Un procès littéraire en 1830: audience solennelle de rentrée du 16 octobre 1890

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Vagner, 1890 - 37 pages

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Page 36 - LOMBARD fils, avocats présents à la barre, membres du Conseil de l'Ordre, le serment professionnel dont la formule a été préalablement lue par M. le Premier Président, en conformité de l'article 35 du décret susdit. Etaient présents : MM.
Page 36 - Pour M. le Procureur Général nous requérons qu'il plaise à la Cour nous donner acte de ce que nous avons satisfait aux prescriptions de l'art. 34 du décret du 6 juillet 1810 et admettre MM.
Page 31 - A mis et met l'appellation au néant, ordonne que ce dont est appel sortira son plein et entier effet, condamne les époux Al...
Page 36 - ... été satisfait aux prescriptions du décret du 6 juillet 1810 et admettre les avocats présents à la barre à renouveler leur serment. La Cour, faisant droit aux réquisitions de M. le Procureur Général, a...
Page 6 - Cour d'Appel de Nancy, sur la convocation de M. SADOUL. Premier Président, s'est réunie en robes rouges, à l'effet de procéder à son audience solennelle de rentrée. A onze heures du matin, Elle entrait dans la grande salle où se trouvaient déjà réunies les principales autorités militaires, civiles et religieuses de la ville, MM. les Membres du Tribunal de première instance, des diverses Facultés, du Tribunal de Commerce, les Juges de Paix, les Membres du Barreau, de la Compagnie des...
Page 37 - Et a, M. le Premier Président, signé avec le Greffier en chef. Signé : ED. SERRE, Premier Président. P. BASTIEN, Greffier en chef. NANCY.
Page 31 - J'ai laissé derriére moi * deux femmes malheureuses en proie à le douleur, au > désespoir ; l'une d'elles peut-être déjà mortellement > atteinte du coup qui a frappé son fils. Elles réclament > ma présence; elles peuvent encore recevoir de moi > quelques consolations ; mais, la plus douce que je » puisse leur apporter et leur offrir, c'est celle que leur > prépare votre justice: c'est l'arrêt qui protégera la > mémoire, qui apaisera les mânes irritées de celui > qu'elles ont perdu.
Page 31 - Hâtez-vous, Messieurs, de mettre un terme à ce funeste procès. Je ne devrais pas être ici : l'inquiétude et le chagrin m'y poursuivent. J'ai laissé derrière moi des femmes malheureuses, en proie à la douleur, au désespoir, l'une d'elles, peut-être, déjà mortellement atteinte du coup qui a frappé son fils. Elles réclament ma présence : elles peuvent encore recevoir de moi quelques consolations. Mais la plus douce que je puisse leur apporter et leur offrir, c'est celle que...
Page 21 - Pellet, informé par hasard de ce plagiat, ne l'envisagea d'abord que de son côté plaisant. * Veuillez donc, ma chère Félicie, écrivait-il le 29 octobre 1829 à sa bellesœur, dire à l'ami Costes de faire tout son possible pour découvrir le poème des Deux Ecoles, afin que s'il est tel qu'on me l'assure, je puisse crier au voleur ! de toutes mes forces Si le fait est vrai, il faut convenir que M. De...
Page 21 - Tyronc a bien mal choisi l'objet de son larcin et que ce n'était guère la peine de se rendre voleur pour si peu de chose. En effet, je m'étais persuadé jusqu'alors que les riches étaient seuls exposés à de pareilles avanies. Mais il parait qu'aujourd'hui la misère est si grande au Parnasse que les pauvres euxmêmes n'y sont pas à l'abri d'un coup de main.

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