Histoire authentique et secrète des traités de 1815 dans leurs rapports avec la restauration et la révolution de juillet |
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... étranger ( avec les éloges pompeux donnés au duc de Welling- ton ) les conditions les plus pénibles , les plus hu- miliantes , pourvu qu'on ne donnât pas les Bour- bons à la France . Le véritable parti national , XIII.
... étranger ( avec les éloges pompeux donnés au duc de Welling- ton ) les conditions les plus pénibles , les plus hu- miliantes , pourvu qu'on ne donnât pas les Bour- bons à la France . Le véritable parti national , XIII.
Page xiv
... national , c'é- tait alors celui qui , sous la direction de MM . Royer- Collard , Pasquier , le maréchal Macdonald et M. Gui- zot , voulait , par une proclamation de Louis XVIII et de la Charte , éviter la fatale invasion de l'étran ...
... national , c'é- tait alors celui qui , sous la direction de MM . Royer- Collard , Pasquier , le maréchal Macdonald et M. Gui- zot , voulait , par une proclamation de Louis XVIII et de la Charte , éviter la fatale invasion de l'étran ...
Page 46
... national de ses peuples rend digne de reprendre sa place parmi les puissances de l'Europe , elle ne met qu'une condition à ces sacrifices ; elle ne se dépouillera de tant de gages qu'en faveur du rétablissement d'un véritable système d ...
... national de ses peuples rend digne de reprendre sa place parmi les puissances de l'Europe , elle ne met qu'une condition à ces sacrifices ; elle ne se dépouillera de tant de gages qu'en faveur du rétablissement d'un véritable système d ...
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... national , qu'à cette con- dition . >> Les autres , restés à Paris au centre même des événe- ments et convaincus qu'après le désastre de Waterloo il n'y avait de salut qu'avec les Bourbons , voulaient ame- ner les deux chambres , par un ...
... national , qu'à cette con- dition . >> Les autres , restés à Paris au centre même des événe- ments et convaincus qu'après le désastre de Waterloo il n'y avait de salut qu'avec les Bourbons , voulaient ame- ner les deux chambres , par un ...
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Jean Baptiste Honoré Raymond Capefigue, Baptiste Capefigue. était le parti véritablement national qui trouvait à Gand M. de Talleyrand pour expression et pour symbole , et à Paris le comité du maréchal Macdonald et de M. Royer- Collard ...
Jean Baptiste Honoré Raymond Capefigue, Baptiste Capefigue. était le parti véritablement national qui trouvait à Gand M. de Talleyrand pour expression et pour symbole , et à Paris le comité du maréchal Macdonald et de M. Royer- Collard ...
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Common terms and phrases
20 novembre anglais armistice ARTICLE ADDITIONNEL avaient Bonaparte c'était cabinets canton Caulaincourt Cent-Jours cessions chambre Châtillon coalition commissaires commission comte conditions conférences congrès de Vienne conquête conséquence contre-projet convention cours alliées déclaration diplomatique duc de Richelieu duc de Wellington esprit États étrangers européenne force française Francfort frontières garantie gouvernement guerre hautes parties contractantes indemnité juillet l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'Autriche l'état l'Eu l'Europe l'occupation Lafayette lord Castlereagh Louis XVIII maison de Bourbon Majesté impériale Majesté l'empereur Majesté très-chrétienne maréchal Blücher ment militaire millions ministre nation national négociations nement patriotes pays peuples places fortes plénipotentiaires des cours politique Pologne Prague présent traité prince Blücher prince de Metternich principes protocole Prusse Prussiens puissances alliées question ratification respectifs restauration reste restituer rétablissement révolution Rhin rope Russie sera seront seule Signé souverains alliés stipulations système Talleyrand territoire tion traité de Chaumont traité de paix traité du 20 traités de 1815 troupes voulait Waterloo
Popular passages
Page 301 - ratifications en seront échangées en même temps. « En foi de quoi les plénipotentiaires respectifs l'ont signé et y « ont apposé le cachet de leurs armes. « Fait à Paris le 2o novembre l'an de grâce 1815.
Page 59 - Assez de gloire a illustré tour à tour les drapeaux des diverses nations; les vicissitudes du sort ont assez fait succéder de grands revers à de grands succès : une plus belle arène est aujourd'hui ouverte aux souverains, et je suis le premier à y descendre. Après avoir présenté au monde le spectacle de grands combats, il sera plus doux de ne connaître désormais d'autre rivalité que celle des avantages de la paix, d'autre lutte que la lutte sainte de la félicité des peuples.
Page 310 - SMTG , ni à l'état de possession tel qu'il est reconnu et confirmé par le présent traité. Le nombre de ces troupes ne dépassera pas cent cinquante mille hommes. Le commandant en chef de cette armée sera nommé par les puissances alliées. Ce corps d'armée occupera les places de Condé , Valenciennes...
Page 297 - Le présent traité sera ratifié, et les ratifications en seront échangées dans le délai de quinze jours, ou plus tôt, si faire se peut. En foi de quoi, les plénipotentiaires respectifs l'ont signé, et y ont apposé le cachet de leurs armes. Fait à Paris le 30 mai de l'an de grâce 1814.
Page 62 - Les puissances qui ont signé le traité de Paris, réunies en » Congrès à Vienne , informées de l'évasion de Napoléon » Bonaparte et de son entrée à main armée en France , doivent » à leur propre dignité et à l'intérêt de l'ordre social une » déclaration solennelle des senti ruons que cet événement leur
Page 63 - ... lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui. « Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page 294 - Les dettes spécialement hypothéquées dans leur origine sur les pays qui cessent d'appartenir à la France, ou contractées pour leur administration intérieure, resteront à la charge de ces mêmes pays.
Page 169 - ... de renouveler , à des époques déterminées , soit sous les auspices immédiats des souverains , soit par leurs ministres respectifs, des réunions consacrées aux grands intérêts communs et à l'examen des mesures qui , dans chacune de ces époques , seront jugées les plus salutaires pour le repos et la prospérité des peuples, et pour le maintien de la paix de l'Europe.
Page 171 - Tout est consommé ; j'ai apposé hier, plus mort que vif, mon nom à ce fatal traité. J'avais juré de ne pas le faire , et je l'avais dit au roi ; ce malheureux prince m'a conjuré , en fondant en larmes, de ne pas l'abandonner , et dès ce moment je n'ai pas hésité.
Page 305 - Majesté en son conseil privé; feld-maréchal de ses armées, colonel du régiment royal des gardes à cheval, chevalier du très-noble ordre de la Jarretière, chevalier grand'croix du très-honorable ordre du Bain...