sur l'Europe et la mettrait de nouveau à la chaîne . C'était là une ...
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... premier scrutin pour la nomination des vice - présidents et des secrétaires donne les résultats suivants : sur 490 votants : Flaugergues 403 ; Dupont de l'Eure 279 ; Lafayette 257. Ces trois repré- sentants , ayant obtenu la majorité ...
... premier scrutin pour la nomination des vice - présidents et des secrétaires donne les résultats suivants : sur 490 votants : Flaugergues 403 ; Dupont de l'Eure 279 ; Lafayette 257. Ces trois repré- sentants , ayant obtenu la majorité ...
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... le prête de bien bon cœur , et je crois faire un acte éminemment français , car l'empereur est à mes yeux le premier représentant de la nation , le chef légitime et constitutionnel de l'État , le pre- mier 22 LES PARLEMENTS.
... le prête de bien bon cœur , et je crois faire un acte éminemment français , car l'empereur est à mes yeux le premier représentant de la nation , le chef légitime et constitutionnel de l'État , le pre- mier 22 LES PARLEMENTS.
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Edouard Boinvilliers. 20 juin . lement aux monarchistes peu enclins à laisser le premier rôle aux partisans de la branche aînée . Ils étaient bien peu nombreux à la Chambre , qu'ils dirigèrent , cependant , dans toute sa triste existence ...
Edouard Boinvilliers. 20 juin . lement aux monarchistes peu enclins à laisser le premier rôle aux partisans de la branche aînée . Ils étaient bien peu nombreux à la Chambre , qu'ils dirigèrent , cependant , dans toute sa triste existence ...
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A Quoi Servent Les Parlements, 1815, 1830, 1848, 1870, Par Edouard Boinvilliers Boinvilliers-E No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
22 juin abus d'influence allait alliés armée assemblée assurément avaient banquet Benjamin Constant Blücher bonapartistes Bourbons bourgeoisie c'était Casimir Périer Chambre Charles Charles X Charte chef de l'État choses commission Constitution constitutionnel Corps législatif couronne déclaration demande députés devait discours discussion doute drapeau duc d'Orléans Dupin Dupont de l'Eure dynastiques effet élections électorale ennemis esprits fidélité Fouché garde nationale général gouvernement guerre Guizot hommes jamais jour juillet l'abdication l'Adresse l'armée l'Assemblée l'émeute l'empereur l'empire l'ennemi l'opposition Lafayette Laffitte laisser légitime libéraux liberté Louis-Philippe Ier lutte mains majorité Martignac membres ment ministres monarchie n'avait n'était Napoléon Napoléon Ier nation nement nomination officiel paix Palais de l'Élysée parisienne Parlement partisans passions patrie pays personne peuple politique pouvait pouvoir président prince Prussiens puissance question raison réforme régime parlementaire renverser républicains république reste révolution révolutionnaire rien royauté s'était séance sénatus-consulte sentiments serait session seul souverain Thiers tion tribune trône venait vernement vote voulait
Popular passages
Page 155 - ... elle fait, du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 65 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français.
Page 65 - ... j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances me paraissent changées.
Page 167 - Ne vous laissez pas égarer par le langage insidieux des ennemis de votre repos. Repoussez d'indignes soupçons et de fausses craintes qui ébranleraient la confiance publique et pourraient exciter de graves désordres. Les desseins de ceux qui propagent ces craintes échoueront, quels qu'ils soient, devant mon immuable résolution. Votre sécurité, vos intérêts ne seront pas plus compromis que vos libertés : je veille sur les uns comme sur les autres.
Page 153 - Pairs de France, députés des départements, je ne doute pas de votre concours pour opérer le bien que je veux faire. Vous repousserez avec mépris les perfides insinuations que la malveillance cherche à propager. Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne...
Page 312 - Cette éventualité, nous en avons le ferme espoir, ne se réalisera pas. Pour l'empêcher, nous comptons à la fois sur la sagesse du peuple allemand et sur l'amitié du peuple espagnol. S'il en était autrement, forts de votre appui et de celui de la nation, nous saurions remplir notre devoir sans hésitation et sans faiblesse.
Page 154 - Cependant, Sire, au milieu des sentiments unanimes de respect et d'affection dont votre peuple vous entoure, il se manifeste dans les esprits une vive inquiétude qui trouble la sécurité dont la France avait commencé à jouir, altère les sources de si prospérité, et pourrait, si elle se prolongeait, devenir funeste à son repos.
Page 69 - Je vous remercie , dit-il à ces députés , des sentiments que vous m'exprimez ; je désire que mon abdication puisse faire le bonheur de la France, mais je ne l'espère point; elle laisse l'état sans chef, sans existence politique. Le temps perdu à renverser la monarchie aurait pu être employé à mettre la France en état d'écraser l'ennemi.
Page 49 - de nous rallier autour du vieux étendard tricolore, » celui de 89, celui de la liberté, de l'égalité et de » l'ordre public; c'est celui-là seul que nous avons à » défendre contre les prétentions étrangères et » contre les tentatives intérieures. Permettez, Mes...
Page 311 - Nous persisterons dans cette conduite, mais nous ne croyons pas que le respect des droits d'un peuple voisin nous oblige à souffrir qu'une puissance étrangère, en plaçant un de ses princes sur le trône de Charles-Quint...