Études historiques sur la vie privée: politique et littéraire de M. A. Thiers, Volume 2Furne, 1846 - France |
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Page iii
... question d'Espagne . M. le comte Molé paraît être d'intelli- gence avec eux . Discussion sur la question du mot jamais . Adoption d'un amendement qui condamne la politique pro- posée et défendue par M. Thiers . Il reprend son rôle d'op ...
... question d'Espagne . M. le comte Molé paraît être d'intelli- gence avec eux . Discussion sur la question du mot jamais . Adoption d'un amendement qui condamne la politique pro- posée et défendue par M. Thiers . Il reprend son rôle d'op ...
Page iv
... Question d'Orient . Étude historique de cette grande ques- tion . Pièces et documents à l'appui . Correspondance entre M. Thiers et M. Guizot . Conclusion contre M. Thiers avant le mois d'octobre , pour lui après cette époque . Phrase ...
... Question d'Orient . Étude historique de cette grande ques- tion . Pièces et documents à l'appui . Correspondance entre M. Thiers et M. Guizot . Conclusion contre M. Thiers avant le mois d'octobre , pour lui après cette époque . Phrase ...
Page 4
... question des dépenses assez considérables qu'avait nécessitées ce complot . Qui avait pu fournir les matériaux en bois , en fer , et les fusils de la machine ? Qui avait payé le loyer de la maison du boulevard ? Il fallait remonter aux ...
... question des dépenses assez considérables qu'avait nécessitées ce complot . Qui avait pu fournir les matériaux en bois , en fer , et les fusils de la machine ? Qui avait payé le loyer de la maison du boulevard ? Il fallait remonter aux ...
Page 27
... question touchait à des intérêts sacrés . Il fal- lait détruire ces préjugés accrédités dans le public , et qui , par le calcul si trompeur de ce que l'on appelle des moyennes , fait que l'on efface la douleur des uns par la ...
... question touchait à des intérêts sacrés . Il fal- lait détruire ces préjugés accrédités dans le public , et qui , par le calcul si trompeur de ce que l'on appelle des moyennes , fait que l'on efface la douleur des uns par la ...
Page 30
... question qui lui a paru com- prendre la chance de causer des douleurs nombreuses , de froisser des fortunes médiocres , et par conséquent respectables , le cabinet a cru devoir être plein , non pas d'hésitation , mais de ménagements ...
... question qui lui a paru com- prendre la chance de causer des douleurs nombreuses , de froisser des fortunes médiocres , et par conséquent respectables , le cabinet a cru devoir être plein , non pas d'hésitation , mais de ménagements ...
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Common terms and phrases
15 avril 1er mars actes affaires étrangères Alibaud Andrieux anglais armée avaient avons bataille bataille de Marengo c'était cabinet du 15 Chambre Charte chef choses clergé coalition comte Molé Concordat constitution constitutionnels Desaix devant diplomatie dire discussion donner Égypte énergique enfin époque esprit eût événements Fieschi force française général Bonaparte génie gloire gouvernement guerre Guizot hommes d'État institutions intérêts j'ai jamais jour jugement juillet l'Angleterre l'Égypte l'empereur l'empire l'Espagne l'Europe l'Histoire du Consulat l'historien laisser Lavocat liberté lord Palmerston maréchal Soult Méhémet-Ali ment messieurs ministre monde Morey n'avait n'était Napoléon nation nationale Odilon Barrot pacha paix passer passions pays pensée Pépin personne peuple politique pouvait pouvoir premier consul président du conseil prince principes puissance qu'une question d'Orient reste révolution révolution française rien royal royauté Russie s'était sentiment serait seul siècle Sieyès situation sorte sultan Syrie système théophilanthropes Thiers tion traité traité d'Unkiar-Skelessi tribunat tribunaux tribune triomphe vérité
Popular passages
Page 181 - Le présent article séparé aura la même force et valeur que s'il était inséré mot à mot dans la convention de ce jour : il sera ratifié , et les ratifications en seront échangées en même temps.
Page 144 - Il y aura à jamais paix, amitié, et alliance entre sa Majesté l'Empereur de toutes les Russies et sa Majesté l'Empereur des Ottomans, leurs empires, et leurs sujets, tant sur terre que sur mer. Cette alliance ayant uniquement pour objet la défense commune de leurs états contre tout empiétement, leurs Majestés promettent de s'entendre sans réserve sur tous les objets qui concernent leur tranquillité et sûreté respectives, et de se prêter à cet effet, mutuellement, des secours matériels...
Page 144 - Russie viendraient à se présenter , quoique ce cas ne soit nullement à prévoir, s'il plaît à Dieu, promet de fournir, par terre et par mer, autant de troupes et de forces que les deux hautes parties contractantes le jugeraient nécessaire. D'après cela , il est convenu qu'en ce cas, les forces de terre et de mer dont la sublime Porte réclamerait le secours seront tenues à sa disposition.
Page 146 - En foi de quoi les plénipotentiaires respectifs l'ont signé et y ont apposé le cachet de leurs armes. Fait à Paris, le 30 mai de l'an de grâce 1814, (LS) Signé le prince de Bénévent.
Page 146 - Sublime -Porte ottomane, à la place du secours qu'elle doit prêter, au besoin, d'après le principe de réciprocité du traité patent, devra borner son action en faveur de la cour impériale de Russie à fermer le détroit des' Dardanelles, c'est-à-dire à ne permettre à aucun bâtiment de guerre étranger d'y entrer sous aucun prétexte quelconque.
Page lvii - Toutes les voix étaient libres. La France, au comble de la puissance, était maîtresse de tout le sol qui s'étend du Rhin aux Pyrénées, de la mer aux Alpes. La Hollande, l'Espagne, allaient unir leurs vaisseaux aux siens et attaquer de concert le despotisme maritime. Elle était resplendissante d'une gloire immortelle. D'admirables armées faisaient flotter ses trois couleurs à la face des rois qui avaient voulu l'anéantir.
Page 146 - En vertu d'une des clauses de l'art, i" du traité patent d'alliance défensive conclu entre la Porte et la cour impériale de Russie, les deux hautes parties contractantes sont tenues de se prêter mutuellement des secours matériels et l'assistance la plus efficace pour la sûreté de leurs états respectifs. Néanmoins , comme SM l'empereur de toutes les Russies, voulant épargner à la sublime...
Page lvii - ... œil ne voyait celui qui allait expirer à la fleur de l'âge, atteint d'un mal inconnu; celui qui mourrait sous le poignard musulman, ou sous le feu ennemi; celui qui opprimerait la liberté ; celui qui trahirait sa patrie : tous paraissaient grands, purs, heureux, pleins d'avenir! Ce ne fut là qu'un moment ; mais il n'ya que des moments dans la vie des peuples, comme dans celle des individus. Nous allions retrouver l'opulence avec le repos ; quant à la liberté et à la gloire, nous les avions!......
Page 178 - En foi de quoi, les Plénipotentiaires respectifs l'ont signée et y ont apposé les sceaux de leurs armes. Fait à Londres, le 13 juillet, l'an de grâce 1811.
Page 179 - Jean d'Acre, l'administration de la partie méridionale de la Syrie, dont les limites seront déterminées par la ligne de démarcation suivante : Cette ligne partant du Cap Ras-el-Nakhora sur les côtes de la Méditerranée, s'étendra de là directement jusqu'à l'embouchure de la rivière Seisaban, extrémité...