Mémoires sur la Restauration: ou, Souvenirs historiques sur cette époque, la Révolution de 1830, et les premières années du règne de Louis-Philippe, Volume 2L. Hauman, 1835 - France |
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amis arriva assez avaient Bertrand Blacas Bordeaux Bourbons c'était Cambacérès Carnot cent-jours château château Trompette chose Clausel cœur commandant comte d'Artois conseil d'Elbe devait dévouement dire dit-il donner drapeaux duc d'Angoulême duc d'Orléans duc d'Otrante duc de Bassano duc de Berri duc de Rovigo duchesse d'Angoulême enfans enfin époque famille femme Fouché frère Gand garde nationale général Clausel général Decaen général Dessoles général Gilly général Grouchy gouvernement heures homme j'ai jamais jour journal Junot l'armée l'em l'empe L'officier d'ordonnance Lavalette lettre long-temps Louis XVIII Lucien Lyon madame de Staël madame la duchesse main maison malheur maréchal Ney mars ment ministre Moniteur MONSIEUR Murat n'avait Napo Napoléon officier parler paroles passer père Elisée pereur personne Petiel Pont-Saint-Esprit pouvait prince princesse quitta reine Hortense Restauration reste reur rien royale s'écria seul Sire soldats Talleyrand tion tricolore troupes trouve Tuileries venait veux vint voilà voix voulait voulut vraiment
Popular passages
Page 271 - Soldats ! Nous sommes restés fidèles à » l'empereur Napoléon jusqu'à ce qu'il nous » ait lui-même abandonnés. Il vient enfin » de renoncer à un pouvoir dont il avait » si long- temps abusé. Il vient d'abdiquer » un empire dont il ne pouvait plus tenir « les rênes : nous sommes , à son égard , dé
Page 90 - Français ! Que tous les braves que j'ai l'honneur de commander se pénètrent de cette grande vérité ! » Soldats , je vous ai souvent menés à la victoire : maintenant je veux vous conduire à cette phalange immortelle que l'empereur Napoléon conduit à Paris , et qui y sera sous peu de jours ; et là notre espérance et notre bonheur seront à jamais réalisés.
Page 90 - La -cause des Bourbons est à jamais perdue! La dynastie légitime que la nation française a adoptée va remonter sur le trône : c'est à l'empereur Napoléon , notre souverain , qu'il appartient seul de régner sur notre beau pays ! Que la noblesse des Bourbons prenne le parti de s'expatrier encore , ou qu'elle consente à vivre au milieu de nous, que nous importe ? La cause sacrée de la liberté et de notre indépendance ne souffrira plus de leur funeste influence.
Page 90 - Soldats, les temps ne sont plus où l'on gouvernait les peuples en étouffant leurs droits : la liberté triomphe enfin, et Napoléon, notre auguste Empereur, va l'affermir à jamais. Que désormais cette cause si belle soit la nôtre et celle de tous les Français. Que tous les braves que j'ai l'honneur de commander se pénètrent de cette grande vérité.
Page 16 - C'est une guerre atroce qui ne peut être terminée que par un acte de haute police extraor-dinaire. « Parmi ces hommes que la police vient de signaler , tous n'ont pas été pris le poignard à la main ; mais tous sont universellement connus pour être capables de l'aiguiser et de le prendre.
Page 177 - A voir ainsi le monarque endormi dans la volupté , des courtisans corrompus, des ministres méchants ou imbéciles, le peuple perdant ses mœurs; les philosophes, les uns sapant la religion , les autres l'État ; des nobles, ou ignorants , ou atteints des vices du jour ; des ecclésiastiques , à Paris la honte de leur ordre, dans les provinces pleins de préjugés , on eût dit d'une foule de manœuvres s'empressant à l'envi de démolir un grand édifice a.
Page 90 - La cause sacrée de la liberté et de notre indépendance ne souffrira plus de leur funeste influence. Ils ont voulu avilir notre gloire militaire; mais ils se sont trompés : cette gloire est le fruit de trop nobles travaux , pour que nous puissions jamais en perdre le souvenir.
Page 284 - Ce n'est plus que l'empereur malheureux que j accompagne ; et comme je le dis dans ma lettre au roi , j'acquitte la dette de la reconnaissance et de l'honneur. Je reste sujet du roi, et je serai son sujet fidèle, comme je l'ai été de l'empereur. Je suis persuadé qu'il a...
Page 117 - Général Girard, on m'assure que vos troupes, connaissant les décrets de Paris, ont résolu par représailles de faire main basse sur les royalistes qu'elles rencontreront: vous ne rencontrerez que des Français ; je vous défends de tirer un seul coup de fusil ; calmez vos...
Page 90 - ... de régner sur notre beau pays. Que la » noblesse des Bourbons prenne le parti de s'expatrier » encore ou qu'elle consente à vivre au milieu de nous , » que nous importe ! La cause sacrée de la liberté et de » notre indépendance ne souffrira plus de leur funeste in