Histoire parlementaire de la Révolution française: ou Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volume 15Paulin, 1835 - France |
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... les animait fut changé ; la forme ne fut plus au service d'une pensée catholique , d'une pensée de devoir européen ou humanitaire , ni sous la sanction d'un pouvoir religieux et universel ; la forme ne fut plus que la représentation.
... les animait fut changé ; la forme ne fut plus au service d'une pensée catholique , d'une pensée de devoir européen ou humanitaire , ni sous la sanction d'un pouvoir religieux et universel ; la forme ne fut plus que la représentation.
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... pouvoir ; il fallait au moins supprimer le servage qui chez nous avait disparu de tout le sol appar- tenant à la couronne . Le lutheranisme ne fit rien de tout cela ; il ne sut travailler qu'à éteindre les mouvemens qui eurent lieu dans ...
... pouvoir ; il fallait au moins supprimer le servage qui chez nous avait disparu de tout le sol appar- tenant à la couronne . Le lutheranisme ne fit rien de tout cela ; il ne sut travailler qu'à éteindre les mouvemens qui eurent lieu dans ...
Page xii
... pouvoir spirituel que par les seigneuries qu'il possédait à titre de fiefs . Préoccupé du point de vue de l'unité , et de l'utilité des grands centres , voyant dans l'exécution de l'union de Calmar , le moyen de constituer une monarchie ...
... pouvoir spirituel que par les seigneuries qu'il possédait à titre de fiefs . Préoccupé du point de vue de l'unité , et de l'utilité des grands centres , voyant dans l'exécution de l'union de Calmar , le moyen de constituer une monarchie ...
Page xiii
... pouvoir , et l'on pouvait prévoir que cette habitude finirait par devenir un droit , et l'ori- gine de la ruine de tous les états secondaires qui composaient la fédé- ration germanique . Ce fut donc à l'occasion d'une élection impériale ...
... pouvoir , et l'on pouvait prévoir que cette habitude finirait par devenir un droit , et l'ori- gine de la ruine de tous les états secondaires qui composaient la fédé- ration germanique . Ce fut donc à l'occasion d'une élection impériale ...
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... pouvoir de tous les autres hommes ? Pourquoi donc me demander une adhésion particulière ? N'est - ce pas une proposition étrange et par trop absurde ? ( Applaudisse- mens . ) J'exprime mon sentiment selon ma conscience et mes lu- mières ...
... pouvoir de tous les autres hommes ? Pourquoi donc me demander une adhésion particulière ? N'est - ce pas une proposition étrange et par trop absurde ? ( Applaudisse- mens . ) J'exprime mon sentiment selon ma conscience et mes lu- mières ...
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Common terms and phrases
14 juillet 20 juin administrateurs adresse agens applaudissemens applaudit armée armes arrêté avez bataillon Brissot calomnie camp château citoyens comité commandant commandant-général commission des douze conspirateurs Constitution constitutionnel corps législatif corps municipal coupable danger dangers déclaration décret demande dénonce députation despotisme devant devoir directoire directoire du département ennemis événemens factieux faction faubourg Saint-Antoine faubourgs Fayette fédération Feuillans force frontières garde nationale général Grangeneuve Guadet guerre j'ai Jacobins Jean Debry Jouneau juillet l'armée l'arrêté l'assemblée nationale l'attroupement l'empire l'ordre du jour lettre liberté lois Louis XVI Luckner magistrats maire membres ment messieurs mesures mille hommes monsieur moyens murmures nation officiers municipaux passe à l'ordre patrie patriotes perfides personne Pétion pétition pétitionnaires peuple porte pouvoir exécutif présenter président projet propose proposition publique quatre-vingt-trois départemens rassemblement renvoi représentans révolution Robespierre Roederer royale sanction Santerre séance section sentimens sera serment Servan seul sieur tion tionale toyens tranquillité tribunes troupes Tuileries Vergniaud veto voix
Popular passages
Page 293 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 278 - Vous donna-t-elle enfin le droit de sanction, une liste civile et tant de grandes prérogatives pour perdre constitutionnellement la constitution et l'empire? Non, non, homme que la générosité des Français n'a pu émouvoir, homme que le seul amour du despotisme a pu rendre sensible, vous n'avez pas rempli le vœu de la constitution : elle...
Page 274 - C'est contre la nation, ou l'Assemblée nationale seule, et pour le maintien de la splendeur du trône, que le roi de Bohême et de Hongrie nous fait la guerre et que le roi de Prusse marche vers nos frontières : c'est au nom du roi que la liberté est attaquée et que, si l'on parvenait à la renverser, on démembrerait bientôt l'empire pour...
Page 43 - Il n'est plus temps de reculer, il n'ya même plus moyen de temporiser. La Révolution est faite dans les esprits : elle s'achèvera au prix du sang et sera cimentée par lui, si la sagesse ne prévient pas les malheurs qu'il est encore possible d'éviter.
Page 395 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 189 - Le roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter; mais il a besoin de dire à la nation française que la violence, à quelque excès qu'on veuille la porter, ne lui arrachera jamais un consentement à tout ce qu'il croira contraire à l'intérêt public. Il expose sans regret sa tranquillité , sa sûreté ; il sacrifie même sans peine la jouissance des droits qui appartiennent à tous les hommes, et que la loi devrait faire respecter chez lui comme chez tous les citoyens ; mais, comme...
Page 270 - ... qu'il se. refuse à l'adoption des mesures répressives contre le fanatisme, pour porter les citoyens à des excès que le désespoir inspire et que les lois condamnent; qu'il aime mieux exposer les prêtres insermentés, même alors qu'ils ne troublent pas l'ordre, à des vengeances arbitraires, que...
Page 276 - ... en campagne. Il est vrai que ces armées étaient trop faibles ; mais la Constitution ne désigne pas le degré de force que je devais leur donner : il est vrai que je les ai rassemblées trop tard ; mais la Constitution ne désigne pas le temps auquel je devais les rassembler : il est vrai que des camps de réserve auraient pu les soutenir ; mais la Constitution ne m'oblige pas à former des camps de réserve : il est vrai que lorsque les généraux s'avancaient en vainqueurs sur le territoire...
Page 43 - Je sais qu'on peut imaginer tout opérer et tout contenir par des mesures extrêmes; mais, quand on aurait déployé la force pour contraindre l'Assemblée, quand on aurait répandu l'effroi dans Paris, la division et la stupeur dans ses environs, toute la France se lèverait avec indignation et, se déchirant elle-même dans les horreurs d'une guerre civile, développerait cette sombre énergie, mère des vertus et des crimes, toujours funeste à ceux qui l'ont provoquée.
Page 70 - ... du peuple , car je respecte encore plus le peuple dont la constitution est la volonté suprême ; ni la bienveillance que vous m'avez constamment témoignée , car je veux la conserver , comme je l'ai obtenue , par un inflexible amour de la liberté. « Vos circonstances sont difficiles. La France est menacée au dehors et agitée au dedans.