Oeuvres complètes, Volume 4Deterville, 1796 |
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Page 195
... Adieu . AUME ME . A Paris , le 8 septembre 1660 . Je vous envoie mon sonnet ' , c'est - à - dire , un nou- veau sonnet ; car je l'ai tellement changé hier au soir que vous le méconnaîtrez : mais je crois que vous ne l'en approuverez pas ...
... Adieu . AUME ME . A Paris , le 8 septembre 1660 . Je vous envoie mon sonnet ' , c'est - à - dire , un nou- veau sonnet ; car je l'ai tellement changé hier au soir que vous le méconnaîtrez : mais je crois que vous ne l'en approuverez pas ...
Page 200
... adieu . Je suis , etc. E AU MÊME . A Babylone , le 26 janvier 1661 . Je sais que M. l'Avocat vous proposa hier de me JE venir voir , et que cette proposition vous effraya . Vous n'êtes pas d'humeur à quitter les dames pour aller voir ...
... adieu . Je suis , etc. E AU MÊME . A Babylone , le 26 janvier 1661 . Je sais que M. l'Avocat vous proposa hier de me JE venir voir , et que cette proposition vous effraya . Vous n'êtes pas d'humeur à quitter les dames pour aller voir ...
Page 218
... Adieu . A MADEMOISELLE VITART . Usez , le 26 décembre 1661 . Je pensais bien me donner l'honneur de vous écrire il y a huit jours , mais il me fut impossible de le faire ; je ne sais pas même si j'en pourrai venir à bout aujourd'hui ...
... Adieu . A MADEMOISELLE VITART . Usez , le 26 décembre 1661 . Je pensais bien me donner l'honneur de vous écrire il y a huit jours , mais il me fut impossible de le faire ; je ne sais pas même si j'en pourrai venir à bout aujourd'hui ...
Page 240
... Adieu , mon cher ami , et , comme dit l'Es- pagnol , antes muerto que mudado . JE A M. VITART . Usez , le 16 mai 1662 . E ne vous renouvelle point les protestations d'être honnête homme et très - reconnaissant ; vous avez assez de bonté ...
... Adieu , mon cher ami , et , comme dit l'Es- pagnol , antes muerto que mudado . JE A M. VITART . Usez , le 16 mai 1662 . E ne vous renouvelle point les protestations d'être honnête homme et très - reconnaissant ; vous avez assez de bonté ...
Page 247
... été plus aise qu'en apprenant que vous étiez remis parfaite- ment avec le vôtre , parceque je suis persuadé que Vous vous en estimez parfaitement heureux . Adieu . A M. VITART . Usez , le 9 juillet 1662 A SES A MIS . 247.
... été plus aise qu'en apprenant que vous étiez remis parfaite- ment avec le vôtre , parceque je suis persuadé que Vous vous en estimez parfaitement heureux . Adieu . A M. VITART . Usez , le 9 juillet 1662 A SES A MIS . 247.
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Common terms and phrases
Adieu affaire amis Antoine Arnauld Arnauld assez aurait Auteuil avaient avez baisemains beau Boileau Bonnac bonté Bourbon Bourdier c'était cardinal cardinal de Retz casuistes censure cher fils chevalier de Saint-Pierre choses Cicéron cinq propositions cœur croyez déja demande Despréaux dessein Dieu dire doctrine donner écrire écrit écrivit ennemis envoyé êtes évêques Fagon faisait filles formulaire fussent fût gens grace guère homme j'ai j'avais j'en jamais jansénistes Jansénius JEAN RACINE jésuites jours juger l'abbé l'ambassadeur l'archevêque l'église l'évêque laisser lettre livre Luxembourg m'en madame madame de Maintenon maison mander ment mère Angélique mieux monastère monde mort n'ai n'avait n'en n'était non-seulement nouvelles obligé occasion pape parler passer peine pénitence père personne piété plaisir pouvait prélats prince de Conti qu'à religieuses de Port-Royal rendre rien s'était saint saint Augustin Saint-Cyran sais santé savez sera seulement sœur songer sorte stance témoigner Torcy trouvé vérité Vitart voix voulait
Popular passages
Page 279 - ... bon à mon mal, mais ils prétendent qu'il y va de la vie, et citent sur cela des exemples funestes. Mais enfin me voilà livré à la médecine , et il n'est plus temps de reculer. Ainsi ce que je demande à Dieu, ce n'est pas qu'il me rende la voix, mais qu'il me donne la vertu et la piété de M. de Saint-Laurent , ou de M. Nicole , ou même la vôtre , puisque avec cela on se moque des périls.
Page 304 - ... même quantité de gens qui sont sortis fort heureusement d'un semblable accident. Mais, sur toutes choses, il vous recommande de ne point faire d'effort pour parler, et, s'il se peut, de n'avoir commerce qu'avec des gens d'une oreille fort subtile , ou qui vous entendent à demi-mot. Il croit que le sirop d'abricot vous est fort bon, et qu'il en faut prendre quelquefois de pur , et...
Page 267 - J'ai fait le voyage de Maintenon, et je suis fort content des ouvrages que j'y ai vus ; ils sont prodigieux et dignes, en vérité, de la magnificence du roi. Il y en a encore, dit-on, pour deux ans. Les arcades qui doivent joindre les deux montagnes vis-à-vis Maintenon sont presque faites; il y en a quarantehuit; elles sont bâties pour l'éternité.
Page 297 - Vous avez raison de dire qu'ils auront là un merveilleux théâtre pour jouer les pièces de M. Pradon : et d'ailleurs ils y auront une commodité; c'est que, quand le souffleur aura oublié d'apporter la copie de ses ouvrages, il en retrouvera infailliblement une bonne partie dans les précieux dépôts qu'on apporte tous les matins en cet endroit.
Page 264 - Si la perte de ma voix ne m'avait fort guéri de la vanité , j'aurais été très-sensible à tout ce que vous m'avez mandé de l'honneur que m'a fait le plus grand prince de la terre en vous demandant des nouvelles de ma santé ; mais l'impuissance où ma maladie me met de répondre par mon travail à toutes les bontés qu'il me témoigne me fait un sujet de chagrin de ce qui devrait faire toute ma joie.
Page 286 - ... me fera trouver de la voix , et peut-être même des paroles éloquentes. Cependant je vous dirai que je suis aussi muet que jamais, quoique inondé d'eaux et de remèdes. Nous attendons la réponse de M. Fagon sur la relation que M. Bourdier lui a envoyée. Jusque-là je ne puis rien vous dire sur mon départ. On me fait toujours espérer ici une guérison prochaine; et nous devons tenter le demi-bain , supposé que M. Fagon persiste toujours dans l'opinion qu'il me peut être utile. Après...
Page 373 - ... de ma façon que vous avez lues au roi. Encore ne nous at-il laissé partir qu'à la charge que nous Tirions voir à sa maison de campagne * , et il s'est chargé de nous faire avertir du jour où nous l'y pourrions trouver seul.
Page 336 - M. le doyen comme de l'homme du monde qu'il estimoit le plus, et qui méritoit le mieux les grâces de Sa Majesté. Il promet qu'il reviendra encore ce soir à la charge. Je l'ai échauffé de tout mon possible , et l'ai assuré de votre reconnoissance et de celle de M. le doyen et de MM. Dongois [a].
Page 324 - Tenez, voilà son argent , dont je ne veux .. point ; les grenadiers ne mettent la main sur les •< gens que pour les tuer. » Vous ne trouverez point peut-être ces détails dans les relations que vous lirez, et je m'assure que vous les aimerez bien autant qu'une supputation exacte du nom des bataillons et de chaque compagnie des gens détachés; ce. que M. l'abbé de Dangeau (2) ne manquerait pas de rechercher très curieusement.
Page 384 - J'ai fait deux voyages pour essayer de la détourner de cette résolution, ou du moins pour obtenir d'elle qu'elle différât encore six mois; mais je l'ai trouvée inébranlable.