AT

T THIS ACADEMY, YOUNG GENTLEMEN are prepared for the University, Navy, Army and Commercial Departments; the course of Education consists of Latin, Greek and French Languages, Arihmetic, Merchants' Accompts, Geometry, Mensuration, Trigonometry, Navigation, with the most approved methods of working the Lunar observations and fortification; Geography, the use of the Globes, Astronomy and Dialling.

Mr. M. has procured the most complete instruments for each branch, and his pupils are practically instructed in measuring land and timber, laying plans, taking observations &c.

Terms per Annum.

Board and instruction, in English Arithmetic,
Merchants' Accompts, &c.

Residence during each Vacation.

French (by a Native) residing in the house.

Guineas.

28

Geometry, Trigonometry, Navigation, Mensuration 4 Geography, the use of the Globes, maps, &c. Washing 2 guineas, Entrance.

Drawing, Fencing, Dancing, by the most approved Masters, each.

2

1

Particular care is taken to instruct the Young Gentlemen to speak and write the French language, with purity and elegance.

The situation is the most desirable spot in this delightful Island, where the Young Gentlemen have in addition to a fine play ground, the important Advantage of sea-bathing.

Contractor for said Lottery.

Commissioners appointed to superintend the Drawing of the Guernsey Lottery,

Robert Moore, Esquire,
John De Carteret, Esquire,
John Mansell, Esquire,
William Robinson, Esquire,
John Bonamy, Esquire,
Frederick Price, Esquire,
John Betts, Esquire.

Saturday, at the store belonging to the heirs of the late capt. Du Feu, near the Town Hospital. Wheat at 20s. per quarter. Flour, 42s. 6d. per sack. Barley, 16s. per quarter. Oats, 14s. per do. Ship bread, 15s, per cwt. Do. damaged, 9s. per do. Clover seed, 63s. per cwt. Buck wheat, 9s.

W

A quantity of sacks.

M. MAILLARD's HOUSE, CONTREECROIX, consisting of a shop, kitchen, washhouse, cave and pump, ts to be given to rent.

PROCLAMATION STREI

DOYLE, Baronet, Chevalier Grande-Croix du très honorable Ordre du Bain, Chevalier de l'Ordre Impé rial du Croissant; Colonel du 87e or Prince of Wales's own Irish Regiment, Lieutenant-Gouverneur de Guer nesey, & commandant des Forces de Sa Majesté à Guernesey & Auregoy, &c. &c.

TOUS no Bureau du sécrétaire, l'Hôtel NOUS Etrangers non sujets de Sa Majesté, sont avertis

de

du Gouvernement, Mercredi 28 du courant, à 10 heures du matin.

Les étrangers de cette description, qui ne se conformé ront pas à la présen te, seront considérés comme des per

sonnes suspectes, et traités comme tels.

JA

Fait à l'Hôtel du Gouvernement,
Guernesey, 23 Juin 1815.

Par Ordre de Son Ex. le Lt.-Gouverneur,
P BREDTHAFFT,

A vendre une belle vache, qui sera à terme au mois d'Août prochain; s'adresser au susdits.

CIN A SIX QUARTIERS DE FROMENT

de rente, en deux parcelles, sont à vendre; s'adressur à J. Ozanne, à l'office de Mr. l'Avocat De Jersey.

A présent, la maison, belle et jardin, situés au
bailler à rente, pour entrer en jouissance dès-à-
Pollet; lesquelles étoient ci-devant occupés par
feu Mr. Jean La Serre; s'adresser à William Robin-f

son, au bas de la rue de la Fontaine.css'i
Le 17e. Juin, 1815.

AMES Le ROY, fait avoir, que sa maison, belle et laverie, situées,ur les Côtes, sont à vendre ou à louer, immédiatement; s'adresser au susdit, à sa maison, proche l'Hyvreuse.

CHARLES RABEY, fait savoir que sa maison et jardin, sies à Haute-Ville, sont à vendre.

Lymington, Hamshire.

ES demoiselles BEATON

Lleure mois qese TON et GROVE, informent

sente vacance, Lundi le 24 Juillet prochain, Elles sai

sissent cette opportunité pour remercier les habitans de

cette île pour les faveurs et le patronage qu'elles ont re çues d'eux, et assurent tels parens qui leur feront l'hon neur de placer leurs enfans sons leurs soins, qu'elles feront tout ce qui dépendra d'elles pour cultiver l'éduca, tion et l'entretien des mœurs de leurs pupilles.

Boulangerie publique.

J. COX, informe ses amis et le public qui

a

loué la Boulangerie de Mr. Wincey, No. 61, Grand'rue, où il a l'intention de Boulanger pour le

public ; et espère par son attention mériter leur pratique. SIEUR NIEUR JEAN OZANNE, PROCUREUR SUB. STITUT du Sr. Jean Voydie, saisi héréditalement de l'héritage de Charles Le Page, et d'Elizabeth Blondel sa femme, fait savoir aux habitans de cette fle, que ceux qui prétendent leur être dû quelque chose sur le dit héritage, ajent à s'enregitrer au Greffe dans 40 jours de la dernière publication, avec la date et nature de leurs dettes, sur les peines échéantes en tel cas.

SIEUR JOSUE SLEQUE, TENANT D

Delle. Henriette Le Mesurier, ci-devant saisie héréditalement de l'héritage du Sieur Hélier Du Puits, aux fins d'acte des plaids d'héritage du se Mars 1814, ayant été obligé de prendre la dite saisie aux fins d'acte du 4e Mars 1815, fait savoir aux habitans de cette ile, que ceux qui prétendent leur être dû quelque chose sur le dit héritage, aient à s'enregitrer au Greffe dans 40 jours de la dernière publication, avec la date et nature de leurs dettes sur les peines échéantes en tel cas. Le 19e Mai, 1815.

W sa malson, M. MAILLARD, FAIT SAVOIR, QUE une boutique, cuisine, laverie, pompe et cave, est à

donner à rente.

JET W. COLLINGS ET FRERES, ONT A

• vendre pour compte étranger;

106 petits Barrils de beau Biscuit.

93

55 sacs de farine de Pontoise, première qualité.

donner à rente.

LE Sieur Giunti flatté des suffrages que le public a bien voulu accorder à ses précédentes repré→ sentations, toujours empressé de varier ses plaisirs, aura l'honneur de donner, aujourd'hui, Samedi 24 Juin, une grande quantité de différens Tours, expériences, et dispense d'en donner ici le détail, afin d'occasionner une Pièces mécaniques qui n'ont pas encore paru.-On se surprise agréable.

Če spectacle est situé dans un appartement trèspropre, et très-avantageusement arrangé pour cet effet, maison de Mr. Masurier, charpentier, au HautPavé, quelques portes au-dessus du moulin. Premières places, 1sch. Galerie 6d.

Le spectacle commencera à 8 heures et finira à 10. On pourra se procurer des billets d'entrée chez l'Imprimeur, No. 227, Grand'rue, et au bureau du spectacle qui sera ouvert à sept heures du soir.

Le Sieur G. s'offre de donner son spectacle dans les maisons particulières, en le prévenant la veille. Il apprend des tours à ceux qui le désirent.

PRICE, a de bois de Suède, bien assai⚫sonué, et de la première qualité, de 1 à 3 pouces d'épaisseur, et de 1214 pieds de longueur, à vendre, à son magasin, à Glategy.

Α ISON DE LA BRASSERIE D LA MAISON DE LA BRASSERIE DERNIEREMENT occupée par J. Collings, jun. éc est à louer; s'adresser à l'office de l'Avocat Le Cocq. *

Liturgie,

PRESENTEMENT SOUS PRESSY,

les personnes de tout âge.

—Les douze planches seront délivrées dans le cours de l'ouvrage.

4L'ouvrage comprendra cinquante numéro du prix de 2sch. chaque; le numero contiendra au moins huit pages, de manière à rendre la Liturgie de famille non seulement très-élégante, mais encore très-peu conteuse.

5.--Le dernier numéro présentera la liste der souscripteurs.

AU PUBLIC.

Dans tous les pays et dans tous les siècles, on s'est plû généralement à encourager les beaux arts. Ils ne tendent pas seulement à civiliser; mais ils sont encore pour la postérité des monumens durables du goût et de la liberté des temps où ils prirent naissance.

L'imprimerie dans cette ile, étant encore dans son état d'enfauce, je n'ai épargné ni soin, úi travail pour faire marcher cet art de pas égal avec les autres nations. Le travail que je présente au public est tel que je ne balance pas à dire qu'il peut entrer en comparison avec les meilleures éditions de ce jour. Il est original par sa nature, car on n'a jamais encore imprimé en François une Liturgie de Famille. On a eu le plus grand soin de choisir la co-opération des premiers maîtres du siècle, et sur les quatre célébres artistes dont les talens achevés ont ajouté du lustre à cette Liturgie, trois déjà ont payé la dette à la nature, et ont immortalisé leur mémoire par leurs œuvres.

La mort imprime un sceau très-précieux sur les ouvrages de ces grands maîtres! C'est pourquoi, il est inatile d'ajouter que cetfé considération seule doit agir asesz puissamment sur les personnes de goût, pour let engager à se procurer la collection de ces précieus gravures qui leur est ici proposée.

collection de ces précieus

Si cet ouvrage est libéralement encouragé, mon intention est de publier de la même manière et dans le même style la Bible de Famille, comme sa digne compaghe

ོ་

L'IMPRIMEUR.

SEMAINES,

LA

SAINTE BIBLE,

PAR

NUMERO HEBDOMADAIRE,
De 6 Pennys chaque,

Dont le complément sera de cent cinquante numéro, ou environ,

AVEC DES NOTES ET ANNOTATIONS,
Traduites de l'Anglois,

Sur l'édition actuellement publiée par la Sociéte' pour la Propagation du

CHRISTIANISME.

L'ouvrage sera imprimé in-folio, sur beau papier, avec des caractères d'une forme grande et facile, propre aux personnes de tout âge.

On peut s'abonner chez Messieurs les Recteurs des différentes paroisses de la campagne, qui sont invités à recevoir les souscriptions, chez l'Imprimeur, 227, Grand'rue, et chez Mr. J. Champion, au Marché.

TEAN MOREAU, a trois grandes chambres, et deux petites à louer, dans sa maison du Mont-Gibel, et deux chambres dans sa maison à la rue de la Fontaine.

A VENDRE, TOUS LES MERCREDIS ET Samedis, au magasin appartenant ès héritiers de Capitaine Dufeu, proche l'hôpital de la ville, Froment, à 20s. le quartier, Farine à 42s. 6d. le sac, Orge, 16s. Avoine, 14s. Pois, à 6s. Biscuit, à 22s. ditto, endom. magé 15s. Graine de treffe,65s.par do.; une quantité de sacs; le tout nouvellement arrivé de France

ду

ACADEMIE

DU REV. C. MILNER,

Au-dessus de Ryde,

ISLE DE WIGHT..

ANS CETTE ACADEMIE, ON ENSEIGNE

entrer à Université, dans la Marine, dans l'Armée, ou dans la carrière du commerce.

Le cours de l'éducation consiste dans les langues Latine, Grecque et Françoise; dans l'étude de l'Arithmétique, la tenue des livres, la Géométrie, l'Arpentage, la Trigonométrie, la Navigation, d'après les méthodes les plus approuvées, les observations lunaires et la fortification, la Géographie, l'usage des Globes, et l'Astronomie.

Mr. M. s'est procuré les instrumens les plus complets pour chaque branche, et ses pupilles apprennent par pratique l'art de mésurer la terre et le bois, en traçant des plans, des observations, &c.

TERMES PAR AN.

Guinées.

Le dessein

Pension et instruction dans l'Anglois et l'Arithmétique, Tenue des livres, &c,

Résidence durant chaque vacance.

Instruction dans la langue Françoise, par un natif, résidant dans la maison.

La Géométrie, la Trigonométrie, la Navigation, l'Arpentage, &c.

La Géographie, l'usage des Globes et des Cartes, Blanchissage 2 guinées...En entrant.

Latin et Grec.

Le Dessin, la Danse, les armes, pár les meilleurs maitres, dans chaque partie,-à chacun.

4

On prend un soin particulier à apprendre aux jeunes gens à parler et à écrire la langue Françoise avec pureté et élégance.

1 1 0 id. ! 10 id.

44.0 id. et une guinée d'entrée 4 4 0 id. et id. 800 id. et id..

La tenue des livres par partie simple 0 10 6 id.

par parties doubles 1 1.0

La susdite école est tenue par Madame Hanington secondée par Mr. Orts, qui a dirigé l'école lors de l'indisposition sévère et presque constante de feu Mr. Hanington, pendant les neuf dernières années. L'état actuel et continuellement florissant de l'école présente, à Madame Hanington la preuve la plus satisfaisante, que la conduite de Mr. Orts et les soins qu'elle donne à l'arrangement domestique de la maison, ont mérité l'approbation des parens des jeunes messieurs qui lui ont été confiés.

La situation seine et agréable de Twyford est bien connue; la maison et très commode. L'école et le terrein destiné à la récréation sont extrêment spacieux, et on n'oublie rien de ce qui peut contribuer à la santé, aux progrès, et au bien-être des pensionnaires.

On peut s'adresser, pour de plus amples informations, à Mr. J. Agnew, Député Greffier du roi, à Guernesey, à capt. Clement Nicolle, ou à Mr. George Matthew, maître d'école, à Jersey.

N. B. On n'admet aucun externe.

Madame Hauington prend la liberté d'assurer ses amis qu'elle est pénétrée de la plus vive réconnoissance pour les bontés et l'encouragement distingué qu'elle éprouve et a l'honneur de les informer ainsi que le public, que l'école recommencera après les présentes vacances, Lundi le 24 Juillet 1815.

E.

& M. LE MOTTEE, ONT UNE QUAN. tité d'Indiennes, qu'elles vendent au prix coûtant. HARLES DE JERSEY, éc. ET JEAN LE Page, agissant pour Messrs. Adams, et Bowen, de Londres, fout savoir qu'ils ont uue maison à louer,

CHA

Le gouvernement a reçu hier des dépêches du duc de Wellington; elles annoncent le commencement des hostilités. Bonaparte a mis son armée du Nord en mouvement le 16, et a fait attaquer les avant-postes Prussiens, près de Givet. Un officier Prussien a été envoyé le même jour à Bruxelles, pour en informer lord Wellington, qui est parti sur-le-champ pour Nivelle, où il a fait concentrer le gros de son armée. L'armée de Bonaparte est estimée à environ 130,000 combattans. Ces circonstances sont les seules qui aient transpiré après l'arrivée de l'officier porteur des dépêches officielles. Les journaux de Bruxelles du 16, qui ont été aussi reçus hier, disent que l'ennemi est entré à Charleroi, mais qu'il s'en est retiré au bout de quelques heures, et que les troupes Belges se sont très-bien comportées en cette occasion.

Les journaux de Paris du 16, qui nous sont aussi parvenus hier, disent que Bonaparte est parti de Laon le 13, pour aller à Avesnes et delà à Maubeuge. Son arrivée aux frontières et le mouvement de ses troupes ne pouvoient pas encore être connus dans la capitale. Mais il a été reçu hier des avis de la côte qui portent qu'il a été annoncé à Boulogne par deux dépêches télégraphiques que Bonaparte avoit attaqué les Prussiens, le 16, à Givet, et qu'ils avoient été battus, avec perte de 1300 hommes et 6 pièces de canon. Quand même l'intérêt qu'ont les rebelles à exagérer les succès de leur chef, ne seroit pas aussi évident, l'usage où ils sont de propager les impostures les plus andacieuses lorsqu'elles peuvent, même momentanement servir leur cause, suffiroit pour rendre ces rapports très-suspects. Il est probable qu'ils ont été transmis à Boulogne afin qu'ils parvinsent dans ce pays-ci. Ils y ont produit peu d'effet, et l'on attend, au contraire, les nouvelles les plus satisfaisantes des Pays-Bas.

Un autre message télégraphique a annoncé en outre à Boulogne que Suchet avoit attaqué les alliés près de Chamberry, et après avoir détruit quatre régimens, avoit poursuivi le reste de leur armée jusqu'à Montmélian. On n'ajoute pas plus de foi à cette nouvelle qu'aux autres; si les troupes Sardes avoient essuyé quelqu'échec partiel, il aura été promptement réparé, à l'arrivée des immenses forces Autrichiennes qui s'avançoient rapidement vers la Savoie.

Les nouvelles d'Italie que nous trouvons dans les journaux du continent, vont jusqu'au 3 Juin, jour où Ancône a été remis aux troupes Autrichiennes, en vertu d'une capitulation conclue le 30 Mai.

Nous venons de recevoir des lettres et journaux de Bruxelles en date du 17. Ils nous informent que le Duc de Wellington a battu le 16 et le 17, l'armée Françoise près de Genappe-"Les rapports officiels de cette action ne sont pas encore parvenus à notre gouvernement, mais les bulletins suivans ont été publés à Bruxelles le 17.

"Nouvelles de l'armée: Un officier revenu des avant postes ce matin, apporte la nouvelle que tout alloit bien, que le Duc de Wellington a couché à Genappe. Quelques traîneurs ont répondu une faussc allarme, sans aucun fondement.

"Je déclare que jusqu'à ce moment je ne fais aucun préparatif de départ. Nos armées recommenceront d'attaquer l'ennemi aujourd'hui-Bruxelles, le 17 Juin, à 7 heures du matin. Le Secrétaire d'Etat, Baron de Capellen.

"Il vient d'arriver un courrier du Duc de Wellington, qui l'a laissé ce matin à cinq heures à Genappe. Il se préparoit à attaquer l'armée Françoise, qui se retiroit: le courrier n'a vu des fuyards qu'aux portes de Bruxelles. A sept heures et demie du matin. Le Secrétaire d'Etat, Baron de Capellen.

"Hier, vers cinq heures du soir, Louis XVIII. a et l'extrait suivant en a été montré à Gand chez le roi. reçu une dépêche du Duc de Wellington écrite à hâte,

"Bonaparte a été entièrement repoussé à Genappe. La bataille a été très-sanglante et le Duc de Brunswick a été tué à la tête de ses braves Brunswickois. Deux divisions Angloises ont beaucoup souffert: le Duc de Wellington écrit du champ de bataille qu'il est à la poursuite de Bonaparte, avec le maréchal Blucher."

Le bulletin officiel qui suit, a été reçu le 17, à 8 heures du matin au quartier-général de ford Fitzroy Sommerset, à Bruxelles.

"Bonaparte avoit attaqué hier, à onze heures da matin, la position de l'armée Angloise, aux quatre bras entre Nivelle et Genappe, avec des forces considérables. Il ne s'y trouvoit que 8000 Prussiens. Il fut repoussé dans toutes ses attaques, avec un earnage d'autant plus considérable qu'on ne faisoit de quartier ni de part ni d'autre la cavalerie Angloise s'est surtout couverte de gloire, ainsi que les troupes Brunswickoises. Il est malheureux d'avoir à dire que cette journée mémorable à coûté la vie au brave Due de Brunswick, ainsi qu'au brave général Pack: le combat cessa à 9 heures. Ce matin, sur les 2 heures, le grand Duc a attaqué et chargé à son tour les François, qui ont été mis en déroute et fuient dans toutes Iss directions, sabrés et hachés par la cavalerie Angloise, qui est à leurs trousses. Lord Wellington a eu un cheval tué sous lui, en écrivant une esquisse de l'action pour son gouvernement."

Les lettres de Bruxelles ajoutent que les Gén. Bertrand et Vandamme ont été pris; que la perte des François a été de 5,000 hommes, el qu'on attendoit 1,800 autres prisonniers à Bruxelles. Murat étoit avec Bonaparte.

Un journal de Cork, du 7 Juin, rapporte le fait suivant: Un soldat du 93e régiment, qu'on croyoit mort, a été exposé pendant deux jours dans les casernes, selon l'usage, et a été porté ensuité du cimetière de l'église de St. Nicolas, pour y être énterré. Hier au soir, au moment où on niettoit le cercueil et terre, les soldats présens, ayant entendu du mouvement, l'ouvri rent et trouvèrent leur camarade en vie et faisant des efforts avec ses genoux' et ses níains pour se dégager. Ils le reportèrent aux casernes dans le cercueil ouvert.