| Voltaire - Authors, French - 1785 - 452 pages
...lents, comme fefant l'exercice. On voyait les majors appuyer leurs cannes fur les fufils des foldats pour les faire tirer bas et droit. Ils débordèrent...la redoute. Ce corps qui auparavant était en trois divifions , fe preffant par la nature du terrain , devint une colonne longue et épaiiïe prefqu'inébranlablepar... | |
| Voltaire - 1785 - 556 pages
...lents, comme fefant l'exercice. On voyait les majors appuyer leurs cannes fur les fufils des foldats pour les faire tirer bas et droit. Ils débordèrent...redoute. Ce corps, qui auparavant était en trois divifions , fe preflant par la nature du terrain , devint une colonne longue et épaifle , prefqu'inébranlable... | |
| Voltaire - 1785 - 560 pages
...lents, comme fefant l'exercice. On voyait les majors appuyer leurs cannes fur les fufils des foldats pour les faire tirer bas et droit. Ils débordèrent...redoute. Ce corps, qui auparavant était en trois divifions , fe preffant par la nature du terrain , devint une colonne longue et épaifle , prefqu'inébranlable... | |
| Voltaire - 1785 - 456 pages
...lents, comme fefant l'exercice. On voyait les majors appuyer leurs cannes fur les fufils des foldats pour les faire tirer bas et droit. Ils débordèrent...la redoute. Ce corps qui auparavant était en trois divifions , fe preflant par la nature du terrain , devint une colonne longue et épaifle prefqu'inébranlablepar... | |
| Voltaire - 1792 - 494 pages
..., comme fefant l'exercice. On voyait les majors appuyer leur! • cannes fur les fufils des foldats pour les faire tirer bas et droit. Ils débordèrent...la redoute. Ce corps qui auparavant était en trois divifions , fe prenant -prir la nature du terrain, devint nne colonne longue et épaiiTe prefiru'inéhranlable... | |
| Voltaire - 1792 - 464 pages
...les majors appuyer leurs, cannes fur les fufils des foldats pour les faire tirer bas et droit, lis débordèrent Fontenoi et la redoute. Ce corps qui auparavant était en trois divifions , fe preflant par la nature du terrain ,. devint une colonne longue et épaifle prefqu'inébranlable... | |
| Voltaire - Europe - 1808 - 396 pages
...général, n'arriva que dans leur déroute. Les Anglais avançaient à pas lents, comme faisant l'exercice. On voyait les majors appuyer leurs cannes sur les...par la nature du terrain, devint une colonne longue el épaisse, presqu'inébranlable par sa masse , et plus encore par son courage ; elle s'avança vers... | |
| Battles - 1808 - 488 pages
...lieutenant-général , n'arriva que dans leur déroute. Les Anglais avançaient à pas lents comme faisant l'exercice. On voyait les majors appuyer leurs cannes sur les...auparavant était en trois divisions , se pressant ;ïar la nature du terrain , devînt une colonne longue et: épaisse , presque inébranlable par sa... | |
| Voltaire - 1810 - 404 pages
...général, n'arriva que dans leur déroute. Les Anglais avançaient à pas lents, comme faisant l'exercice. On voyait les majors appuyer leurs cannes sur les...du terrain, devint une colonne longue et épaisse, presqu'inébranlable par sa masse, et plus encore par son courage ; elle s'avança vers le régiment... | |
| Voltaire - France - 1817 - 280 pages
...n'arriva que dans leur déroute. Les Anglais avancaient à pas lents , e"omme faisant l'exercice : on voyait les majors appuyer leurs cannes sur les fusils des soldats pour les fai*e tirer bas et droit. Ils déborderent Fontenoi et la redoute. Ce corps n qui auparavant était... | |
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