Relation des évènemens qui se sont passés en France depuis le débarquement de Napoléon Buonaparte, au Ier mars 1815, jusqu'au traité du 20 novembre: suivie d'observations sur l'état présent de la France et sur l'opinion publiqueJ.G. Dentu, 1816 - 320 pages |
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1er MARS alliés annonçait armée aurait Autrichiens avaient bataille d'Eylau Bourbons Buona Buonaparte c'était çais capitale chambre des pairs chambre des représentans Champ-de-Mai chef chevaux commissaires conseil d'état cris de vive Davout déclaration décret départemens députés disait duc de Wellington empereur eût évènemens Fran française garde nationale général gloire gouvernement Grenoble guerre habitans hommes impériale J. G. DENTU jour journaux l'abdication l'acte additionnel l'armée l'assemblée L'auteur anglais l'Europe l'île d'Elbe l'usurpateur Labédoyère Lafayette Lanjuinais liberté Louis XVIII madame maréchal Ney maréchal-de-camp mars ment militaires mille ministre miss Williams Monarque montra Murat Musée n'avait n'était Nain Jaune naparte Napoléon nation objets officiers palais palais des Tuileries Parisiens passer pendant personne peuple police porte pouvait préfet premier prince proclamation projet Prussiens public Regnaud révolution royalistes Russie s'était sentimens serait seulement soldats sorte Souverains teur tion triomphe trône troupes trouvait Tuileries tyran vive l'empereur votes voyait Waterloo Wellington
Popular passages
Page 27 - Français. Que tous les braves que j'ai l'honneur de commander se pénètrent de cette grande vérité. Soldats, je vous ai souvent menés à la victoire, maintenant, je veux vous conduire à cette phalange immortelle que l'Empereur Napoléon conduit à Paris et qui y sera sous peu de jours; et là, notre espérance et notre bonheur seront à jamais réalisés.
Page 154 - ... depuis vingt-six ans, offrent une sûre garantie à la liberté, aux propriétés, à la tranquillité de la capitale et à l'inviolabilité des représentants de la nation ;
Page 57 - L'abdication de l'empereur Napoléon ne fut que le résultat de la situation malheureuse où la France et l'empereur avaient été réduits par les événemens de la guerre , par la trahison , et par l'occupation de la capitale ; l'abdication n'eut pour objet que d'éviter la guerre civile et l'effusion du sang français. Non consacré par le vœu du peuple , cet acte ne pouvait détruire le contrat solennel qui s'était formé entre lui et l'empereur ; et quand Napoléon aurait pu abdiquer personnellement...
Page 244 - Oui, tu seras un jour, chez la race nouvelle, De l'amour filial le plus parfait modèle. Tant qu'il existera des pères malheureux, Ton nom consolateur sera sacré pour eux ; II peindra la vertu , la pitié douce et tendre : Jamais sans tressaillir ils ne pourront l'entendre.
Page 247 - Et la peur de les perdre empêche d'en jouir : Surtout qui, comme moi, d'une obscure naissance Monte par la révolte à la toute-puissance. Qui de simple soldat à l'empire élevé Ne l'a que par le crime acquis et conservé.
Page 253 - Il fuit; sa gloire tombe, et le destin lui marque Son véritable rang. Ce n'est plus ce héros guidé par la victoire , Par qui tous les guerriers allaient être effacés : C'est un nouveau Pyrrhus, qui va grossir l'histoire Des fameux insensés.
Page 69 - Vous êtes venu au secours de la nation inquiète sur tous ses intérêts , blessee dans ses plus chers sentimens, offensée dans sa dignité; et la route que vous avez parcourue des bords de la Méditerranée jusqu'à la capitale, a offert l'image d'un long triomphe. « Une dynastie , abandonnée par le peuple français il ya plus de vingt ans , s'est éloignée devant...
Page 27 - Officiers , sous-officiers et soldats , la cause des Bourbons est à jamais perdue ! La dynastie légitime que la nation française a adoptée va remonter sur le trône : c'est à l'empereur Napoléon , notre souverain , qu'il appartient seul de régner sur notre beau pays.
Page xix - ... qui , du moment qu'elles ne contribuent point au maintien de l'ordre par la publicité et par l'exemple , deviennent inutiles à notre justice et n'intéressent plus que notre bonté.
Page 57 - L'empereur, en remontant sur le trône où le peuple l'avait élevé, rétablit donc le peuple dans ses droits les plus sacrés. Il ne fait que rappeler à leur exécution les décrets des assemblées représentatives...