La Revue blanche, Volume 21Alexandre Natanson Revue blanche, 1900 - France |
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... c'était autre chose , eh bien ! avec l'argent que grand - père va m'envoyer , je m'en offrirai un magnifique , voilà ! De dix heures à onze heures , j'ai été au salon étudier mon chant , consciencieusement même ! Ma voix prend beaucoup ...
... c'était autre chose , eh bien ! avec l'argent que grand - père va m'envoyer , je m'en offrirai un magnifique , voilà ! De dix heures à onze heures , j'ai été au salon étudier mon chant , consciencieusement même ! Ma voix prend beaucoup ...
Page 23
... c'était l'inspecteur de l'en- seignement primaire qui se permettait des privautés ! Singulières mœurs ! fit Mme Bidoure pinçant ses lèvres gercées . Et tandis que son époux opinait gravement de la tête , elle condui- sit Clotilde dans ...
... c'était l'inspecteur de l'en- seignement primaire qui se permettait des privautés ! Singulières mœurs ! fit Mme Bidoure pinçant ses lèvres gercées . Et tandis que son époux opinait gravement de la tête , elle condui- sit Clotilde dans ...
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... C'était là l'ori- gine de la branche franc - comtoise de leur race . De cette mésalliance naquit le fameux Coco Gerbaulet , membre du tribunal révolution- naire de Vesoul , et qui , comme les Carrier et les Joseph Lebon , se signala par ...
... C'était là l'ori- gine de la branche franc - comtoise de leur race . De cette mésalliance naquit le fameux Coco Gerbaulet , membre du tribunal révolution- naire de Vesoul , et qui , comme les Carrier et les Joseph Lebon , se signala par ...
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... c'était peut- être la plus difficile , et certainement la plus importante , à réaliser . Il y avait une seconde raison d'union : c'est que tout le monde était ou voulait se dire partisan de l'union . Nous avons même assisté sur ce point ...
... c'était peut- être la plus difficile , et certainement la plus importante , à réaliser . Il y avait une seconde raison d'union : c'est que tout le monde était ou voulait se dire partisan de l'union . Nous avons même assisté sur ce point ...
Page 50
... C'était aux vacances der- nières ; et il la revoyait encore telle qu'elle lui était apparue ce soir - là , despotique et charmante , troublée par moment du trouble qu'elle donnait aux autres , étonnée de la nudité de de ses épaules dans ...
... C'était aux vacances der- nières ; et il la revoyait encore telle qu'elle lui était apparue ce soir - là , despotique et charmante , troublée par moment du trouble qu'elle donnait aux autres , étonnée de la nudité de de ses épaules dans ...
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Common terms and phrases
acte Adrien Alfred Capus ALFRED STEVENS âme amour assez avez Bazerque beau belle Bidoure Bourget c'était capitaine Célestine chambre charme cher chose cœur coup devant diable Dieu dire DOLIVET doukhobors drame Dreyfus drôle enfant Est-ce êtes Favaron femme fille fleurs François Ier général Mercier gens Georges Seurat GÉRARD geste Gilbert heures homme j'ai j'en j'étais jamais joli Joseph jour Jules Simon l'abbé Curvale L'abbé Nohèdes l'abbé Resongle l'amour l'église laisser LEROND lèvres livre madame Mériel Mademoiselle main maison Maris de Léontine Max Stirner ment Mériel monde monsieur Georges monsieur Xavier mort MOUCHARD n'avait Nekhludov OCTAVE MIRBEAU œuvre passé Paul Bourget pauvre pensée PÉRICAUD petite Claire peut-être PHILIPPE Plateau-Central poète porte presque qu'un regard reste rêve revue blanche rien roman Rose Royaume-Uni sais scène semble sentiments serait seul social soir sorte sûr SUZANNE tête tion toquade veux vieux Viraben voilà voix vrai yeux
Popular passages
Page 471 - Sénat : la Chambre, confiante dans le gouvernement, et comptant sur sa fermeté pour appliquer les lois relatives aux Congrégations non autorisées, passe à l'ordre du jour.
Page 330 - ... et il ya justement huit ans que ce désir me fit résoudre à m'éloigner de tous les lieux où je pouvais avoir des connaissances et à me retirer ici en un pays où la longue durée de la guerre a fait établir de tels ordres que les armées qu'on y entretient ne semblent servir qu'à faire qu'on y jouisse des fruits de la paix avec d'autant plus de sûreté, et où, parmi la foule d'un grand peuple fort actif et plus soigneux de ses propres affaires que curieux de celles d'autrui, sans manquer...
Page 229 - D'un gradin d'or, — parmi les cordons de soie, les gazes grises, les velours verts et les disques de cristal qui noircissent comme du bronze au soleil, — je vois la digitale s'ouvrir sur un tapis de filigranes d'argent, 5 d'yeux et de chevelures.
Page 360 - Ce dernier document est extrêmement difficile à se procurer, et je ne puis l'avoir à ma disposition que très peu de jours. Le ministère de la guerre en a envoyé un nombre fixe dans les corps, et ces corps en sont responsables. Chaque officier détenteur doit remettre le sien après les manœuvres.
Page 413 - C'est quelque chose de pire : un monstrueux hybride humain... Il n'est plus du peuple d'où il sort; il n'est pas non plus de la bourgeoisie où il vit, et où il tend. .. Du peuple, qu'il a renié, il a perdu le sang généreux et la force naïve...
Page 244 - À douze ans, j'étais femme, tout à fait... et plus vierge... Violée? Non, pas absolument... Consentante? Oui, à peu près. . . du moins dans la mesure où le permettaient l'ingénuité de mon vice et la candeur de ma dépravation. . . Un dimanche, après la grand-messe, le contremaître d'une sardinerie, un vieux, aussi velu, aussi mal odorant qu'un bouc, et dont le visage n'était qu'une broussaille sordide de barbe et de cheveux, m'entraîna sur la grève, du côté de Saint -Jean.
Page 47 - Un parti politique ne peut vivre et réussir qu'autant qu'il a formé des spécialistes. Souvent même il persiste par cela seul, alors que toute vie idéale, toute confiance populaire l'ont abandonné déjà. L'histoire de la troisième République confirme entièrement cette vérité élémentaire. Les opportunistes se sont survécu dix ans à eux-mêmes, parce qu'ils comptaient des hommes capables de lire une loi de finances, d'établir un tarif de douanes, de rédiger un texte pénal. La disette...
Page 344 - ... j'aspirais, je buvais la mort, toute la mort, à sa bouche... et je me barbouillais les lèvres de son poison... Une fois qu'il toussait, pris, dans mes bras, d'une crise plus violente que de coutume, je vis mousser à ses lèvres un gros, immonde crachat sanguinolent. — Donne... donne... donne! Et j'avalai le crachat, avec une avidité meurtrière, comme j'eusse fait d'un cordial de vie...
Page 359 - L'apposition de la date susdite et de ma signature au texte que l'on m'attribue constitue un faux. « Ce faux subsisterait même dans le cas où, ce dont je ne puis juger sans l'avoir sous les yeux, le texte lui-même émanerait de moi à une autre date. « Agréez, monsieur le rédacteur en chef, etc. « Signé : Colonel SCRNEIDER. » K) TROISIÈME AUDIENCE Lundi 14
Page 210 - Lorsque Guadalupe qui a dix-sept ans en aura quatre-vingts, elle s'en ira souvent dans le jardin aux forts parfums, aux fleurs gluantes, jouer de la guitare avec de petits gants. Elle aura le nez crochu et le menton croche, les yeux troubles des vieux enfants, la maigreur courbe, et une chaîne d'or à longues émeraudes qui, roide, tombera de son col de vautour. D'un martinet géant et qui sera sa canne, elle battra les chats, les enfants et les mouches. Pour ne pas répondre, elle serrera la bouche....