Napoléon, 1769-1821Hachette, 1925 - 63 pages |
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Common terms and phrases
Alliés Anglais armée attaques Austerlitz Autrichiens avril battu Beauharnais Bellangé Bernadotte Bibl blessés blocus continental Blücher Bonaparte brave CAIRE Campagne d'Égypte Campagne d'Italie canon célèbre cheval civil Coll commande Consulat corps d'armée d'Austerlitz d'Autriche d'Egypte décembre Directoire dit-il divorce drapeau Dresde ENCYCLOPÉDIE PAR L'IMAGE ennemis Eugène de Beauharnais Eylau fêtes Fontainebleau fran française général Gérard grenadiers heures hommes Horace Vernet Hudson Lowe Isabey Joseph Joséphine jour juillet juin l'Angleterre l'armée l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Espagne l'Europe l'île l'Impératrice léon Lithographie de Raffet Lobau Longwood lutte Malmaison Marengo Marie-Louise mars ment militaire mille mois Murat Musée de Versailles Musée du Louvre Naples Napo Napoléon Neurdein nuit octobre officier paix palais Paoli Pape passe pereur peuple Pie VII Premier Consul prince Prusse Prussiens quitte Raffet reste retraite reur Rhin Rome Russes Sacre Sainte-Hélène Siéyès soir soldats Talleyrand tion Toulon troupes Tuileries VENDÉMIAIRE veut victoire Wagram WATERLOO
Popular passages
Page 7 - Checoglione, s'écria-t-il assez haut, comment at-on pu laisser entrer cette canaille? il fallait en balayer quatre ou cinq cents avec du canon, et le reste courrait encore.
Page 10 - Je vais vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde; vous y trouverez de grandes villes, de riches provinces; vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage?
Page 60 - Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 27 - L'Empereur, debout , prononça d'une voix forte ces mots : « Soldats , voilà vos drapeaux , ces aigles vous serviront toujours de point de ralliement. Ils seront partout où votre Empereur les jugera nécessaires pour la défense de son trône et de son peuple. Vous jurez de sacrifier votre vie pour les défendre, et de les maintenir constamment par votre courage sur le chemin de la victoire. Vous le jurez! — Nous le jurons !» répondirent les porteurs des aigles , les députations et les troupes...
Page 53 - J'avais de grands desseins ; le sort en a décidé. Je ne suis plus un conquérant ; je ne puis plus l'être. Je sais ce...
Page 53 - A ma rentrée, de Cannes ici, je n'ai pas conquis, j'ai administré. Je ne suis pas seulement, comme on l'a dit, l'Empereur des soldats, je suis celui des paysans, des plébéiens de la France... Aussi, malgré tout le passé, vous voyez le peuple revenir à moi. Il ya sympathie entre nous.
Page 5 - Rien ne m'imposait; je ne craignais personne; je battais l'un, j'égratignais l'autre, je me rendais redoutable à tous. Mon frère Joseph était battu, mordu, et j'avais porté plainte contre lui quand il commençait à peine à se reconnaître. » Excellent stratagème et qu'il ne se lassera jamais de...
Page 23 - J'ai fait arrêter et juger le Duc d'Enghien, parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l'intérêt, et à l'honneur du peuple Français, lorsque le Comte d'Artois entretenait, de son aveu, soixante assassins à Paris. Dans une semblable circonstance j'agirais encore de même.
Page 13 - ... campagne , deux mille de gros calibre, quatre équipages de pont. Les contributions mises sur les pays que vous avez conquis ont nourri, entretenu, soldé l'armée pendant toute la campagne. Vous avez en outre envoyé trente millions au ministre des finances pour le soulagement du trésor public.