Histoire de la restauration, Volumes 3-4Lecou, 1852 - France |
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... cause . L'im- prudence des alliés et des Bourbons lui avait laissé encore ce prestige . III Les commissaires des puissances l'accompagnaient , pour garantir à la fois sa sûreté et son départ , jusqu'au lieu de l'embarquement . On avait ...
... cause . L'im- prudence des alliés et des Bourbons lui avait laissé encore ce prestige . III Les commissaires des puissances l'accompagnaient , pour garantir à la fois sa sûreté et son départ , jusqu'au lieu de l'embarquement . On avait ...
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... cause avec enthousiasme . Mes amis sont donc « d'avis que je revienne ? Nous avions prévu que Votrc Majesté m'interrogerait sur ce point , et voici textuelle- 40 - - AC ament la réponse : Vous direz à l'empereur que 22 HISTOIRE DE LA ...
... cause avec enthousiasme . Mes amis sont donc « d'avis que je revienne ? Nous avions prévu que Votrc Majesté m'interrogerait sur ce point , et voici textuelle- 40 - - AC ament la réponse : Vous direz à l'empereur que 22 HISTOIRE DE LA ...
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... cause de ses " maux , je veux les réparer ... Murat est à nous . Il a re- << trouvé sa belle âme , il pleure ses fautes contre moi , il est prêt à les racheter . Il a peu de tête , il n'a qu'un bras et * un cœur . Sa femme le dirigera ...
... cause de ses " maux , je veux les réparer ... Murat est à nous . Il a re- << trouvé sa belle âme , il pleure ses fautes contre moi , il est prêt à les racheter . Il a peu de tête , il n'a qu'un bras et * un cœur . Sa femme le dirigera ...
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... cause mais de mauvaise grâce , ces acclamations où le nom de révolution se mêlait pour la première fois au sien . De Vizille , une avant - garde de peuple précéda l'empereur autour des murs de Grenoble . Les cris et les émotions de ...
... cause mais de mauvaise grâce , ces acclamations où le nom de révolution se mêlait pour la première fois au sien . De Vizille , une avant - garde de peuple précéda l'empereur autour des murs de Grenoble . Les cris et les émotions de ...
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... la Loire et de l'est , où sa cause se recruterait au besoin dans des populations toutes martiales , était une base d'opérations faite pour la guerre civile , redoutable à l'armée que les Bourbons pou- 5 . LIVRE SEIZIÈME . 33.
... la Loire et de l'est , où sa cause se recruterait au besoin dans des populations toutes martiales , était une base d'opérations faite pour la guerre civile , redoutable à l'armée que les Bourbons pou- 5 . LIVRE SEIZIÈME . 33.
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 259 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances paraissent changées; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 31 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 33 - La situation désastreuse de l'ennemi était telle qu'à la fin de l'affaire qui eut lieu devant Paris, il était sans munitions par la séparation de ses parcs de réserve. « Dans ces nouvelles et grandes circonstances, mon cœur fut déchiré, mais mon âme resta inébranlable. Je ne consultai que l'intérêt de la patrie; je m exilai sur un rocher au milieu des mers.
Page 31 - aussi je faisais partie de cette grande armée qui est entrée « deux fois dans les murs de Vienne, dans ceux de Rome, « de Berlin, de Madrid, de Moscou, qui a délivré Paris de « la souillure que la trahison et la présence de l'ennemi y
Page 265 - Chambre de renforcer promptement les armées ; qui veut la paix doit se préparer à la guerre. Ne mettez pas cette grande nation à la merci des étrangers.
Page 248 - Si on m'eût renversé il ya quinze jours, c'eût été du courage... mais je fais partie maintenant de ce que l'étranger attaque, je fais donc partie de ce que la France doit défendre. En me livrant, elle se livre ellemême, elle avoue sa faiblesse, elle se reconnaît vaincue, elle encourage l'audace du vainqueur... Ce n'est pas la liberté qui me dépose, c'est Waterloo, c'est la peur, une peur dont vos ennemis profiteront.
Page 165 - La nation, me dit-il, s'est reposée douze ans de toute agitation politique, et depuis une année elle se repose de la guerre. Ce double repos lui a rendu un besoin d'activité. Elle veut, ou croit vouloir, une tribune et des assemblées. Elle ne les a pas toujours voulues. Elle s'est jetée à mes pieds, quand je suis arrivé au gouvernement. Vous devez vous en souvenir, vous qui essayâtes de l'opposition.
Page 259 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser, sans délai, la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante !
Page 19 - C'est Talleyrand qui leur a fait cette infamie. On lui aura donné de l'argent. La paix est facile avec de telles conditions. Si j'avais voulu comme eux signer la ruine de la France, ils ne seraient point sur mon trône. (Avec force.) J'aurais mieux aimé me trancher la main.
Page 112 - Majesté me charge de vous dire que vous devez manœuvrer sur-le-champ, de manière à envelopper la droite de l'ennemi et tomber à bras raccourcis sur ses derrières; cette armée est perdue si vous agissez vigoureusement, le sort de la France est entre vos mains.