Napoléon et Marie-Louise: souvenirs historiques de M. le baron Méneval, Volume 2Amyot, 1845 - France |
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Common terms and phrases
adressée alliés armée arrivée autrichien avaient avril Bâle Ballouhey Bausset Bonaparte Brignole cabinet chargé château château de Rambouillet comte Neipperg congrès conseil Corvisart dame départ devait Directoire donner duc d'Enghien duc de Vicence duchés duchesse de Parme Égypte envoyé Ettenheim événements famille femme fils Fontainebleau Fouché général Neipperg gouvernement heures hommes impériale Inspruck J'ai jeune prince Joseph Joseph Bonaparte jour l'archichancelier l'armée l'avait l'Em l'Empe l'empereur Alexandre l'empereur d'Autriche l'empereur Napoléon l'île d'Elbe l'Im l'impératrice Marie-Louise laisser lendemain lettre de l'Empereur Louis XVIII madame de Brignole madame de Montesquiou maison Majesté Malmaison matin Mayence Meneval ment ministre mission n'avait Naples Napoléon nouvelles officiers Orléans palais passer pensée pératrice père pereur personnes Peyrusse porter premier Consul présent prince de Metternich prince Schwarzemberg princesse Rambouillet ratrice reçu rendre reste retour reur s'était Schoenbrunn Schwarzemberg sentiments serait Signé soir souverains Talleyrand tion trice troupes trouvait venir Vienne visite voitures voyage
Popular passages
Page 64 - ... tiré de l'obscurité et protégé l'autre contre la haine de la nation. Le sénat se fonde sur les articles de la constitution pour la renverser ; il ne rougit pas de faire des reproches à l'empereur, sans remarquer que, comme le premier corps de l'État, il a pris part à tous les événements.
Page 395 - Discours sur les vérités et les sentiments qu'il importe le plus d'inculquer aux hommes pour leur bonheur, sujet mis au concours par l'Académie de Lyon.
Page 65 - Il tenait sa dignité de Dieu et de la nation ; eux seuls pouvaient l'en priver ; il l'a toujours considérée comme un fardeau , et lorsqu'il l'accepta , ce fut dans la conviction que lui seul était à même de la porter dignement.
Page 142 - Comme ma fille, tout ce que j'ai est à toi, « même mon sang et ma vie ; comme souveraine, je ne « te connais pas, » elle ne put que baisser la tête et confirmer par son silence la force irrésistible d'un pareil argument.
Page 417 - Le ci-devant duc d'Enghien , prévenu d'avoir porté les armes contre la république, d'avoir été et d'être encore A la solde de l'Angleterre, de faire partie des complots tramés par cette dernière puissance contre la sûreté intérieure et extérieure de la république, sera traduit à une commission militaire, composée de sept membres nommés par le général gouverneur de Paris , et qui se réunira à Vincennes.
Page 256 - Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait attachée. En reparaissant en France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui.
Page 47 - Bouillerie et le trésor. Ne quittez pas mon fils, et rappelez-vous que je préférerais le savoir dans la Seine plutôt que dans les mains des ennemis de la France : le sort d'Astyanax, prisonnier des Grecs, m'a toujours paru le sort le plus malheureux de l'histoire.
Page 64 - Le monde entier sait qu'il n'avait pas besoin de tels artifices. Un signe était un ordre pour le Sénat qui toujours faisait plus qu'on ne désirait de lui. L'Empereur a toujours été accessible aux...
Page 398 - C'est lui qui a préparé la révolution française. -Je croyais, citoyen consul, que ce n'était pas à vous à vous plaindre de la révolution. - Eh bien! répliqua-t-il, l'avenir apprendra s'il n'eût pas mieux valu, pour le repos de la terre, que ni Rousseau ni moi n'eussions jamais existé.
Page 64 - L'empereur ne peut approuver la condition sous laquelle '.il a fait cette démarche ; il ne peut accepter la vie et la liberté de la merci d'un sujet.