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" ... j'aspirais, je buvais la mort, toute la mort, à sa bouche... et je me barbouillais les lèvres de son poison... Une fois qu'il toussait, pris, dans mes bras, d'une crise plus violente que de coutume, je vis mousser à ses lèvres un gros, immonde... "
La Revue blanche - Page 344
edited by - 1900
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Le journal d'une femme de chambre

Octave Mirbeau - France - 1900 - 546 pages
...coutume, je vis mousser à ses lèvres un gros, immonde crachat sanguinolent. — Donne... donne... donne! Et j'avalai le crachat, avec une avidité meurtrière,...plus fréquentes, plus graves, plus douloureuses. 11 cracha du sang, eut de longues syncopes, pendant lesquelles on le crut mort. Son corps s'amaigrit,...
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Le journal d'une femme de chambre

Octave Mirbeau - 1900 - 540 pages
...ne tarda pas à dépérir. Les crises devinrent plus fréquentes, plus graves, plus douloureuses. 11 cracha du sang, eut de longues syncopes, pendant lesquelles...on le crut mort. Son corps s'amaigrit, se creusa, se déchaîna, au point qu'il ressemblait véritablement à une pièce anatomique. Et la joie qui avait...
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Le Journal d'une femme de chambre

2003 - 376 pages
...vis mousser à ses lèvres un gros, immonde crachat sanguinolent. — Donne . . . donne . . . donne ! Et j'avalai le crachat, avec une avidité meurtrière,...on le crut mort. Son corps s'amaigrit, se creusa, se décharna, au point qu'il ressemblait véritablement à une pièce anatomique. Et la joie qui avait...
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