 Je vois bien, murmura-t-elle, qu'il faut prendre son parti. Je ne crains pas la mort; mais vous deux, qu'allez-vous devenir? » Elle s'était soulevée sur son oreiller en nous parlant ainsi pour la dernière fois; elle se coucha, ferma ses beaux yeux,...  Revue de Paris - Page 26edited by - 1841Full view - About this book
 | Louis Victor Flamand-Grétry - 1820 - 322 pages
...crains pas la mort; mais , vous deux, qu'allez-vous » devenir ! » Elle était assise sur son lit en nous parlant ainsi pour la dernière fois; elle se coucha, ferma ses beaux yeux, et fut rejoindre ses sœurs. (22) Fut-il jamais , hélas! etc. « Vingt fois , dit Grétry, » j'ai jeté... | |
 | André Ernest Modeste Grétry - Music - 1829 - 330 pages
...crains point la mort; mais » vous deux qu'allez-vons devenir ! » Elle était assise sur son lit, en nous parlant ainsi pour la dernière fois ; elle se coucha, ferma ses beaux yeux , et fut rejoindre ses sœurs. Je ne chercherai point à retracer ici l'horreur de ma situation ni celle... | |
 | 1853 - 488 pages
...parti : je ne crains point la mort; mais vous, qu' allez-vous devenir! Elle était assise sur son lit en nous parlant ainsi pour la dernière fois; elle se coucha, ferma ses beaux yeux et fut rejoindre ses sœurs. » Je ne chercherai point à retracer ici l'horreur de ma situation ni celle... | |
 | Arsène Houssaye - 1860 - 470 pages
...amours imaginaires. Quel tableau pour Grétry! « Elle eut, dit-il dans ses Mémoires, quelques instants de sérénité avant de mourir. Elle prit ma main,...yeux, et alla rejoindre ses sœurs. » Grétry est très-éloquent dans sa douleur; il ya dans ce triste chapitre de ses Mémoires un cri parti de son... | |
 | Arsène Houssaye - France - 1863 - 496 pages
...imaginaires. Quel tableau pour Grétry ! « Elle eut, dit-il dans ses Mémoires, quelques instants de sérénité avant de mourir. Elle prit ma main,...ferma ses beaux yeux et alla rejoindre ses sœurs *. » V LA FILLE DE VANLOO Caroline Vanloo fut l'œuvre la plus aimée de Carle Vanloo, un divin portrait... | |
 | Arsène Houssaye - France - 1891 - 374 pages
...mourir. Elle prit ma main, celle de sa mère, et, avec un doux sourire : «Je vois bien, murmurj-t-elle, qu'il faut prendre son parti. Je ne crains pas la...parti de son cœur qui vient déchirer le nôtre. « 0 mes amis ! sécriet-il en jetant sa plume, une larme, une larme sur la tombe chérie de mes trois... | |
 | Romain Rolland - Composers - 1908 - 326 pages
...ses sœurs; elle était sereine, elle s'apitoyait sur ses parents. Elle était assise sur son lit, en nous parlant ainsi pour la dernière fois; elle se coucha, ferma ses beaux yeux, et fut rejoindre ses sœurs... Par pitié pour moi, ma femme eut la force de supporter la vie, et me força... | |
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