Précis historique de la Révolution du Canton de Vaud et de l'invasion de la Suisse en 1798 ...au Dépôt bibliographique, 1831 - 543 pages Analyse: Un des chefs du parti bernois. |
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Aloïs Réding anciens Cantons Andermatt aristocratiques armées armes auroit autorités avoient avoit Bâle bernois Buonaparte Canton de Berne Canton de Vaud Canton de Zurich cantonales Capo-d'Istria central chefs circonstances citoyens co-états confédération connoître d'Argovie déclaration députés devoient devoit diète droitures féodales espérances étoient étoit événemens falloit force gouvernement helvétique guerre habitans hautes puissances hommes insurgés intérêts l'acte de médiation l'ancien ordre l'Autriche l'Etat l'Helvétie Laharpe landammann Lausanne Lucerne magistrats membres ment milices militaires ministre Monod n'avoient n'avoit n'étoit Napoléon nation national neutralité nouveaux Cantons nouvelle ordre de choses pacte fédéral patrie Pays de Vaud paysans petit conseil Petits-Cantons peuple pièce justificative politique pouvoient pouvoir préfet premier consul proclamation projet de constitution publique puissances alliées quartier général république helvétique révolution Russie s'étoient Schwitz sénat seroient seroit seul Suisse système territoire tion traité de Lunéville tranquillité troupes françoises vaudois venoit vernement vœu vouloit XIX Cantons Zurich
Popular passages
Page 257 - Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire. La seconde guerre de Pologne sera glorieuse aux armes françaises, comme la première.
Page 519 - ... travaux , ne soit pas troublée de nouveau , et pour la garantir de tout attentat qui menacerait de replonger les peuples dans les désordres et les malheurs des révolutions. «Et quoique intimement persuadés que la France entière...
Page 259 - C'est à l'idéologie , à cette ténébreuse métaphysique, qui, en recherchant avec subtilité les causes premières , veut sur ses bases fonder la législation des peuples, au lieu d'approprier les lois à la connaissance du cœur humain et aux leçons de l'histoire, qu'il faut attribuer tous les malheurs qu'a éprouvés notre belle France. Ces erreurs devaient et ont effectivement amené le régime des hommes de sang.
Page 437 - Il n'est aucun homme sensé qui ne voie que la médiation dont je me charge est pour l'Helvétie un bienfait de cette Providence qui, au milieu de tant de bouleversements et de chocs, a toujours veillé à l'existence et à l'indépendance de votre nation, et que cette médiation est le seul moyen qui vous reste pour sauver l'une et l'autre.
Page 518 - France, avec des projets de troubles et de bouleversemens, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté à la face de l'univers qu'il ne saurait y avoir ni paix ni trêve avec lui. Les Puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Buonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page 519 - ... et le consolider; elles emploieront tous leurs moyens et réuniront tous leurs efforts, pour que la paix générale, objet des vœux de l'Europe et but constant de leurs travaux, ne soit pas troublée de nouveau...
Page 434 - Vous vous êtes disputés trois ans sans vous entendre: si l'on vous abandonne plus longtemps à vousmêmes, vous vous tuerez trois ans sans vous entendre davantage.
Page 518 - Bonaparte et de son entrée à main armée en France, doivent à leur propre dignité et à l'intérêt de l'ordre social une déclaration solennelle des sentiments que cet événement leur a fait éprouver.
Page 449 - L'Angleterre peut bien vous payer quelques millions ; mais ce n'est pas là un bien permanent. L'Autriche n'a pas d'argent , et elle a suffisamment d'hommes. Ni l'Angleterre ni l'Autriche , mais bien la France, prendra vos régimens suisses à sa solde.
Page 435 - J'avais vu constamment vos différents gouvernements me demander des conseils et ne pas les suivre, et quelquefois abuser de mon nom, selon leurs intérêts et leurs passions.