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Par permission de la Cour Royale.

M. Lisbonne, donnera en cette ville, pendant le COURTIN, AVANT SON DEPART pour

cours de la semaine prochaine, (dont le jour sera spécifié dans les billets,) à la salle des Rooms, sous le patronage de M. l'Amiral Freemantle, secondé et honoré de Messrs. les Amateurs, un

Concert Vocal et Instrumental

Ire PARTIE. NO. 1. Ouverture pastorale des Deux Meuniers, par Rigal.

2. Duo du Poëte et le Musicien, chanté par Théodore Courtin et Clara Courtin.

3. Deuxième partie du Concerto Arabe, exécuté sur le forte piano, par Mr. Courtin.

4. Trio de Flute par Mr. Patourel, &c. &c. 5. Ariette de ma Zétulba, chanté par Théodore

Courtin.

6. Tambourin, exécuté sur le forte piano, par Mr. Courtin.

7. Ariette du Billet de Loterie, chantée par Clara Courtin.

Ile. PARTIE.-8. Ouverture de Charles et Zélie, pour deux piano, musique de Mr. Courtin.

9. Suite de Symphonie.

10. Rondo pour Piano et Guitare.

1. Solo de Flute, exécuté par Mr. Patourel.

12. Le Troubadour de Jean de Paris, chanté par Clara Courtin.

13. Air varié pour piano et violon, dans lequel Mr. Courtin imitera sur le forte piano, les sons harmonica.

14. La Girouette, couplets mis en musique par Mr. Courtin.

Le Concert commencera à 7 heures: on trouvera des billets d'avance, au prix de 3 schellings, chez Mr. Patourel, chez Mile. Le Lacheur, au Marché, et chez Mr. Rosetti, aux Rooms.

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& M. LE MOTTEE, HAVE A QUANTITY of Prints, selling at prime cost.

BE SOLD BY AUCTION, BY I. Z. Brouard, on Wednesday next, at the house of the Rev. Mr. Chepmell, Pollet-street, a quantity of household furniture, comprising mahogany chest of drawers, ditto book-case, wardrobe, dressing tables, dining tables, chairs, card tables, a large easy chair, a sofa, with rich satin cushion and dimity cover; washhand-stands, pier glasses, a marble slab and stand, a large painted passage floor cloth, carpet and stair carpetting, with rods, a dinner set, tea and coffee ware, and many other articles. The sale to begin at 10 o'clock.

MR.
R. LEWIS ROBERT, PRINCIPAL HEIR

of the late Lewis Robert and of Mrs. Martha Du Frocq, requests those who are indebted to the succession of the above named to settle their accompts previons to the 30th of June next, in default of which the said heir will be under the necessity of prosecuting them to law: also those who have demands on the above, to send in their accompts within the said period.

The second number of

The Sarnian Monthly Magazine,

PRICE 2 SH.

Will be published

ON THURSDAY, THE 1st OF JUNE,

M.

AT

T. DE LA RUE's, 227, High-street.

MOSS, WATCH-MAKER, AND JEWELLER, Grand Carrefour, High-street, grateful for the many favours received, begs leave to inform the Ladies, Gentlemen, and Inhabitants in general, that he has received a handsome assortment of watches, plate, jewellery, plated goods, &c. of the best quality, which he sells on the most moderate terms; also a large and handsome assortment of clocks, (much under the usual prices) well worth the attention of the public. M. M. feels assured that those who wish to purchase will not be disappointed on inspecting the above goods. N. B. The following high prices given for French Crowns, Dollars, Napoleons, Louis d'or, Doubloons,

Old silver.

Lo 5 9 each.

0 5 4

1 0 0

1 8 0

4 0 Ο

0 5 9 per oz.

And all other silver and gold proportionably high.

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partnership, ending the 31st. of this month, they are now selling their stock of Goods, at reduced prices, for ready money; persons indebted to them are requested to settle their accounts during the present month.

MESSRS. LIHOU, CORBIN AND CO. HAVE

the following goods, for sale, viz: Superfine French flour, by the sack,

Marseille soap, white and motled, by the case,

2 casks fine starch,

15 bales Gentian roots,

12 casks white wine vinegar,

80 bottles of orange flower water,

12 Bales new clover seed.

Handsome hanging French paper. Cambric and laces,

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that his stock, consisting of dinner sets, gilt china sets, common ditto, playchemange moulds, chimney oruaments, flower pots earthenwares, decanters, goblets, tumblers, wine glasses, wine coolers, butter coolers, eye glasses, breast pipes, corals, nipple shells, sucking bottles, shew glasses, filly glasses, candlesticks, cruet stands, liquor bottles and stands, tea trays, tea caddies, coal boxes, bellows, &c. is for sale, at a reduced price, being on the point of declining that business.

The above has cannel coals for sale, at 81. per ton.

The above has a horse, fit for the saddle for sale:ROUGIER AND LIEVRE, HAVE HOL

apply to the above, at the Charroterie,

LANDS Gin, for sale, by the pipe and hogshead.

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deals, of different lengths and thicknesses

band Swedish iron of different sizes, wine and porter boxes, Russia cordage of various sizes; also sail cloth, at

pare offiupus his store, Bordage.

Alper busts The abode has also good upland hay for sale.

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TO BE LET, AT PRESENT, TWO ROOMS, furnished or unfurnished, at James Le Lievre's, at the Carrefour-au-Lievre, bordering the New-Road, at Fort George. Apply at the above place.

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the morning, a one horse gig, with harness; like-occupied by Mr Neave; for information, apply to wise a tilted market cart; also a Bath stove, 3 feet Mr. T. Macculloch, near the Beauregard,

4 inches. The sale to take place on the Quay, AND W. COLLINGS AND BROTHERS near Mr. Bird's tobacco Manufactory.

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Un ordre du jour du général en chef Bachmann,, recommande de faire une réception frateruelle aux troupes Suisses qui reviennent de la France,

On est occupé à planter des poteaux sur l'extrême frontière de l'évêché de Bâle, afin de faire connoître exactement les endroits où commencent le nouveau territoire Suisse.

Strasbourg, le 9 Mai. On a affiché aujourd'hui un décret impérial qui déclare notre ville en état de siége, et qui enjoint anx habitans de s'approvisionner pour six mois. Ce décret, daté du 1er Mai, est commun à toutes les forteresses de première ligne.

Les forteresses de Landau et de Schelestadt sont aussi déclarées en état de siége.

On écrit du Haut-Rhin que plusieurs fonctionnaires ont reçu l'ordre de cesser leurs fonctions.

On apprend que le corps d'observation qui se réunit dans le Haut-Rhin, sur les frontières de la Suisse, est déjà très-nombreux. Il est sous les ordres du lieut.général Lecourbe, dont le quartier-général continue d'ètre à Befort.

Les dernières lettres de la Suisse, arrivées par le courier d'aujourd'hui, ne renferment aucune nouvelle.

Les nouvelles d'Allemagne ne font mention que de la marche des troupes alliées qui se rendent à leur

destination.

Les autorités Badoises renvoient tous les François qui se trouvoient dans leur ressort, quoiqu'ils y aient séjourné déjà un temps assez long.

Des deux côtés on garde soigneusement les deux rives du Rhin, tout prend de plus en plus un aspect militaire.

Paris, le 13 Mai. L'Empereur doit passer demain en revue plusieurs corps de troupes dans les cours des Tuileries.

M. le maréchal duc de Trévise est parti de Paris depuis quelques jours, pour aller remplir dans les départemens du Nord une mission militaire extraordinaire, relative à l'approvisionnement et à la mise en état de toutes les places.

Extrait d'une lettre particulière de Nantes, en date du 9 Mai: "Tous les partisans du gouvernement impérial et de la liberté vont être armés pour se défendre contre les tentatives des malveillans. Il y a dans ce pays de l'effervescence; quelques familles se réfugient à Nantes, en se faisant précéder de tous leurs effets. Des bandes de Chouaus se portent dans les communes, arrachent le drapeau tricolore, et font sonner le tocsin. Je crois indispensable que l'on prenne des mesures promptes et sévères. Il y a déjà en des coups de fusil de tirés. Dieu veuille que ce ne soit pas le signal de la guerre civil!

Suivant des nouvelles d'Italie, le roi et la Reine de Naples, avec leur suite, se seroient embarqués à Ancône sur trois frégates, pour retourner à Naples.

On écrit de Porentruy le 6 Mai, que les troupes Suisses qui occupoient les défilés de Porentruy et de Délémont depuis le départ des Autrichiens, les ont subitement évacués.

On dit que les troupes Françoises sont entrées à Bâle le 9 au soir. On dit aussi que nous occupons Porentruy.

Ou assure qu'au lieu de 300 bouches à feu qui étoient destinés à garantir les hauteurs de Paris, il y en aura 600.

Une trentaine de brigands armés ont tenté de désarmer un détachement de gendarmerie à Saint Brice: mais ils ont été mis en fuite par des chasseurs de la ligne cantonnés dans les environs.

Paris, le 14 Mai. Ce matin, à neuf heures, les habitans du faubourg Saint-Antoine se sont rendus sur le boulevart de la porte Saint-Autoine, et les habitans du faubourg Saint-Marceau sur le boulevart d'Austerlitz,

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Lorsque les nombreux pelotons de ces zèlés citoyens ont été rangés en bataille dans la cour des Tuileries, l'Empereur est monté à cheval. A l'instant, les deputés des faubourgs ont été admis à l'honneur de haranguer S. M., qui a paru écouter avec beaucoup de bienveilfidèles Parisiens. Après le discours des fédérés, l'emlance l'expression de l'amour et du dévouement de ses pereur a pris la parole et s'est exprimé à-peu-près en ces termes: "Soldats fédérés des faubourgs Saint-Antoine et Saint-Marceau, je suis revenu seul parmi vous; j'ai compté sur l'amour des habitans des cités, des paysans des campagues et des soldats de mes armées mou espoir a été justifié! Je vous vois avec plaisir ici; j'accepte vos offres, je vous donnerai des armes, et vous aurez pour vous commander des officiers couverts de Habitués à des travaux pénibles, vous saurez manier blessures et accoutumés à voir fuir l'ennemi devant eux. les armes et supporter les fatigues de la guerre. Je serai la défendre avec la garde nationale, dont vous serez les tranquille sur la capitale, puisque vous serez chargés de éclaireurs. J'irai avec confiance attendre l'étranger sur nos frontières; si les rois veulent attaquer notre indépendance, nous sommes sûrs de la victoire avec des efforts aussi unanimes. Vive la Nation !"-Les cris de vive la patrie! vive la liberté! vive l'empereur! se sont élevés de toutes parts: l'empereur a parcouru tous les rangs au galop; ensuite il est venu se placer près du vestibule; les fédérés ont défilé par pelotons. Lorsque les fédérés ont eu défilé, S. M. a passé la revue de ses troupes. La place du Carousel, les quais,le Louvre, la rue de Rivoli et toutes les rues adjacentes étoient couvertes de militaires. Depuis long-temps on n'avoit vu un spectacle aussi imposant.

Les régimens qui ont passé la revue de S. M. sont légère, le 68e de ligue, les tirailleurs et voltigeurs de la les suivans: le 1er 2e 4e et 10e régimens d'infanteriejeune garde, les grenadiers et chasseurs à pied et à cheval de la vieille garde, les dragons, les gendarmes, les lanciers rouges, un train d'artillerie considérable, une compagnie de potonniers et les mamelucks. Toutes ces troupes étoient dans une tenue magnifique. Le bon esprit et l'enthousiasme dont elles étoient animées prouvent que si les puissances coalisées vouloient tenter dans les braves d'Austerlitz, de Marengo, de Wagram, d'euvahir une seconde fois notre pays, elles trouveroient de la patrie, et qu'ils sont encore prêts à verser la derde Bar-sur Aube et de Champ-Aubert, les défenseurs nière goutte de leur sang pour maintenir la gloire de nos armes et l'intégrité de notre territoire.

hier dans la soirée, a annoncé le passage d'un courrier On assure qu'une dépêche télégraphique, arrivée d'Autriche par Strasbourg.

Les faubourgs Saint-Martin et du Temple ont faubourgs Saint-Antoine et Saint-Marceau. démandé à entrer dans la confédération formée par les

Une députation composée d'anciens gardes d'honneur a demandé à S. M. que leurs corps fusent réorganisés ; on croit que cette faveur leur sera accordée.

Extrait d'une lettre particulière de Rennes, en date du 10 Mai:-" Nos petits troubles se continuent malheureusement. Nous venons d'avoir une échauffourée dans l'arrondissement de Fougères. Deux voltigeurs ont été tués, et un poste a été désarmé, Le lendemain, le corps stationné dans cette partie a pris sa revanche, et a tué quatre ou cinq insurgés.

Déclaration du Général en Chef (WELLINGTON) des Armées Alliées, au peuple François.—Dépêche expresse.

François ! c'est de mon quartier-général, au milieu d'une armée formidable de soldats aguerris que j'élève la voix au nom de votre roi et de ses alliés, pour vous rappeler aux sentimens de la soumission et de la paix. Les malheurs qui vous menacent m'en fout un devoir pénible, mais il deviendra un titre de gloire pour moi, si je suis écouté. En me conférant le commandement en chef des armées du Nord, les souverains alliés m'ont investi d'une confiance qui m'honore. Je me suis engagé de la remplir; je tiendrai parole.

François qu'espérez-vous en vous attachant au sort du violateur de tous les traités ? d'un homme sans titre et sans pouvoir; voulez-vous éterniser la guerre en suivant cette aigle nourrie et toujours altérée de sang? Serez-vous assez trompés, assez égarés, pour penser, contre toute probabilité, qu'il triomphera de l'Europe entière dans la lutte qu'il se prépare follement à soutenir ? Non, François, nous ne pensons pas, nous ne supposons même pas que cette ambitieux effréné puisse avoir assez d'influence pour vous séduire au point de croire au succès de la plus folle des entreprises.

1

Nous connoissons ses forces, nous savons quels sont ses moyens, nous ne nous abusons pas nous-mêmes en vous déclarant que tous ses efforts ne vout servir qu'à le faire tomber plus sûrement dans nos mains. Non, François, je ne fais que le répéter, ce n'est point à la nation que nous entendons faire la guerre; ce n'est qu'à Bonaparte et à ses soldats. Malheur à ceux qui se joindront à eux; malheur aux provinces rebelles. Ne pensez pas que Bonaparte aura bravé impunément l'autorité souveraine de tant de têtes couronnées, en abusant comme il a fait de leur clémence; et ne pensez pas non plus que l'Europe offensée aura vainement fait d'énormes sacrifices pour replacer les Bourbons sur le trône de France, quand le repos et l'intérêt des nations lui commandent de les y maintenir.

Ces considérations n'existeroient pas, qu'une plus puissante encore les mettroit dans la nécessité de repren dre les armes une seconde fois; celle de punir cette horde de factieux qui ont fomenté les troubles actuels, et qui osent se prononcer contre le vœu nuanime de toutes les monarchies Européennes.

Oui, François, désormais l'Europe, unie et mue par le même intérêt, ne doit plus former qu'une seule et même puissance, et les souverains une corporation su prême, d'où s'élèvera le piédestal inébranlable de la paix et du bonheur des nations. Les droits de la monarchie émaneront de ce sénat auguste, pour être consignés dans ces actes solennels,

Le nom de Louis XVIII est inscrit dans ce pacte fédératif. Les souverains alliés l'ont replacé sur le trône de ses ancêtres, et proclamé la famille des Bourbons régnante jusqu'à son extinction sur le peuple François. C'est pour relever et affermir cette dynastie qu'ils reprennent aujourd'hui les armes; c'est pour soutenir la cause des rois, c'est pour consolider la souveraineté, c'est pour assurer le repos de tous les peuples, et pour donner un exemple imposant du pouvoir souverain à toutes les nations. Ils ne les déposeront qu'après avoir détruit sans retour la source de tous les maux dont vous êtes menacés, qu'après avoir signé la paix générale et assuré le repos et la tranquilité de l'Europe entière: ils l'ont juré à la face de l'univers.

François! c'est au nom de votre roi et de ses alliés que je vous exhorte à rentrer dans le devoir et dans le parti de la bonne cause. Louis XVIII vous rappelle encore; sa clémence veut encore vous pardonner votre égarement. Vous n'avez plus que peu de temps pour retourner à lui. Toute la France lui est signalée; il connoit le nom des bons et le nom des mauvais François. Il saura tenir compte aux uns de leur attachement, comme il saura panir l'infidélité des autres.

Dans quelques jours, douze cents mille soldats auront franchi vos frontières et envahi vos campagnes ; je ferai respecter les provinces soumises, mais je serai forcé de sévir contre le peuple. Extrait de l'Aristarque.

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Ce journal est publié tous les Samedis, à 7 heures du matin, à l'Office du MIROIR POLITIQUE, NO. 185, au bas du Pollet, et à la maison occupée par capt. Champion au Marché. On le porte, avant midi, chez les différens souscripteurs des environs de la ville. Tous avis, annonces, &c. qu'on désire y insérer, sont reçus à l'imprimerie seulement, jusqu'au Vendredi matin de chaque semaine. Le prix de l'abonnement est de six schellings par an, et pour la feuille détachée, trois pennys.

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LIFE.

[VOL. III

The cases in which pecuniary arrangements are made to depend on the continuance of particular lives are so numerous, and often involve such serious consequences to individuals and families, that it is difficult, to attach sufficient importance to the advantages which the means of effecting life assurances afford to society. Many trades and professions furnish considerable emo whilst the creation of a fund from the savings of such luments during the lives of those employed in them; profits, for the provision of dependants, must of necessity be the work of time. The calamities which may result from an early death, in such cases, can happily be averted by the precaution of Assurance.

of this capital, the sum of one hundred and twenty thou-
sand pounds, invested in government or real securities,
will be applicable to the immediate purposes of the
Institution, and the remainder guaranteed under a deed
of settlement, by a most numerous and respectable pro-
prietary. Thus the stability of the Company, and the
means of fulfilling its engagements, are on the one hand
placed beyond the reach of any calculable human
hazard, and on the other, persons making assurances,
and having no other object in view, do not incur respon-authorised to sign Policies of assurance for Guernsey
sibility, as in the case of contribution societies.

THE ATLAS undertakes to assure the proprietors of buildings, merchandize, furniture, farming-stocks, goods and effects; and also of craft and shipping upon canals and in harbours, against loss arising from fire. The company likewise undertakes to grant assurances upon lives, on useful and equitable principles.

FIRE.

The inestimable value of security against loss by fire has of late years made a sensible and growing impression on the public mind; and the very moderate terms upon which large bodies are enabled to afford

The following COMMITTEE OF PROPRIETORS are

and Jersey on behalf of the company-viz.

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that benefit to individuals in the event of accident, FOR SALE, VERY CHEAP, AT RICHARD

have rendered the attainment of this important object so easy, that the precaution is rarely neglected by considerate persons.

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Jeune's, Candie-road, a neat gig,with plated harness,
a close bodied chaise, a mangle, a patent oven complete,
a kitchen grate, 3 feet 8 inches square, with a variety
of other articles.

TWO HOUSES IN THE NEW-TOWN, TO
sold or let: possession be be had immediately

enquire of Peter de Havilland esq. New-Town-House.

3000 agreement. P. MLLER, respectfully informs his friends and the
public, that he carefully repairs repeating, horizontal
and plain watches; jewellery in general, whether pearl
or otherwise, executed with neatness and dispatch; apply
at Messrs. G. and P. Emdin's, No. 66, High-Street.

MARTEL, WATCHMAKER AND JEW

For the encouragement of persons making assurance for seven years by one payment, a deduction of one seventh part of the premium will be made; and if at the end of that period a further assurance for seven years be effected on the same property, a deduction of one fifth of the premium will be made, and so on for every succeeding seven years.

RENT OF BUILDINGS for a period not exceeding six months, at the rate of 5 per cent. per annum on the sum assured at this office will be paid, when the assured shall have suffered the loss thereof by fire, and a reasonable charge for the removal of goods will be allowed for Losses occasioned by LIGHTNING will be paid.

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