Revue des deux mondes, Volume 24François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1859 - France |
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... j'ai craint qu'elle ne nous prît pour des marchands de bric - a - brac . Si vous daigniez revenir , ma mère serait bien heureuse de vous voir prendre quelques momens de plaisir chez elle . Eh bien ! nous y retournerons sans doute ...
... j'ai craint qu'elle ne nous prît pour des marchands de bric - a - brac . Si vous daigniez revenir , ma mère serait bien heureuse de vous voir prendre quelques momens de plaisir chez elle . Eh bien ! nous y retournerons sans doute ...
Page 10
... j'ai toujours été heureuse . Vous ne vous figurez pas comme mon père est bon et comme on vit tranquille et libre avec lui . Hope est un amour d'enfant , et quand je dis un enfant , c'est parce qu'il est plus jeune que moi , car je vous ...
... j'ai toujours été heureuse . Vous ne vous figurez pas comme mon père est bon et comme on vit tranquille et libre avec lui . Hope est un amour d'enfant , et quand je dis un enfant , c'est parce qu'il est plus jeune que moi , car je vous ...
Page 11
... j'ai perdu ma mère , et j'ai pourtant pris le dessus ... Mais au fait votre mot est juste , je vis , je m'occupe , et je suis gaie comme tout le monde ; pourtant , quand je pense à elle , ... non , je ne suis pas consolée pour cela , et ...
... j'ai perdu ma mère , et j'ai pourtant pris le dessus ... Mais au fait votre mot est juste , je vis , je m'occupe , et je suis gaie comme tout le monde ; pourtant , quand je pense à elle , ... non , je ne suis pas consolée pour cela , et ...
Page 15
... J'ai réfléchi tout en pleurant ; je crois que mon devoir est de cher- cher un appui pour nous deux , et même j'en ai senti le besoin . Ne me demandez rien de plus aujourd'hui . Je ne peux pas savoir si vous serez pour moi ce soutien ...
... J'ai réfléchi tout en pleurant ; je crois que mon devoir est de cher- cher un appui pour nous deux , et même j'en ai senti le besoin . Ne me demandez rien de plus aujourd'hui . Je ne peux pas savoir si vous serez pour moi ce soutien ...
Page 17
... J'ai une bonne nouvelle à vous annoncer , me dit - elle à voix basse . - Elle passa son bras sous le mien , et continua en m'emmenant vers le salon : Vous me disiez hier soir que vous lui trouviez le teint plus clair et les yeux moins ...
... J'ai une bonne nouvelle à vous annoncer , me dit - elle à voix basse . - Elle passa son bras sous le mien , et continua en m'emmenant vers le salon : Vous me disiez hier soir que vous lui trouviez le teint plus clair et les yeux moins ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 905 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 681 - Je vous aurais envoyé beaucoup plus loin, si ce n'était l'estime particulière que j'ai pour madame la duchesse de Choiseul dont la santé m'est fort intéressante. Prenez garde que votre conduite ne me fasse prendre un autre parti. Sur ce, je prie Dieu, mon cousin, qu'il vous ait en sa sainte garde.
Page 461 - En tout genre de travail, il doit arriver et il arrive en effet que le salaire de l'ouvrier se borne à ce qui lui est nécessaire pour lui procurer sa subsistance.
Page 695 - Mais en même temps si on voulait nous faire plus de mal, ce serait lui qui retiendrait ; on n'oserait pas. Il y aurait révolte générale. Qu'on le laisse donc aller, cet intérêt, il est trop flatteur pour nous en priver. Qu'on le perpétue, s'il est possible. Il assure la gloire de mon mari ; il le récompense de douze ans de travaux et d'ennuis ; il le paye de tous ses services; nous pouvions l'acheter encore à plus haut prix, et nous ne l'aurions pas cru trop payer par le bonheur immense...
Page 901 - Le travail annuel d'une nation est le fonds primitif qui fournit à sa consommation annuelle toutes les choses nécessaires et commodes à [la vie; et ces choses sont toujours, ou le produit immédiat de ce travail, ou achetées des autres nations avec ce produit.
Page 905 - La plus sacrée et la plus inviolable de toutes les propriétés de l'homme est celle de sa propre industrie, parce qu'elle est la source originaire de toutes les autres propriétés. Le patrimoine du pauvre est dans la force et l'adresse de ses mains, et l'empêcher d'employer cette force et cette adresse de la manière qu'il...
Page 681 - Mon cousin, le mécontentement que me causent vos .services me force à vous exiler à Chanteloup, où vous vous rendrez dans vingt-quatre heures. Je vous aurais envoyé beaucoup plus loin, si ce n'était l'estime particulière que j'ai pour madame la duchesse de Choiseul dont la santé m'est fort intéressante; prenez garde que votre conduite ne me fasse prendre un autre parti.
Page 523 - Kriidener vient de me donner. Elle vous supplie de venir la moins belle que vous pourrez. Elle dit que vous éblouissez tout le monde, et que par là toutes les âmes sont troublées et toutes les attentions impossibles. Vous ne pouvez pas déposer votre charme ; mais ne le rehaussez pas.
Page 901 - Je ne vois plus que la mort devant moi, depuis que M. Turgot est hors de place. Je ne conçois pas comment on a pu le renvoyer. Ce coup de foudre m'est tombé sur la cervelle et sur le cœur.
Page 96 - L'avenir de l'homme individuel n'est pas devenu plus clair , et peut-être est-il bon qu'un voile éternel couvre des vérités qui n'ont leur prix que quand elles sont le fruit d'un cœur pur. Mais un mot que ni Job ni ses amis ne prononcent a acquis un sens et une valeur sublimes : le devoir, avec ses incalculables conséquences philosophiques, en s'imposant à tous, résout tous les doutes, concilie toutes les oppositions et sert de base pour...