Histoire de la restauration, Volumes 3-4Lecou, 1852 - France |
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... lui c'était régner , et que ne plus régner c'était plus que mourir . Aussi ne partait - il pas sans espoir de retour et sans avoir ourdi déjà dans sa pensée avec lui - même et avec ses rares parti- sans les premiers fils de la trame qu ...
... lui c'était régner , et que ne plus régner c'était plus que mourir . Aussi ne partait - il pas sans espoir de retour et sans avoir ourdi déjà dans sa pensée avec lui - même et avec ses rares parti- sans les premiers fils de la trame qu ...
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... lui - même , mais il avait sur le continent des regards qui veillaient pour lui et des mots d'ordre convenus avec un petit nombre de ses anciens servi- teurs à Paris , signaux que lui seul savait lire , et dont les émissaires qui les ...
... lui - même , mais il avait sur le continent des regards qui veillaient pour lui et des mots d'ordre convenus avec un petit nombre de ses anciens servi- teurs à Paris , signaux que lui seul savait lire , et dont les émissaires qui les ...
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... mêmes , la difficulté de licen- cier tout à ... lui pesait comme à une âme qui avait longtemps porté le monde et qui ne portait plus que les regrets . Tous les hasards lui paraissaient préférables à cette certitude de se consumer lui - même ...
... mêmes , la difficulté de licen- cier tout à ... lui pesait comme à une âme qui avait longtemps porté le monde et qui ne portait plus que les regrets . Tous les hasards lui paraissaient préférables à cette certitude de se consumer lui - même ...
Page 38
... lui - même sur la proue du brick les rassura et les salua . L'ancre fut jetée . L'empe- reur fit descendre ses troupes sans obstacle et toucha lui- même à cinq heures le sol de la France , porté sur les bras de ses grenadiers et reçu ...
... lui - même sur la proue du brick les rassura et les salua . L'ancre fut jetée . L'empe- reur fit descendre ses troupes sans obstacle et toucha lui- même à cinq heures le sol de la France , porté sur les bras de ses grenadiers et reçu ...
Page 43
... lui à Grenoble . Une armée lui en disputait la route . Rétrograder de Vizille était rétrograder d'un empire . Le ... même ; il avait la discrétion du conjuré , la ruse du négociateur , la fougue du séide . Dès le mois d'octobre 1814 , il ...
... lui à Grenoble . Une armée lui en disputait la route . Rétrograder de Vizille était rétrograder d'un empire . Le ... même ; il avait la discrétion du conjuré , la ruse du négociateur , la fougue du séide . Dès le mois d'octobre 1814 , il ...
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Common terms and phrases
abdication allait armée armes avaient bataillons Benjamin Constant Blacas Blücher Bonaparte Bourbons braves c'était camp canon Caulaincourt cause cavalerie chambre champ de bataille chef cheval Clausel cœur colonnes combattre commandement comte d'Artois conseil corps d'Angoulême d'armée d'Erlon défection devant dévouement dit-il duc d'Angoulême duc d'Orléans ennemis Fayette fidélité force forêt de Soignes fortune Fouché frère Gand garde nationale général gloire gouvernement grenadiers Grenoble Grouchy guerre heures impériale jour l'armée anglaise l'Élysée l'em l'empire l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe Labédoyère laisser liberté lieutenants Ligny Louis XVIII Lucien lui-même Lyon main marche maréchal Soult ment militaire mille hommes ministres Mont-Saint-Jean Murat n'avait Naples Napo Napoléon nation négociateur nuit officiers paix palais patrie patriotisme pensée pereur peuple Plancenoit prince proclamation Prussiens Quatre-Bras régiments républicains RESTAURATION reste révolution Rochejaquelein route royalistes sang secret sentiment seul soldats sort souverains Talleyrand tion tribune trône troupes Tuileries vaincu victoire Vive l'empereur voix voulait Waterloo Wavre Wellington
Popular passages
Page 259 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances paraissent changées; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 31 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 33 - La situation désastreuse de l'ennemi était telle qu'à la fin de l'affaire qui eut lieu devant Paris, il était sans munitions par la séparation de ses parcs de réserve. « Dans ces nouvelles et grandes circonstances, mon cœur fut déchiré, mais mon âme resta inébranlable. Je ne consultai que l'intérêt de la patrie; je m exilai sur un rocher au milieu des mers.
Page 31 - aussi je faisais partie de cette grande armée qui est entrée « deux fois dans les murs de Vienne, dans ceux de Rome, « de Berlin, de Madrid, de Moscou, qui a délivré Paris de « la souillure que la trahison et la présence de l'ennemi y
Page 265 - Chambre de renforcer promptement les armées ; qui veut la paix doit se préparer à la guerre. Ne mettez pas cette grande nation à la merci des étrangers.
Page 248 - Si on m'eût renversé il ya quinze jours, c'eût été du courage... mais je fais partie maintenant de ce que l'étranger attaque, je fais donc partie de ce que la France doit défendre. En me livrant, elle se livre ellemême, elle avoue sa faiblesse, elle se reconnaît vaincue, elle encourage l'audace du vainqueur... Ce n'est pas la liberté qui me dépose, c'est Waterloo, c'est la peur, une peur dont vos ennemis profiteront.
Page 165 - La nation, me dit-il, s'est reposée douze ans de toute agitation politique, et depuis une année elle se repose de la guerre. Ce double repos lui a rendu un besoin d'activité. Elle veut, ou croit vouloir, une tribune et des assemblées. Elle ne les a pas toujours voulues. Elle s'est jetée à mes pieds, quand je suis arrivé au gouvernement. Vous devez vous en souvenir, vous qui essayâtes de l'opposition.
Page 259 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser, sans délai, la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante !
Page 19 - C'est Talleyrand qui leur a fait cette infamie. On lui aura donné de l'argent. La paix est facile avec de telles conditions. Si j'avais voulu comme eux signer la ruine de la France, ils ne seraient point sur mon trône. (Avec force.) J'aurais mieux aimé me trancher la main.
Page 112 - Majesté me charge de vous dire que vous devez manœuvrer sur-le-champ, de manière à envelopper la droite de l'ennemi et tomber à bras raccourcis sur ses derrières; cette armée est perdue si vous agissez vigoureusement, le sort de la France est entre vos mains.