Histoire de la restauration, Volumes 3-4Lecou, 1852 - France |
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... nuit qui dérobèrent Napoléon aux villes et aux villages . Un des courriers qui précédait sa voiture en arrivant à Orgon trouva la foule rassemblée sur la place , entourant devant la maison de poste une effigie de Napoléon pendue à une ...
... nuit qui dérobèrent Napoléon aux villes et aux villages . Un des courriers qui précédait sa voiture en arrivant à Orgon trouva la foule rassemblée sur la place , entourant devant la maison de poste une effigie de Napoléon pendue à une ...
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... nuit et embarquaient des correspondances avec l'Italie . Des approvisionnements et des vivres étaient accu- mulés dans les magasins . De fréquentes revues des grena- diers de la garde étaient passées par Napoléon et par les généraux ...
... nuit et embarquaient des correspondances avec l'Italie . Des approvisionnements et des vivres étaient accu- mulés dans les magasins . De fréquentes revues des grena- diers de la garde étaient passées par Napoléon et par les généraux ...
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... nuit , il assista le front serein , l'es- prit en apparence détendu , la conversation libre et flot- tante , à un bal que la princesse Pauline Borghèse donnait aux officiers de son armée , aux étrangers et aux principaux habitants de l ...
... nuit , il assista le front serein , l'es- prit en apparence détendu , la conversation libre et flot- tante , à un bal que la princesse Pauline Borghèse donnait aux officiers de son armée , aux étrangers et aux principaux habitants de l ...
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... nuit avaient reçu le reste des trou- pes , montant ensemble à un millier d'hommes . La certitude du succès éclairait le visage de Napoléon , et cette confiance se répercutait sur le visage de ses soldats . La mer lui était propice . C ...
... nuit avaient reçu le reste des trou- pes , montant ensemble à un millier d'hommes . La certitude du succès éclairait le visage de Napoléon , et cette confiance se répercutait sur le visage de ses soldats . La mer lui était propice . C ...
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... nuit . « Le sort en est jeté ! » s'écria Napoléon en détournant ses regards des montagnes de l'île qui s'affaissaient à l'horizon , et en les reportant sur la mer d'Italie il s'entoura de ses généraux , et passa avec eux la revue des ...
... nuit . « Le sort en est jeté ! » s'écria Napoléon en détournant ses regards des montagnes de l'île qui s'affaissaient à l'horizon , et en les reportant sur la mer d'Italie il s'entoura de ses généraux , et passa avec eux la revue des ...
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Common terms and phrases
abdication allait armée armes avaient bataillons Benjamin Constant Blacas Blücher Bonaparte Bourbons braves c'était camp canon Caulaincourt cause cavalerie chambre champ de bataille chef cheval Clausel cœur colonnes combattre commandement comte d'Artois conseil corps d'Angoulême d'armée d'Erlon défection devant dévouement dit-il duc d'Angoulême duc d'Orléans ennemis Fayette fidélité force forêt de Soignes fortune Fouché frère Gand garde nationale général gloire gouvernement grenadiers Grenoble Grouchy guerre heures impériale jour l'armée anglaise l'Élysée l'em l'empire l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe Labédoyère laisser liberté lieutenants Ligny Louis XVIII Lucien lui-même Lyon main marche maréchal Soult ment militaire mille hommes ministres Mont-Saint-Jean Murat n'avait Naples Napo Napoléon nation négociateur nuit officiers paix palais patrie patriotisme pensée pereur peuple Plancenoit prince proclamation Prussiens Quatre-Bras régiments républicains RESTAURATION reste révolution Rochejaquelein route royalistes sang secret sentiment seul soldats sort souverains Talleyrand tion tribune trône troupes Tuileries vaincu victoire Vive l'empereur voix voulait Waterloo Wavre Wellington
Popular passages
Page 259 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances paraissent changées; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 31 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 33 - La situation désastreuse de l'ennemi était telle qu'à la fin de l'affaire qui eut lieu devant Paris, il était sans munitions par la séparation de ses parcs de réserve. « Dans ces nouvelles et grandes circonstances, mon cœur fut déchiré, mais mon âme resta inébranlable. Je ne consultai que l'intérêt de la patrie; je m exilai sur un rocher au milieu des mers.
Page 31 - aussi je faisais partie de cette grande armée qui est entrée « deux fois dans les murs de Vienne, dans ceux de Rome, « de Berlin, de Madrid, de Moscou, qui a délivré Paris de « la souillure que la trahison et la présence de l'ennemi y
Page 265 - Chambre de renforcer promptement les armées ; qui veut la paix doit se préparer à la guerre. Ne mettez pas cette grande nation à la merci des étrangers.
Page 248 - Si on m'eût renversé il ya quinze jours, c'eût été du courage... mais je fais partie maintenant de ce que l'étranger attaque, je fais donc partie de ce que la France doit défendre. En me livrant, elle se livre ellemême, elle avoue sa faiblesse, elle se reconnaît vaincue, elle encourage l'audace du vainqueur... Ce n'est pas la liberté qui me dépose, c'est Waterloo, c'est la peur, une peur dont vos ennemis profiteront.
Page 165 - La nation, me dit-il, s'est reposée douze ans de toute agitation politique, et depuis une année elle se repose de la guerre. Ce double repos lui a rendu un besoin d'activité. Elle veut, ou croit vouloir, une tribune et des assemblées. Elle ne les a pas toujours voulues. Elle s'est jetée à mes pieds, quand je suis arrivé au gouvernement. Vous devez vous en souvenir, vous qui essayâtes de l'opposition.
Page 259 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser, sans délai, la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante !
Page 19 - C'est Talleyrand qui leur a fait cette infamie. On lui aura donné de l'argent. La paix est facile avec de telles conditions. Si j'avais voulu comme eux signer la ruine de la France, ils ne seraient point sur mon trône. (Avec force.) J'aurais mieux aimé me trancher la main.
Page 112 - Majesté me charge de vous dire que vous devez manœuvrer sur-le-champ, de manière à envelopper la droite de l'ennemi et tomber à bras raccourcis sur ses derrières; cette armée est perdue si vous agissez vigoureusement, le sort de la France est entre vos mains.