A quoi servent les parlements, 1815-1830, 1848-1870 |
From inside the book
Results 1-5 of 19
Page 19
... empire que par des talents exceptionnels . Il n'y avait pas trois jours que le Parlement était réuni qu'eut lieu publiquement , à la tri- 6 juin . 6 juin . bune , la première tentative d'hostilité véritable LE PARLEMENT DE 1815 19.
... empire que par des talents exceptionnels . Il n'y avait pas trois jours que le Parlement était réuni qu'eut lieu publiquement , à la tri- 6 juin . 6 juin . bune , la première tentative d'hostilité véritable LE PARLEMENT DE 1815 19.
Page 20
Edouard Boinvilliers. 6 juin . bune , la première tentative d'hostilité véritable contre l'empereur . Pendant le dépouillement du scrutin relatif à la nomination du troisième vice - président , M. Dupin s'élance à la tribune et fait part ...
Edouard Boinvilliers. 6 juin . bune , la première tentative d'hostilité véritable contre l'empereur . Pendant le dépouillement du scrutin relatif à la nomination du troisième vice - président , M. Dupin s'élance à la tribune et fait part ...
Page 22
... véritable ! ... Quant au ser- ment de fidélité à l'empereur , certes je le prête de bien bon cœur , et je crois faire un acte éminemment français , car l'empereur est à mes yeux le premier représentant de la nation , le chef légitime et ...
... véritable ! ... Quant au ser- ment de fidélité à l'empereur , certes je le prête de bien bon cœur , et je crois faire un acte éminemment français , car l'empereur est à mes yeux le premier représentant de la nation , le chef légitime et ...
Page 23
... véritable intérêt ; l'autre , qu'on peut appeler la faction de l'étran- ger . Oui , messieurs , il existe des Français assez vils , assez corrompus , pour appeler les Anglais , les Russes , les Prussiens : ce sont les Bourbons qui sont ...
... véritable intérêt ; l'autre , qu'on peut appeler la faction de l'étran- ger . Oui , messieurs , il existe des Français assez vils , assez corrompus , pour appeler les Anglais , les Russes , les Prussiens : ce sont les Bourbons qui sont ...
Page 36
... véritable non - sens , car il est ridicule de demander au peuple de choisir son chef , pour l'obliger ensuite à prendre les ordres d'une réunion de députés , obscurs pour la plupart , et dont le mandat est d'une durée fort limitée . M ...
... véritable non - sens , car il est ridicule de demander au peuple de choisir son chef , pour l'obliger ensuite à prendre les ordres d'une réunion de députés , obscurs pour la plupart , et dont le mandat est d'une durée fort limitée . M ...
Other editions - View all
A Quoi Servent Les Parlements, 1815, 1830, 1848, 1870, Par Edouard Boinvilliers Boinvilliers-E No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
23 juin abus d'influence allait alliés armée assemblée Audry de Puyraveau aurait avaient banquet Benjamin Constant Blücher bonapartistes Bourbons bourgeoisie c'était Casimir Périer Chambre Charles Charles X Charte chef de l'État choses Constitution constitutionnel Corps législatif couronne déclaration demande députés devait discours discussion doute drapeau duc d'Orléans Dupin Dupont de l'Eure dynastiques effet électeurs élections ennemis esprits fidèle Fouché garde nationale général gouver gouvernement guerre Guizot hommes hostiles jamais jour juillet l'Adresse l'armée l'Assemblée l'em l'émeute l'empereur l'empire l'ennemi l'opposition Lafayette Laffitte laisser Ledru-Rollin légitime libéraux liberté Louis-Philippe Ier lutte majorité Martignac membres ment ministres monarchie n'avait n'était Napoléon nation officiel paix parisienne Parlement passions patrie pays peuple politique pouvait pouvoir président prince Prussiens puissance question raison rale régime parlementaire renverser républicains république reste révolution révolutionnaire rien royauté s'était séance sénatus-consulte sentiments serait session seul situation soldats souverain suffrage Thiers tion tribune trône venait vernement Vitrolles vote
Popular passages
Page 155 - ... elle fait, du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 65 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français.
Page 65 - ... j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances me paraissent changées.
Page 167 - Ne vous laissez pas égarer par le langage insidieux des ennemis de votre repos. Repoussez d'indignes soupçons et de fausses craintes qui ébranleraient la confiance publique et pourraient exciter de graves désordres. Les desseins de ceux qui propagent ces craintes échoueront, quels qu'ils soient, devant mon immuable résolution. Votre sécurité, vos intérêts ne seront pas plus compromis que vos libertés : je veille sur les uns comme sur les autres.
Page 153 - Pairs de France, députés des départements, je ne doute pas de votre concours pour opérer le bien que je veux faire. Vous repousserez avec mépris les perfides insinuations que la malveillance cherche à propager. Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne...
Page 312 - Cette éventualité, nous en avons le ferme espoir, ne se réalisera pas. Pour l'empêcher, nous comptons à la fois sur la sagesse du peuple allemand et sur l'amitié du peuple espagnol. S'il en était autrement, forts de votre appui et de celui de la nation, nous saurions remplir notre devoir sans hésitation et sans faiblesse.
Page 154 - Cependant, Sire, au milieu des sentiments unanimes de respect et d'affection dont votre peuple vous entoure, il se manifeste dans les esprits une vive inquiétude qui trouble la sécurité dont la France avait commencé à jouir, altère les sources de si prospérité, et pourrait, si elle se prolongeait, devenir funeste à son repos.
Page 69 - Je vous remercie , dit-il à ces députés , des sentiments que vous m'exprimez ; je désire que mon abdication puisse faire le bonheur de la France, mais je ne l'espère point; elle laisse l'état sans chef, sans existence politique. Le temps perdu à renverser la monarchie aurait pu être employé à mettre la France en état d'écraser l'ennemi.
Page 49 - de nous rallier autour du vieux étendard tricolore, » celui de 89, celui de la liberté, de l'égalité et de » l'ordre public; c'est celui-là seul que nous avons à » défendre contre les prétentions étrangères et » contre les tentatives intérieures. Permettez, Mes...
Page 311 - Nous persisterons dans cette conduite, mais nous ne croyons pas que le respect des droits d'un peuple voisin nous oblige à souffrir qu'une puissance étrangère, en plaçant un de ses princes sur le trône de Charles-Quint...