Histoire de la restauration, Volumes 3-4Lecou, 1852 - France |
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... frères , regrettant sa femme , son fils , ses palais , ses couronnes , incapable de se plier à une condition privée quelque splendide qu'elle fût encore , et ayant si jeune et depuis si longtemps contracté l'habitude de la toute ...
... frères , regrettant sa femme , son fils , ses palais , ses couronnes , incapable de se plier à une condition privée quelque splendide qu'elle fût encore , et ayant si jeune et depuis si longtemps contracté l'habitude de la toute ...
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... frère , elle l'animait , elle le passionnait de ses charmes , elle l'attendrissait de sa fidélité au malheur . Elle ... frères , de l'île d'Elbe à Rome et à Naples , de Rome et de Naples à l'île d'Elbe . Négociatrice sans impor- tance et ...
... frère , elle l'animait , elle le passionnait de ses charmes , elle l'attendrissait de sa fidélité au malheur . Elle ... frères , de l'île d'Elbe à Rome et à Naples , de Rome et de Naples à l'île d'Elbe . Négociatrice sans impor- tance et ...
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... frères et ses sœurs y avaient régné , Murat , son beau - frère , y régnait encore et pouvait lui préparer le chemin avec une armée de soixante mille hommes . Quelquefois il revenait à ses pre- mières perspectives d'un empire européen à ...
... frères et ses sœurs y avaient régné , Murat , son beau - frère , y régnait encore et pouvait lui préparer le chemin avec une armée de soixante mille hommes . Quelquefois il revenait à ses pre- mières perspectives d'un empire européen à ...
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... frères d'ar- << mes ! >> Bertrand s'excusa sur son inaptitude à trouver des expressions à la hauteur de la circonstance . « Eh bien ! écrivez , dit Napoléon , je vais parler pour vous tous . » Et il dicta la proclamation de la garde à l ...
... frères d'ar- << mes ! >> Bertrand s'excusa sur son inaptitude à trouver des expressions à la hauteur de la circonstance . « Eh bien ! écrivez , dit Napoléon , je vais parler pour vous tous . » Et il dicta la proclamation de la garde à l ...
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... frères . Les officiers seuls , résistant par l'honneur à l'entraînement , voulaient retenir leurs troupes . Au milieu du jour elles ne leur laissaient déjà plus d'autre espoir que celui de les éloigner de la contagion . Le quatrième ...
... frères . Les officiers seuls , résistant par l'honneur à l'entraînement , voulaient retenir leurs troupes . Au milieu du jour elles ne leur laissaient déjà plus d'autre espoir que celui de les éloigner de la contagion . Le quatrième ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 259 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances paraissent changées; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 31 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 33 - La situation désastreuse de l'ennemi était telle qu'à la fin de l'affaire qui eut lieu devant Paris, il était sans munitions par la séparation de ses parcs de réserve. « Dans ces nouvelles et grandes circonstances, mon cœur fut déchiré, mais mon âme resta inébranlable. Je ne consultai que l'intérêt de la patrie; je m exilai sur un rocher au milieu des mers.
Page 31 - aussi je faisais partie de cette grande armée qui est entrée « deux fois dans les murs de Vienne, dans ceux de Rome, « de Berlin, de Madrid, de Moscou, qui a délivré Paris de « la souillure que la trahison et la présence de l'ennemi y
Page 265 - Chambre de renforcer promptement les armées ; qui veut la paix doit se préparer à la guerre. Ne mettez pas cette grande nation à la merci des étrangers.
Page 248 - Si on m'eût renversé il ya quinze jours, c'eût été du courage... mais je fais partie maintenant de ce que l'étranger attaque, je fais donc partie de ce que la France doit défendre. En me livrant, elle se livre ellemême, elle avoue sa faiblesse, elle se reconnaît vaincue, elle encourage l'audace du vainqueur... Ce n'est pas la liberté qui me dépose, c'est Waterloo, c'est la peur, une peur dont vos ennemis profiteront.
Page 165 - La nation, me dit-il, s'est reposée douze ans de toute agitation politique, et depuis une année elle se repose de la guerre. Ce double repos lui a rendu un besoin d'activité. Elle veut, ou croit vouloir, une tribune et des assemblées. Elle ne les a pas toujours voulues. Elle s'est jetée à mes pieds, quand je suis arrivé au gouvernement. Vous devez vous en souvenir, vous qui essayâtes de l'opposition.
Page 259 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser, sans délai, la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante !
Page 19 - C'est Talleyrand qui leur a fait cette infamie. On lui aura donné de l'argent. La paix est facile avec de telles conditions. Si j'avais voulu comme eux signer la ruine de la France, ils ne seraient point sur mon trône. (Avec force.) J'aurais mieux aimé me trancher la main.
Page 112 - Majesté me charge de vous dire que vous devez manœuvrer sur-le-champ, de manière à envelopper la droite de l'ennemi et tomber à bras raccourcis sur ses derrières; cette armée est perdue si vous agissez vigoureusement, le sort de la France est entre vos mains.