Histoire parlementaire de la Révolution française: ou Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volume 15Paulin, 1835 - France |
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... libres et souveraines . Elles étaient au nombre de cinquante - deux . Telles étaient les principales parties de la constitution du corps ger- manique . Nous passons sous silence une multitude d'institutions secon- daires , dans ...
... libres et souveraines . Elles étaient au nombre de cinquante - deux . Telles étaient les principales parties de la constitution du corps ger- manique . Nous passons sous silence une multitude d'institutions secon- daires , dans ...
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... libres de quelques provinces . Ainsi , en Suède on trouvait les mêmes partis qui tourmentè- rent la France dans le XIII et le XIVe siècle ; seulement , les rois étaient moins puissans ; car ils n'étaient qu'électifs et non héréditaires ...
... libres de quelques provinces . Ainsi , en Suède on trouvait les mêmes partis qui tourmentè- rent la France dans le XIII et le XIVe siècle ; seulement , les rois étaient moins puissans ; car ils n'étaient qu'électifs et non héréditaires ...
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... libre circulation des sub- sistances , maintenir la police dans les marchés , et ramener la confiance dans le sein de la capitale ? ( On applaudit . ) En a - t - elle demandé enfin , lorsque tout récemment elle a purgé Paris et quel ...
... libre circulation des sub- sistances , maintenir la police dans les marchés , et ramener la confiance dans le sein de la capitale ? ( On applaudit . ) En a - t - elle demandé enfin , lorsque tout récemment elle a purgé Paris et quel ...
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... libre de ses frères des autres départemens ! Faut - il être militaire pour sentir la nécessité de placer un corps inter- médiaire entre nos armées et la ville de Paris , lorsque l'on sait que le théâtre de la guerre n'est qu'à quarante ...
... libre de ses frères des autres départemens ! Faut - il être militaire pour sentir la nécessité de placer un corps inter- médiaire entre nos armées et la ville de Paris , lorsque l'on sait que le théâtre de la guerre n'est qu'à quarante ...
Page 25
... libre , autant l'obéissance aux lois est un devoir sacré pour tous les citoyens , autant il est libre à chacun de les improuver fortement . Ce n'est donc pas parce que les pétitionnaires vous auraient demandé la révocation d'un décret ...
... libre , autant l'obéissance aux lois est un devoir sacré pour tous les citoyens , autant il est libre à chacun de les improuver fortement . Ce n'est donc pas parce que les pétitionnaires vous auraient demandé la révocation d'un décret ...
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Common terms and phrases
14 juillet 20 juin administrateurs adresse agens applaudissemens applaudit armée armes arrêté avez bataillon Brissot calomnie camp château citoyens comité commandant commandant-général commission des douze conspirateurs Constitution constitutionnel corps législatif corps municipal coupable danger dangers déclaration décret demande dénonce députation despotisme devant devoir directoire directoire du département ennemis événemens factieux faction faubourg Saint-Antoine faubourgs Fayette fédération Feuillans force frontières garde nationale général Grangeneuve Guadet guerre j'ai Jacobins Jean Debry Jouneau juillet l'armée l'arrêté l'assemblée nationale l'attroupement l'empire l'ordre du jour lettre liberté lois Louis XVI Luckner magistrats maire membres ment messieurs mesures mille hommes monsieur moyens murmures nation officiers municipaux passe à l'ordre patrie patriotes perfides personne Pétion pétition pétitionnaires peuple porte pouvoir exécutif présenter président projet propose proposition publique quatre-vingt-trois départemens rassemblement renvoi représentans révolution Robespierre Roederer royale sanction Santerre séance section sentimens sera serment Servan seul sieur tion tionale toyens tranquillité tribunes troupes Tuileries Vergniaud veto voix
Popular passages
Page 293 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 278 - Vous donna-t-elle enfin le droit de sanction, une liste civile et tant de grandes prérogatives pour perdre constitutionnellement la constitution et l'empire? Non, non, homme que la générosité des Français n'a pu émouvoir, homme que le seul amour du despotisme a pu rendre sensible, vous n'avez pas rempli le vœu de la constitution : elle...
Page 274 - C'est contre la nation, ou l'Assemblée nationale seule, et pour le maintien de la splendeur du trône, que le roi de Bohême et de Hongrie nous fait la guerre et que le roi de Prusse marche vers nos frontières : c'est au nom du roi que la liberté est attaquée et que, si l'on parvenait à la renverser, on démembrerait bientôt l'empire pour...
Page 43 - Il n'est plus temps de reculer, il n'ya même plus moyen de temporiser. La Révolution est faite dans les esprits : elle s'achèvera au prix du sang et sera cimentée par lui, si la sagesse ne prévient pas les malheurs qu'il est encore possible d'éviter.
Page 395 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 189 - Le roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter; mais il a besoin de dire à la nation française que la violence, à quelque excès qu'on veuille la porter, ne lui arrachera jamais un consentement à tout ce qu'il croira contraire à l'intérêt public. Il expose sans regret sa tranquillité , sa sûreté ; il sacrifie même sans peine la jouissance des droits qui appartiennent à tous les hommes, et que la loi devrait faire respecter chez lui comme chez tous les citoyens ; mais, comme...
Page 270 - ... qu'il se. refuse à l'adoption des mesures répressives contre le fanatisme, pour porter les citoyens à des excès que le désespoir inspire et que les lois condamnent; qu'il aime mieux exposer les prêtres insermentés, même alors qu'ils ne troublent pas l'ordre, à des vengeances arbitraires, que...
Page 276 - ... en campagne. Il est vrai que ces armées étaient trop faibles ; mais la Constitution ne désigne pas le degré de force que je devais leur donner : il est vrai que je les ai rassemblées trop tard ; mais la Constitution ne désigne pas le temps auquel je devais les rassembler : il est vrai que des camps de réserve auraient pu les soutenir ; mais la Constitution ne m'oblige pas à former des camps de réserve : il est vrai que lorsque les généraux s'avancaient en vainqueurs sur le territoire...
Page 43 - Je sais qu'on peut imaginer tout opérer et tout contenir par des mesures extrêmes; mais, quand on aurait déployé la force pour contraindre l'Assemblée, quand on aurait répandu l'effroi dans Paris, la division et la stupeur dans ses environs, toute la France se lèverait avec indignation et, se déchirant elle-même dans les horreurs d'une guerre civile, développerait cette sombre énergie, mère des vertus et des crimes, toujours funeste à ceux qui l'ont provoquée.
Page 70 - ... du peuple , car je respecte encore plus le peuple dont la constitution est la volonté suprême ; ni la bienveillance que vous m'avez constamment témoignée , car je veux la conserver , comme je l'ai obtenue , par un inflexible amour de la liberté. « Vos circonstances sont difficiles. La France est menacée au dehors et agitée au dedans.