Elle a sans doute craint la méfiance qu'inspiré le malheur; mais elle a eu bien tort en ce qui me concerne; votre dévouement m'intéresse, et si nous nous convenons d'ailleurs, je veux que vous vous ressentiez de mon estime. Fiez-vous à moi; je ferai... Revue des deux mondes - Page 260edited by - 1860Full view - About this book
| George Sand - 1862 - 398 pages
...enfants. — Avec douze cents francs? s'écria la marquise. Non, cela ne se peut pas. Ah! mon Dieu! madame d'Arglade ne m'avait pas dit cela. Elle a sans doute craint la méfiance qu'inspire le malheur; mais elle a eu bien tort en ce qui me concerne; votre dévouement m'intéresse... | |
| George Sand - 1865 - 396 pages
...mon Dieu! madame d'Arglade ne m'avait pas dit cela. Elle a sans doute craint la méfiance qu'inspire le malheur; mais elle a eu bien tort en ce qui me...d'ailleurs, je veux que vous vous ressentiez de mon estime. Fiozvous à moi; je ferai de mon mieux. — Ah! madame, lui répondis-je, que j'aie ou non le bonheur... | |
| George Sand - 1867 - 400 pages
...enfants. — Avec douze cents francs? s'écria la marquise. Non, cela ne se peut pas. Ahl mon Dieu! madame d'Arglade ne m'avait pas dit cela. Elle a sans doute craint la méfiance qu'inspire le malheur; mais elle à eu bien tort en ce qui me concerne; votre dévouement m'intéresse,... | |
| William Dwight Whitney, Marian Parker Whitney - French language - 1891 - 282 pages
...15 — Avec douze cents francs ? s'écria la marquise. Non, cela ne se peut pas. Ah, mon Dieu ! Mme d'Arglade ne m'avait pas dit cela. Elle a sans doute...mais elle a eu bien tort en ce qui me concerne; votre dévoue- 20 ment m'intéresse, et si nous nous convenons d'ailleurs je veux que vous vous ressentiez... | |
| Amédé Rougemont - French literature - 1893 - 436 pages
...enfants." 25 "Avec douze cents francs? s'écria la marquise. Non, cela ne se peut pas. Ah! mon Dieu! Mme d'Arglade ne m'avait pas dit cela. Elle a sans doute...concerne ; votre dévouement m'intéresse, et si nous 30 nous convenons d'ailleurs, je veux que vous vous ressentiez de mon estime. Fiez-vous à moi ; je... | |
| Amédé Rougemont - France - 1893 - 424 pages
...enfants." 25 "Avec douze cents francs? s'écria la marquise. Non, cela ne se peut pas. Ah! mon Dieu! Mrae d'Arglade ne m'avait pas dit cela. Elle a sans doute craint la méfiance qu'inspire le malheur ; mais elle a eu bien tort en ce qui me concerne ; votre dévouement m'intéresse,... | |
| George Sand - 1894 - 398 pages
...douze cents francs? s'écria la marquise. Non, cela ne se peut pas. Àhl mon Dieu! madame d'Àrglade ne m'avait pas dit cela. Elle a sans doute craint...estime. Fiezvous à moi; je ferai de mon mieux. — Ah I madame, lui répondis-je, que j'aie ou noa le bonheur de vous convenir, laissez-moi vous remercier... | |
| Karl Julius Ploetz, Carl Ploetz - French literature - 1894 - 846 pages
...enfants. * BAvec douze cents francs? s'écria la marquise. Non, cela ne se peut pas. Ah! mon Dieu! Mm« d'Arglade ne m'avait pas dit cela Elle a sans doute craint la méfiance qu'inspiré le malheur; mais elU> a eu bien tort en ce qui me concerne: votre dévouement m'intéresse et si nous nous convenons... | |
| Paul Jacquinet - Authors, French - 1893 - 704 pages
...enfants. — Avec douze cents francs ? s'écria la marquise. Non, cela ne se peut pas. Ah! mon Dieu ! Mmo d'Arglade ne m'avait pas dit cela. Elle a sans doute craint la méfiance qu'inspire le malheur ; mais elle a eu bien tort en ce qui me concerne ; votre dévouement m'intéresse,... | |
| Eugène Aubert - French literature - 1897 - 314 pages
...— Avec douze cents francs ? s'écrie la marquise. Non, cela ne se peut pas. Ah ! mon Dieu ! Mme. d'Arglade ne m'avait pas dit cela. Elle a sans doute craint la méfiance qu'inspire le malheur; mais elle a eu bien tort en ce qui me concerne; votre dévouement m'intéresse,... | |
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