Histoire de la restauration, Volumes 3-4Lecou, 1852 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 7
... heures qui trompèrent les populations , et sous les ténèbres de la nuit qui dérobèrent Napoléon aux villes et aux villages . Un des courriers qui précédait sa voiture en arrivant à Orgon trouva la foule rassemblée sur la place ...
... heures qui trompèrent les populations , et sous les ténèbres de la nuit qui dérobèrent Napoléon aux villes et aux villages . Un des courriers qui précédait sa voiture en arrivant à Orgon trouva la foule rassemblée sur la place ...
Page 9
... heures de navigation de la Corse , île natale de l'empereur . Il y retrouvait l'horizon de son enfance , le ciel , l'air , les vagues , l'âpreté et la majesté des contours qui signalent aux navigateurs les cimes de la Sardaigne , de la ...
... heures de navigation de la Corse , île natale de l'empereur . Il y retrouvait l'horizon de son enfance , le ciel , l'air , les vagues , l'âpreté et la majesté des contours qui signalent aux navigateurs les cimes de la Sardaigne , de la ...
Page 24
... heures , vous trouverez un guide et des chevaux à la « porte de la ville . A minuit , une felouque , préparée à " l ... heure des grandes choses est fixée par les cir- constances plus que par l'homme , que les événements s'im- provisent ...
... heures , vous trouverez un guide et des chevaux à la « porte de la ville . A minuit , une felouque , préparée à " l ... heure des grandes choses est fixée par les cir- constances plus que par l'homme , que les événements s'im- provisent ...
Page 29
... heures nocturnes pour dicter à ses généraux les procla- mations à l'armée et au peuple dont il voulait être précédé sur sa route vers Paris . Il avait médité et noté lui - même avec soin ces proclamations à la fois militaires et ...
... heures nocturnes pour dicter à ses généraux les procla- mations à l'armée et au peuple dont il voulait être précédé sur sa route vers Paris . Il avait médité et noté lui - même avec soin ces proclamations à la fois militaires et ...
Page 36
... heures , les deux bricks étaient à portée de la voix , se croisant sur la mer . Les deux com- mandants , qui se connaissaient , échangèrent quelques pa- roles à l'aide de leurs porte - voix . Le capitaine Andrieux , sans soupçon ...
... heures , les deux bricks étaient à portée de la voix , se croisant sur la mer . Les deux com- mandants , qui se connaissaient , échangèrent quelques pa- roles à l'aide de leurs porte - voix . Le capitaine Andrieux , sans soupçon ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
allait ancien anglaise armée armes arriva assez aurait avaient avant bataille Blücher Bonaparte Bourbons c'était camp cause cent chambre champ chargé chef cheval cœur colonnes commandement comte conseil corps côté coup cour demander dernier devant donner enfin ennemis faisait famille fidélité force forme fortune Fouché frère garde général génie gloire gouvernement Grouchy guerre heures jeter jour l'armée l'empereur l'empire l'Europe laisser liberté LIVRE Louis lui-même Lyon main maison marche maréchal mars ment militaire mille hommes ministres montrer mort Murat n'avait n'était Napoléon nation nationale nouveau nouvelle nuit officiers ordres paix palais passé patrie pendant pensée peuple place portes pouvait premier prince propre Prussiens puissances qu'un regards régiments règne répondit représentants reste retour révolution rien route royalistes s'était sang seconde secret semblait sentiment serait servir seul soldats sort Talleyrand tête tion traité trône troupes trouver venait victoire Vienne ville Vive voix voulait Wavre Wellington XVIII yeux
Popular passages
Page 259 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances paraissent changées; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 31 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 33 - La situation désastreuse de l'ennemi était telle qu'à la fin de l'affaire qui eut lieu devant Paris, il était sans munitions par la séparation de ses parcs de réserve. « Dans ces nouvelles et grandes circonstances, mon cœur fut déchiré, mais mon âme resta inébranlable. Je ne consultai que l'intérêt de la patrie; je m exilai sur un rocher au milieu des mers.
Page 31 - aussi je faisais partie de cette grande armée qui est entrée « deux fois dans les murs de Vienne, dans ceux de Rome, « de Berlin, de Madrid, de Moscou, qui a délivré Paris de « la souillure que la trahison et la présence de l'ennemi y
Page 265 - Chambre de renforcer promptement les armées ; qui veut la paix doit se préparer à la guerre. Ne mettez pas cette grande nation à la merci des étrangers.
Page 248 - Si on m'eût renversé il ya quinze jours, c'eût été du courage... mais je fais partie maintenant de ce que l'étranger attaque, je fais donc partie de ce que la France doit défendre. En me livrant, elle se livre ellemême, elle avoue sa faiblesse, elle se reconnaît vaincue, elle encourage l'audace du vainqueur... Ce n'est pas la liberté qui me dépose, c'est Waterloo, c'est la peur, une peur dont vos ennemis profiteront.
Page 165 - La nation, me dit-il, s'est reposée douze ans de toute agitation politique, et depuis une année elle se repose de la guerre. Ce double repos lui a rendu un besoin d'activité. Elle veut, ou croit vouloir, une tribune et des assemblées. Elle ne les a pas toujours voulues. Elle s'est jetée à mes pieds, quand je suis arrivé au gouvernement. Vous devez vous en souvenir, vous qui essayâtes de l'opposition.
Page 259 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser, sans délai, la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante !
Page 19 - C'est Talleyrand qui leur a fait cette infamie. On lui aura donné de l'argent. La paix est facile avec de telles conditions. Si j'avais voulu comme eux signer la ruine de la France, ils ne seraient point sur mon trône. (Avec force.) J'aurais mieux aimé me trancher la main.
Page 112 - Majesté me charge de vous dire que vous devez manœuvrer sur-le-champ, de manière à envelopper la droite de l'ennemi et tomber à bras raccourcis sur ses derrières; cette armée est perdue si vous agissez vigoureusement, le sort de la France est entre vos mains.