Histoire de France depuis la mort de Louis XVI jusqu'au traité de paix du 20 novembre 1815: pour servir de suite à l'Histoire de France de Anquetil, Volume 1 |
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... personne . Cette institution nous inspiroit le sen- timent d'une dignité natale qui nous sau- voit de l'arrogance , si commune à tous les parvenus , à tous les dépositaires d'une autorité précaire , à tous les organes du despotisme ...
... personne . Cette institution nous inspiroit le sen- timent d'une dignité natale qui nous sau- voit de l'arrogance , si commune à tous les parvenus , à tous les dépositaires d'une autorité précaire , à tous les organes du despotisme ...
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... personne ne veut reconnoître d'autorité , et bientôt ne vou- dra suivre de volonté que la sienne . Je ne sais ce que nous avons gagné à cette in- dépendance universelle ; mais , aux plain- tes que j'entends de tous côtés , j'ai peur que ...
... personne ne veut reconnoître d'autorité , et bientôt ne vou- dra suivre de volonté que la sienne . Je ne sais ce que nous avons gagné à cette in- dépendance universelle ; mais , aux plain- tes que j'entends de tous côtés , j'ai peur que ...
Page 4
... Personne ne croit aujourd'hui que Louis XVI ait été ni un tyran , ni un despote , ni un roi sanguinaire , comme on se complaisoit à le dire alors ; on ne prend plus la peine de réfuter de pareilles absurdités . Mais on a cru long ...
... Personne ne croit aujourd'hui que Louis XVI ait été ni un tyran , ni un despote , ni un roi sanguinaire , comme on se complaisoit à le dire alors ; on ne prend plus la peine de réfuter de pareilles absurdités . Mais on a cru long ...
Page 7
... personne n'osa ni lever les yeux , ni ouvrir la bouche : chacun crai- gnoit d'interroger son voisin , et de laisser pénétrer sa pensée . Jamais consternation ne fut et plus générale et plus profonde . Le coup de canon qui annonça la ...
... personne n'osa ni lever les yeux , ni ouvrir la bouche : chacun crai- gnoit d'interroger son voisin , et de laisser pénétrer sa pensée . Jamais consternation ne fut et plus générale et plus profonde . Le coup de canon qui annonça la ...
Page 33
... personne ne fut tué : les jeunes gens s'élancèrent sur la pièce , s'en empa- rèrent , tombèrent sur les gendarmes , qui prirent la fuite avec les administrateurs les mêmes jeunes gens brulèrent tous les papiers du district , pillèrent ...
... personne ne fut tué : les jeunes gens s'élancèrent sur la pièce , s'en empa- rèrent , tombèrent sur les gendarmes , qui prirent la fuite avec les administrateurs les mêmes jeunes gens brulèrent tous les papiers du district , pillèrent ...
Contents
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Common terms and phrases
à-la-fois Anglois armée armées du Rhin armes arrêter assignats attaque Autrichiens avoient avoit Billaud-Varennes Buonaparte Camille Desmoulins canon cent chefs citoyens çois Collot-d'Herbois combat comité de salut commandant commandoit Condé conspiration convention courage Couthon crime d'accusation Danton décret déja députés devoient devoit directoire disoit divisions Dumouriez ennemis esprit étoient étoit factieux faisoient faisoit falloit firent foible force fran général Gironde girondins gouvernement guerre Henriot heures jacobins Jourdan jours l'armée l'assemblée l'échafaud laisser législatif liberté long-temps Louis XVI Madame madame Roland Marat mée ment mille hommes Moreau mort n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit patrie patriotes pendant peuple françois Pichegru politique pouvoient pouvoir prairial premier prince proclamation rent républicains république reste révolution révolutionnaire Rhin Robespierre royalistes Saint-Just salut public sang Santhonax scélérats sections seroit seul soldats sort succès talents temps-là terreur tête tion tour du Temple tribunal tribunal révolutionnaire tribune troupes tyrans Vendéens vengeance venoit vention victoire vouloient
Popular passages
Page 104 - Sont réputés gens suspects : 1° ceux qui, soit par leur conduite, soit par leurs relations, soit par leurs propos ou leurs écrits, se sont montrés partisans de la tyrannie ou du fédéralisme, et ennemis de la liberté; 2°...
Page 392 - Les phalanges républicaines, les soldats de la liberté, étaient seuls capables de souffrir ce que vous avez souffert : grâces vous en soient rendues, soldats ! La patrie reconnaissante vous devra sa prospérité; et si, vainqueurs de Toulon, vous présageâtes l'immortelle campagne de 1793,^ vos victoires actuelles en présagent une plus belle encore.
Page 392 - Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain. Les phalanges républicaines, les soldats de la liberté...
Page 433 - J'engage Votre Sainteté à se méfier des personnes qui sont à Rome, vendues aux cours ennemies de la France , ou qui se laissent exclusivement guider par les passions haineuses , qui entraînent toujours la perte des états.
Page 119 - Le Conseil exécutif provisoire, les ministres, les généraux, les corps constitués, sont placés sous la surveillance du Comité de salut public, qui en rendra compte tous les huit jours à la Convention.
Page 170 - Ceux qui auront secondé les projets des ennemis de la France, soit en favorisant la retraite et l'impunité des conspirateurs et de l'aristocratie, soit en persécutant et calomniant le patriotisme, soit en corrompant les mandataires...
Page 57 - Convention , si par ces insurrections toujours renaissantes il arrivait qu'on portât atteinte à la représentation nationale, je vous le déclare, au nom de la France entière, Paris serait anéanti. Bientôt on chercherait sur les rives de la Seine si Paris a existé.
Page 81 - ... soit qu'elle punisse : elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à la société : elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible.
Page 354 - ... ranimer l'industrie et le commerce, étouffer l'agiotage , donner une nouvelle vie aux arts et aux sciences, rétablir l'abondance et le crédit public , remettre l'ordre social à la place du chaos inséparable des révolutions , procurer enfin à la République française le bonheur et la gloire qu'elle attend...
Page 81 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.