Histoire de France depuis 1789 jusqu'a nos jours, Volume 2Furne, Jouvet et Cie., 1878 |
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Common terms and phrases
accusés amis Anglais août armées armées du Rhin arrêter assignats Autrichiens avaient Babeuf Barère Billaud Billaud-Varennes Bonaparte C'était Cambon Camille Canclaux Carnot Charette Chaumette chefs Chouans citoyens club Collot Comité de salut Comité de Sûreté commandement commission condamnés Conseils conspiration Constitution contre-révolutionnaires Convention Corps législatif Couthon Danton déclara décret députés devant Directoire émigrés ennemis envoyé eût Fabre d'Églantine floréal force Fouquier-Tinville fructidor garde nationale germinal Girondins gouvernement guerre guillotine Hébert Hoche Hollande hommes insurgés Jacobins Jourdan jours juin Kléber l'archiduc l'armée l'Autriche l'échafaud l'ennemi laissa liberté Loire Lyon madame Roland Marat masse Mayence ment militaire Montagnards Moreau mort n'avait n'était Nantes paix patriotes peuple Pichegru Pitt prairial président prison Prusse réaction réactionnaires représentants en mission républicains reste Révolution Rhin rive Robespierre Ronsin royalistes s'était Saint-Just salut public sauver sections sentait soldats Sûreté générale Terreur tête thermidor tion Toulon Tribunal révolutionnaire troupes Vendée Vendéens vendémiaire Venise voter Würmser
Popular passages
Page 15 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 237 - Souffrir et mourir est tout ce qui me reste à faire; c'est l'affaire de la nature : mais moi, j'ai tâché de vivre de manière à n'avoir pas besoin de songer à la mort; et maintenant qu'elle approche, je la vois venir sans effroi. Qui s'endort dans le sein d'un père n'est pas en souci du réveil.
Page 15 - Fuyez la manie ancienne des gouvernements de vouloir trop gouverner; laissez aux individus, laissez aux familles le droit de faire ce qui ne nuit...
Page 11 - Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Page 177 - Sont déclarés traîtres à la patrie, et seront punis comme tels, ceux qui seront convaincus d'avoir de quelque manière que ce soit, favorisé dans la République le plan de corruption des citoyens, de subversion des pouvoirs et de l'esprit public; d'avoir excité des inquiétudes à dessein d'empêcher l'arrivage des denrées à Paris; d'avoir donné...
Page 175 - Les propriétés des patriotes sont inviolables et sacrées. Les biens des personnes reconnues ennemies de la révolution seront séquestrés au profit de la République ; ces personnes seront détenues jusqu'à la paix, et bannies ensuite à perpétuité.
Page 174 - Concevez-vous qu'un empire puisse exister, .si les rapports civils aboutissent à ceux qui sont contraires à la forme du gouvernement? Ceux qui font des révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau. La révolution nous conduit à reconnaître ce principe , que celui qui s'est montré l'ennemi de son pays n'y peut être propriétaire.
Page 62 - Ceux qui font des révolutions dans le monde, ceux qui veulent faire le bien ne doivent dormir que dans le tombeau.
Page 47 - Dès ce moment jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la République, tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées. Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront...
Page 462 - Soldats, je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la Patrie; mais la Patrie ne peut courir de dangers réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait triompher de l'Europe coalisée sont là. Des montagnes nous séparent de la France; vous, les franchiriez avec la rapidité de l'aigle, s'il le fallait, pour maintenir la Constitution, défendre la liberté, protéger le gouvernement et les républicains.