Les beaux jours de l'impératrice Marie-LouiseE. Dentu, 1887 - 470 pages |
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Page 16
... maison ; je ne veux pas m'en aller ; puis- que papa est absent , c'est moi qui suis le maître . » Marie - Louise est frappée de cette résistance enfantine . Une voix secrète lui dit que c'est son fils qui a raison , qu'abandonner la ...
... maison ; je ne veux pas m'en aller ; puis- que papa est absent , c'est moi qui suis le maître . » Marie - Louise est frappée de cette résistance enfantine . Une voix secrète lui dit que c'est son fils qui a raison , qu'abandonner la ...
Page 37
... maison furent auto- risées à porter le deuil du prisonnier de Sainte- Hélène . On doit rendre cette justice à l'empereur François , qu'il témoignait une grande affection à son petit - fils . Il l'avait constamment auprès de lui , dans ...
... maison furent auto- risées à porter le deuil du prisonnier de Sainte- Hélène . On doit rendre cette justice à l'empereur François , qu'il témoignait une grande affection à son petit - fils . Il l'avait constamment auprès de lui , dans ...
Page 42
... Maison , re- présentant de la France en Autriche : « - Qu'i- rai - je faire , dit - il , chez l'ambassadeur de Louis- Philippe , dont le gouvernement a décrété contre moi le bannissement et la proscription ? Tous ceux qui seront ...
... Maison , re- présentant de la France en Autriche : « - Qu'i- rai - je faire , dit - il , chez l'ambassadeur de Louis- Philippe , dont le gouvernement a décrété contre moi le bannissement et la proscription ? Tous ceux qui seront ...
Page 51
... maison de l'empereur Napoléon et le voyant de près tous les jours , Mme Durand , première femme de l'impératrice , le baron de Méneval , son secrétaire des commandements , nous essaie- rons de faire revivre ce brillant passé , en ...
... maison de l'empereur Napoléon et le voyant de près tous les jours , Mme Durand , première femme de l'impératrice , le baron de Méneval , son secrétaire des commandements , nous essaie- rons de faire revivre ce brillant passé , en ...
Page 67
... maison que ce qu'il faut de terre pour leurs tombeaux ? » Tout récemment n'avait - il pas tenu , sous les murs de Madrid , cet étrange langage aux Espagnols : « Si vous ne voulez point de mon frère Joseph pour roi , je n'entends pas ...
... maison que ce qu'il faut de terre pour leurs tombeaux ? » Tout récemment n'avait - il pas tenu , sous les murs de Madrid , cet étrange langage aux Espagnols : « Si vous ne voulez point de mon frère Joseph pour roi , je n'entends pas ...
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Les Beaux Jours de L'Imperatrice Marie-Louise: Les Femmes Des Tuileries (3e ... Imbert De Saint-Amand-A-L No preview available - 2013 |
Common terms and phrases
adressa affaires étrangères archiduchesse Marie-Louise Archives du ministère arrivée autrichien avaient Bausset bonheur Braunau cérémonie château château de Saint-Cloud cher choses comte de Metternich comte de Narbonne comte Otto comtesse cortège cour d'Italie dame d'honneur dames du palais dépêche devait Dresde duc de Cadore duc de Reichstadt duchesse de Montebello empereur époux femme fête fille général de Ségur gloire grand-duc heures illuminations j'ai jamais jeune impératrice joie Joséphine jour l'ambassadeur l'archevêque l'archiduchesse l'em l'empe l'empereur d'Autriche l'empereur et l'impératrice l'empereur François l'empereur Napoléon l'empire l'impératrice d'Autriche l'impératrice Marie-Louise Louis XVI Louise mariage Marie-Antoinette Marie-Caroline mars matin Méneval ment ministre n'avait Napo Napoléon Napoléon et Marie-Louise palais des Tuileries passé pératrice père pereur personnes poléon prince de Metternich prince de Neuchâtel prince de Schwarzenberg ratrice reine de Naples reur Rome Russie Saint-Cloud salle salon sentiment serait seul soir souverain tion trice trône Tuileries vice-reine d'Italie Vienne voiture Wagram Wurtzbourg
Popular passages
Page 314 - L'an d'après, moi pauvre femme, A Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour : II se rendait à Notre-Dame. Tous les cœurs étaient contents ; On admirait son cortège. Chacun disait : quel beau temps ! Le ciel toujours le protège.
Page 290 - Ils se disaient entre eux : Quelqu'un de grand va [naître ! L'immense empire attend un héritier demain. Qu'est-ce que le Seigneur va donner à cet homme Qui, plus grand que César, plus grand même que [Rome, Absorbe dans son sort le sort du genre humain...
Page 30 - Vous savez ce qu'on fit du géant historique. Pendant six ans on vit, loin derrière l'Afrique, Sous le verrou des rois prudents, — Oh! n'exilons personne! oh! l'exil est impie!
Page 317 - Et lui! l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras, jusqu'alors croisés sur sa poitrine, S'étaient enfin ouverts! Et l'enfant, soutenu dans sa main paternelle, Inondé des éclairs de sa fauve prunelle, Rayonnait au travers.
Page 22 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui.
Page 317 - Non, l'avenir n'est à personne! Sire, l'avenir est à Dieu ! A chaque fois que l'heure sonne, Tout ici-bas nous dit adieu. L'avenir! l'avenir! mystère! Toutes les choses de la terre, Gloire, fortune militaire, Couronne éclatante des rois, Victoire aux ailes embrasées, Ambitions réalisées, Ne sont jamais sur nous posées Que comme l'oiseau sur nos toits...
Page 15 - Quand tout fut préparé par les mains paternelles Pour doter l'humble enfant de splendeurs éternelles ; Lorsqu'on eut de sa vie assuré les relais; Quand, pour loger un jour ce maître héréditaire, On eut enraciné bien avant dans la terre Les pieds de marbre des palais ; Lorsqu'on eut pour sa soif posé devant la France Un vase tout rempli du vin de l'espérance, — Ayant qu'il eût goûté de ce poison doré, Avant que de sa lèvre il eût touché la coupe.
Page 37 - Attaché près de moi par un zèle sincère, Tu me contais alors l'histoire de mon père. Tu sais combien mon âme , attentive à ta voix, S'échauffait au récit de ses nobles exploits...
Page 31 - D'un bel enfant qui dort la bouche demi-close, Gracieux comme l'orient, Tandis qu'avec amour sa nourrice enchantée D'une goutte de lait au bout du sein restée Agace sa lèvre en riant!
Page 15 - Être si grand et si petit ; Quand son père eut pour lui gagné bien des batailles ; Lorsqu'il eut épaissi de vivantes murailles Autour du nouveau-né riant sur son chevet ; Quand ce grand ouvrier qui savait comme on fonde Eut, à coups de cognée, à peu près fait le monde Selon le songe qu'il rêvait ; Quand tout fut préparé par les mains paternelles Pour doter l'humble enfant de splendeurs éternelles, Lorsqu'on eut de sa vie assuré les relais ; Quand, pour loger un jour ce maître héréditaire....