 ... taille au combat, de quitter vostre service, ny « d'aller à la messe. » Ayant donc ceste privauté avec luy, il luy dit : « Ambroise, je ne « seay ce qui m'est survenu depuis deux ou trois jours; mais je me trouve l'esprit et le...  Précis de l'histoire Moderne - Page 149by Jules Michelet - 1832 - 264 pagesFull view - About this book
 | Maximilien de Béthune duc de Sully - France - 1788 - 564 pages
...s'ouvrit à lui sur le trouble dont il se sentoit agité. « Ambroise, lui dit-il, « je ne sçàis ce qui m'est survenu depuis deux » ou trois jours, mais je me trouve l'esprit et le » corps, tous aussi émus, que si j'avois la fievre. » II me semble àtout moment, aussi-bien veil» lant que... | |
 | François Noel - Almanacs, French - 1812 - 638 pages
...ce fut dans le sein de Paré qu'il déposa ses chagrins : « Ambroise , lui » dit-il , je ne sais ce qui m'est survenu depuis deux '» ou trois jours , mais je me trouve l'esprit et le" * corps tout aussi émus que si j'avois la f1èvre. 11 me ». semble à tous mcmens , aussi bien en veillant... | |
 | Maximilien de Béthune duc de Sully - France - 1814 - 592 pages
...s'ouvrit à lui sur le trouble dont il se sentoit agité. « Am» broise , lui dit-il , je ne sais ce qui m'est survenu » depuis deux ou trois jours , mais je me trouve » l'esprit et le corps , tout aussi émus , que si j'a» vois la fièvre. Il me semble à tout moment , » aussi bien veillant... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - France - 1815 - 452 pages
...le feroit abjurer. , trouble affreux dont il se sentait agité* Ambroise , lui dit-il , je ne sais ce qui m'est survenu depuis deux ou trois jours ; mais je me trouve l'esprit et le corps tout aussi émus que si j'avois la fièvre; il me semble à tout moment , aussi bien veillant que dormant... | |
 | Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - France - 1816 - 442 pages
...lui sur le trouble affreux dont il se sentoit agité. Ambroise, lui dit-il , je ne sais ce qui m 'est survenu depuis deux ou trois jours; mais je me trouve l'esprit et le corps tout aussi émus que si J'avais la fievre; il1ne semble à tout moment, aussi bien veillant que dormant,... | |
 | Maximilien de Béthune duc de Sully - 1820 - 500 pages
...de quitter vostre service, « ny d'aller à la messe. » Ayant donc cette privanté avec luy, il luy dit : « Ambroise, je ne scay ce qui m'est « survenu...grandement esmeus, voire « tout ainsi que si j'avois la fiévre, ine semblant à « tout moment aussi bien veillant que dormant que « ces corps massacrez... | |
 | France - 1820 - 492 pages
...d'aller à la messe. » Ayant donc cette privanté avec luy, il luy dit : « Ambroise, je ne sçay ce qui m'est « survenu depuis deux ou trois jours...grandement esmeus, voire « tout ainsi que si j'avois la fiévre , me semblant à « tout moment aussi bien veillant que dormant que « ces corps massacrez... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1820 - 506 pages
...messe. » Ayant donc cette privauté avec luy, il luy dit : « Ambroise, je ne sçay ce quim'est « survenu depuis, deux ou trois jours , mais je me «...grandement esmeus, voire « tout ainsi que si j'avois la fiévre, me semblant à « tout moment aussi bien veillant que dormant que « ces corps massacrez se... | |
 | Maximilien de Béthune duc de Sully - France - 1822 - 542 pages
...et s'ouvrit à lui sur le trouble dont il se sentait agité. « Am<t broise, lui dit-il, je ne sais ce qui m'est survenu « depuis deux ou trois jours , mais je me trouve « l'esprit et le corps tout aussi émus que si j'avais « la fièvre. Il me semble à tout moment, aussi a bien veillant que... | |
 | Jules Michelet - History, Modern - 1827 - 550 pages
...chirurgien, » qu'il aimait infiniment quoiqu'il fût de la religion, et » lui dit : Ambroise, je ne sçay ce qui m'est survenu » depuis deux ou trois jours,...le corps grandement esmeus, voire tout ainsi que si » j'avais la fièvre, me semblant à tôut moment, aussi » bien veillant que dormant, que ces corps... | |
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