Revue des deux mondes, Volume 24François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1859 - France |
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... première entre- vue . Peut - être son père l'avait - il déjà avertie de mes prétentions , peut - être avait - elle déjà prononcé que je lui déplaisais autant que mes devanciers . J'arrivais bouillant et sauvage , j'allais être congé ...
... première entre- vue . Peut - être son père l'avait - il déjà avertie de mes prétentions , peut - être avait - elle déjà prononcé que je lui déplaisais autant que mes devanciers . J'arrivais bouillant et sauvage , j'allais être congé ...
Page 12
... première . Personne n'était plus aimable et plus sociable que mon futur beau - père . Rien d'un pédant ; une naïveté exquise avec une véritable intelligence , un adorable caractère , un grand respect des autres , un charme rare dans les ...
... première . Personne n'était plus aimable et plus sociable que mon futur beau - père . Rien d'un pédant ; une naïveté exquise avec une véritable intelligence , un adorable caractère , un grand respect des autres , un charme rare dans les ...
Page 13
... première vue elle s'est prononcée contre d'autres aspi- rans . >> J'allai chercher miss Love dans le salon , dans le jardin , dans le parc ; elle n'était nulle part , et cependant personne ne l'avait vue sortir . Je la trouvai enfin ...
... première vue elle s'est prononcée contre d'autres aspi- rans . >> J'allai chercher miss Love dans le salon , dans le jardin , dans le parc ; elle n'était nulle part , et cependant personne ne l'avait vue sortir . Je la trouvai enfin ...
Page 17
... première fois les deux sentimens qui se partageaient mon âme se confondi- rent . Je la serrai dans mes bras avec transport , et je couvris de bai- sers sa tête brune que j'avais attirée sur mon cœur . Je me rendis compte seulement alors ...
... première fois les deux sentimens qui se partageaient mon âme se confondi- rent . Je la serrai dans mes bras avec transport , et je couvris de bai- sers sa tête brune que j'avais attirée sur mon cœur . Je me rendis compte seulement alors ...
Page 21
... première fleur de mon espérance ! ... Et d'ailleurs une terreur soudaine s'emparait de moi ... Était - ce bien un baiser d'amour que j'avais reçu ? Et si ce n'était qu'une effusion de reconnaissance naïve , un enthousiasme fraternel né ...
... première fleur de mon espérance ! ... Et d'ailleurs une terreur soudaine s'emparait de moi ... Était - ce bien un baiser d'amour que j'avais reçu ? Et si ce n'était qu'une effusion de reconnaissance naïve , un enthousiasme fraternel né ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 905 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 681 - Je vous aurais envoyé beaucoup plus loin, si ce n'était l'estime particulière que j'ai pour madame la duchesse de Choiseul dont la santé m'est fort intéressante. Prenez garde que votre conduite ne me fasse prendre un autre parti. Sur ce, je prie Dieu, mon cousin, qu'il vous ait en sa sainte garde.
Page 461 - En tout genre de travail, il doit arriver et il arrive en effet que le salaire de l'ouvrier se borne à ce qui lui est nécessaire pour lui procurer sa subsistance.
Page 695 - Mais en même temps si on voulait nous faire plus de mal, ce serait lui qui retiendrait ; on n'oserait pas. Il y aurait révolte générale. Qu'on le laisse donc aller, cet intérêt, il est trop flatteur pour nous en priver. Qu'on le perpétue, s'il est possible. Il assure la gloire de mon mari ; il le récompense de douze ans de travaux et d'ennuis ; il le paye de tous ses services; nous pouvions l'acheter encore à plus haut prix, et nous ne l'aurions pas cru trop payer par le bonheur immense...
Page 901 - Le travail annuel d'une nation est le fonds primitif qui fournit à sa consommation annuelle toutes les choses nécessaires et commodes à [la vie; et ces choses sont toujours, ou le produit immédiat de ce travail, ou achetées des autres nations avec ce produit.
Page 905 - La plus sacrée et la plus inviolable de toutes les propriétés de l'homme est celle de sa propre industrie, parce qu'elle est la source originaire de toutes les autres propriétés. Le patrimoine du pauvre est dans la force et l'adresse de ses mains, et l'empêcher d'employer cette force et cette adresse de la manière qu'il...
Page 681 - Mon cousin, le mécontentement que me causent vos .services me force à vous exiler à Chanteloup, où vous vous rendrez dans vingt-quatre heures. Je vous aurais envoyé beaucoup plus loin, si ce n'était l'estime particulière que j'ai pour madame la duchesse de Choiseul dont la santé m'est fort intéressante; prenez garde que votre conduite ne me fasse prendre un autre parti.
Page 523 - Kriidener vient de me donner. Elle vous supplie de venir la moins belle que vous pourrez. Elle dit que vous éblouissez tout le monde, et que par là toutes les âmes sont troublées et toutes les attentions impossibles. Vous ne pouvez pas déposer votre charme ; mais ne le rehaussez pas.
Page 901 - Je ne vois plus que la mort devant moi, depuis que M. Turgot est hors de place. Je ne conçois pas comment on a pu le renvoyer. Ce coup de foudre m'est tombé sur la cervelle et sur le cœur.
Page 96 - L'avenir de l'homme individuel n'est pas devenu plus clair , et peut-être est-il bon qu'un voile éternel couvre des vérités qui n'ont leur prix que quand elles sont le fruit d'un cœur pur. Mais un mot que ni Job ni ses amis ne prononcent a acquis un sens et une valeur sublimes : le devoir, avec ses incalculables conséquences philosophiques, en s'imposant à tous, résout tous les doutes, concilie toutes les oppositions et sert de base pour...