Revue des deux mondes, Volume 24François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1859 - France |
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Page 6
... yeux vers le parc , je vis miss Love assise à quinze pas de moi sur le gazon . De quoi riait - elle ? Elle était seule , elle ne me voyait pas , elle me tournait le dos . Le chemin , plus bas que le parc , me permettait de l'examiner ...
... yeux vers le parc , je vis miss Love assise à quinze pas de moi sur le gazon . De quoi riait - elle ? Elle était seule , elle ne me voyait pas , elle me tournait le dos . Le chemin , plus bas que le parc , me permettait de l'examiner ...
Page 8
... yeux , et je vis rapide- ment que c'était un ouvrage en latin . Il me revint un soupçon que je ne pus contenir . Est - ce que miss Butler lit cet ouvrage ? de- mandai - je étourdiment à mon compagnon . - Ce livre est à moi , répondit ...
... yeux , et je vis rapide- ment que c'était un ouvrage en latin . Il me revint un soupçon que je ne pus contenir . Est - ce que miss Butler lit cet ouvrage ? de- mandai - je étourdiment à mon compagnon . - Ce livre est à moi , répondit ...
Page 17
... yeux , je vis devant moi Love qui me tendait ses deux mains . — J'ai une bonne nouvelle à vous annoncer , me dit - elle à voix basse . - Elle passa son bras sous le mien , et continua en m'emmenant vers le salon : Vous me disiez hier ...
... yeux , je vis devant moi Love qui me tendait ses deux mains . — J'ai une bonne nouvelle à vous annoncer , me dit - elle à voix basse . - Elle passa son bras sous le mien , et continua en m'emmenant vers le salon : Vous me disiez hier ...
Page 19
... yeux . Elle était blessée et affligée de mon imprudence , mais elle ne dit pas un mot , et , comme de coutume , je me sentis livré à moi - même . Je n'osai pas lui parler de la froideur du jeune Butler ; mais l'effroi me revint au cœur ...
... yeux . Elle était blessée et affligée de mon imprudence , mais elle ne dit pas un mot , et , comme de coutume , je me sentis livré à moi - même . Je n'osai pas lui parler de la froideur du jeune Butler ; mais l'effroi me revint au cœur ...
Page 34
... yeux , et vous entretenez ainsi cette tyrannie de malade qui pèsera , si vous n'y prenez garde , sur tout le reste de votre vie , et probablement sur le bonheur de votre père ! Ce dernier mot frappa Love plus que tout le reste . - Ce ...
... yeux , et vous entretenez ainsi cette tyrannie de malade qui pèsera , si vous n'y prenez garde , sur tout le reste de votre vie , et probablement sur le bonheur de votre père ! Ce dernier mot frappa Love plus que tout le reste . - Ce ...
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Common terms and phrases
Adam Smith aime âme anglais assez aujourd'hui avaient Barranquilla beau Butler c'était cacao cause Charles Kean charme Chili Chinois Choiseul choses cœur commerce côté coup culture devant Dieu dire donner doute Edmund Kean enfans espèces esprit États-Unis européenne eût falaises famille femme fille force François Ier Gluck goëlette gouvernement guerre habitans Havre homme Hope j'ai j'avais j'étais jamais jeune jour l'Angleterre l'art l'empereur l'esprit l'Europe l'Italie laisser Lombardie lord Elgin Louandre Louis Madagascar main mandarins Marie Mary médecine ment mère métayage ministre miss Love Mme Récamier monde morale n'avait n'était parler passé passion pauvre pays Pékin pensée père petite peuple peut-être pied politique population porte pouvait première présent presque produit province de Sondrio qu'un question raison regard religieuse reste rien roche s'est science semble sentimens sentiment serait seul siècle sorte surtout Tamatave terre tion traité travail trouver vérité voilà vrai William Bond workhouse yeux
Popular passages
Page 905 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 681 - Je vous aurais envoyé beaucoup plus loin, si ce n'était l'estime particulière que j'ai pour madame la duchesse de Choiseul dont la santé m'est fort intéressante. Prenez garde que votre conduite ne me fasse prendre un autre parti. Sur ce, je prie Dieu, mon cousin, qu'il vous ait en sa sainte garde.
Page 461 - En tout genre de travail, il doit arriver et il arrive en effet que le salaire de l'ouvrier se borne à ce qui lui est nécessaire pour lui procurer sa subsistance.
Page 695 - Mais en même temps si on voulait nous faire plus de mal, ce serait lui qui retiendrait ; on n'oserait pas. Il y aurait révolte générale. Qu'on le laisse donc aller, cet intérêt, il est trop flatteur pour nous en priver. Qu'on le perpétue, s'il est possible. Il assure la gloire de mon mari ; il le récompense de douze ans de travaux et d'ennuis ; il le paye de tous ses services; nous pouvions l'acheter encore à plus haut prix, et nous ne l'aurions pas cru trop payer par le bonheur immense...
Page 901 - Le travail annuel d'une nation est le fonds primitif qui fournit à sa consommation annuelle toutes les choses nécessaires et commodes à [la vie; et ces choses sont toujours, ou le produit immédiat de ce travail, ou achetées des autres nations avec ce produit.
Page 905 - La plus sacrée et la plus inviolable de toutes les propriétés de l'homme est celle de sa propre industrie, parce qu'elle est la source originaire de toutes les autres propriétés. Le patrimoine du pauvre est dans la force et l'adresse de ses mains, et l'empêcher d'employer cette force et cette adresse de la manière qu'il...
Page 681 - Mon cousin, le mécontentement que me causent vos .services me force à vous exiler à Chanteloup, où vous vous rendrez dans vingt-quatre heures. Je vous aurais envoyé beaucoup plus loin, si ce n'était l'estime particulière que j'ai pour madame la duchesse de Choiseul dont la santé m'est fort intéressante; prenez garde que votre conduite ne me fasse prendre un autre parti.
Page 523 - Kriidener vient de me donner. Elle vous supplie de venir la moins belle que vous pourrez. Elle dit que vous éblouissez tout le monde, et que par là toutes les âmes sont troublées et toutes les attentions impossibles. Vous ne pouvez pas déposer votre charme ; mais ne le rehaussez pas.
Page 901 - Je ne vois plus que la mort devant moi, depuis que M. Turgot est hors de place. Je ne conçois pas comment on a pu le renvoyer. Ce coup de foudre m'est tombé sur la cervelle et sur le cœur.
Page 96 - L'avenir de l'homme individuel n'est pas devenu plus clair , et peut-être est-il bon qu'un voile éternel couvre des vérités qui n'ont leur prix que quand elles sont le fruit d'un cœur pur. Mais un mot que ni Job ni ses amis ne prononcent a acquis un sens et une valeur sublimes : le devoir, avec ses incalculables conséquences philosophiques, en s'imposant à tous, résout tous les doutes, concilie toutes les oppositions et sert de base pour...