Histoire de la restauration, Volumes 3-4Lecou, 1852 - France |
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... montrer avec l'infortune même méritée . Il sembla oublier les vingt ans de respects qu'il avait eus comme subordonné au chef de la France , pour se reporter aux jours où il n'était que l'égal de celui à qui il devait tant de ...
... montrer avec l'infortune même méritée . Il sembla oublier les vingt ans de respects qu'il avait eus comme subordonné au chef de la France , pour se reporter aux jours où il n'était que l'égal de celui à qui il devait tant de ...
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... montrer de l'honneur , ils se sont retirés comme « des c ... J'ai fait une grande faute en rappelant en France « cette race antinationale : sans moi , ils seraient tous « morts de faim à l'étranger . Mais alors j'avais de grands ...
... montrer de l'honneur , ils se sont retirés comme « des c ... J'ai fait une grande faute en rappelant en France « cette race antinationale : sans moi , ils seraient tous « morts de faim à l'étranger . Mais alors j'avais de grands ...
Page 31
... montrer avec honneur « vos cicatrices ; alors vous pourrez vous vanter de ce que << vous aurez fait ; vous serez les libérateurs de la patrie . ༥ « Dans votre vieillesse , entourés et considérés de vos concitoyens , ils vous entendront ...
... montrer avec honneur « vos cicatrices ; alors vous pourrez vous vanter de ce que << vous aurez fait ; vous serez les libérateurs de la patrie . ༥ « Dans votre vieillesse , entourés et considérés de vos concitoyens , ils vous entendront ...
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... montrer aux soldats l'exemple de la fidélité . Le maré- chal Macdonald , l'homme du devoir pour Napoléon à Fon- tainebleau , l'homme du devoir contre Napoléon depuis qu'il avait prêté un autre serment , reçut ordre de commander à Lyon ...
... montrer aux soldats l'exemple de la fidélité . Le maré- chal Macdonald , l'homme du devoir pour Napoléon à Fon- tainebleau , l'homme du devoir contre Napoléon depuis qu'il avait prêté un autre serment , reçut ordre de commander à Lyon ...
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... montrer ? » Passant alors du dédain à la colère , il reprocha avec force aux magistrats d'avoir laissé pénétrer l'ennemi dans leurs murs en 1814 , comme si l'occupation de ces riches provinces , sans défense contre l'armée de ...
... montrer ? » Passant alors du dédain à la colère , il reprocha avec force aux magistrats d'avoir laissé pénétrer l'ennemi dans leurs murs en 1814 , comme si l'occupation de ces riches provinces , sans défense contre l'armée de ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 259 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances paraissent changées; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 31 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 33 - La situation désastreuse de l'ennemi était telle qu'à la fin de l'affaire qui eut lieu devant Paris, il était sans munitions par la séparation de ses parcs de réserve. « Dans ces nouvelles et grandes circonstances, mon cœur fut déchiré, mais mon âme resta inébranlable. Je ne consultai que l'intérêt de la patrie; je m exilai sur un rocher au milieu des mers.
Page 31 - aussi je faisais partie de cette grande armée qui est entrée « deux fois dans les murs de Vienne, dans ceux de Rome, « de Berlin, de Madrid, de Moscou, qui a délivré Paris de « la souillure que la trahison et la présence de l'ennemi y
Page 265 - Chambre de renforcer promptement les armées ; qui veut la paix doit se préparer à la guerre. Ne mettez pas cette grande nation à la merci des étrangers.
Page 248 - Si on m'eût renversé il ya quinze jours, c'eût été du courage... mais je fais partie maintenant de ce que l'étranger attaque, je fais donc partie de ce que la France doit défendre. En me livrant, elle se livre ellemême, elle avoue sa faiblesse, elle se reconnaît vaincue, elle encourage l'audace du vainqueur... Ce n'est pas la liberté qui me dépose, c'est Waterloo, c'est la peur, une peur dont vos ennemis profiteront.
Page 165 - La nation, me dit-il, s'est reposée douze ans de toute agitation politique, et depuis une année elle se repose de la guerre. Ce double repos lui a rendu un besoin d'activité. Elle veut, ou croit vouloir, une tribune et des assemblées. Elle ne les a pas toujours voulues. Elle s'est jetée à mes pieds, quand je suis arrivé au gouvernement. Vous devez vous en souvenir, vous qui essayâtes de l'opposition.
Page 259 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser, sans délai, la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante !
Page 19 - C'est Talleyrand qui leur a fait cette infamie. On lui aura donné de l'argent. La paix est facile avec de telles conditions. Si j'avais voulu comme eux signer la ruine de la France, ils ne seraient point sur mon trône. (Avec force.) J'aurais mieux aimé me trancher la main.
Page 112 - Majesté me charge de vous dire que vous devez manœuvrer sur-le-champ, de manière à envelopper la droite de l'ennemi et tomber à bras raccourcis sur ses derrières; cette armée est perdue si vous agissez vigoureusement, le sort de la France est entre vos mains.