Revue de l'histoire des religions, Volume 31Maurice Vernes, Jean Réville, Léon Marillier, René Dussaud, Paul Alphandéry Presses Universitaires de France, 1895 - Church history Includes "Notices bibliographiques." |
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Common terms and phrases
Abyssins anciens Apocalypse avaient Axoum Bordah Bouddhisme Brahmanas chapitre chose chrétienne Christ christianisme ciel concile de Chalcédoine critique croyances Cúchulainn culte Cumont d'Axoum d'Izḍubar déesse Delphes dieu dieux divinité doctrine documents donner doute écrit Églises Égypte égyptienne égyptologues Éleusis Élie Émile CHASSINAT épiscopale épîtres étude évangiles évêque forme fouilles fragments Frumence Frumentius grec grecque historique Homérites idées Imbart inscriptions interpolations Jean Réville Jeremias Jérôme Jésus Jonas juifs juive Kyôto l'Apocalypse l'auteur l'Église l'Égypte l'empereur l'évêque l'histoire l'Inde langue lecteur légende lierre littérature livre Maspero ment miracle Mithra monde monuments mort Naville Nobounaga œuvre parousie passé Peroun Philostorge poème première presbytres primitive prince prophète publié question Rauch religieux religion Renouvier Rig-Véda romaine Rufin s'est sacré sacrifice saint Sanamkumâra semble serait seulement siècle sorte temple texte thiase tion traduction trait travail trouve Varuna védique volume zodiaque καὶ اس الله الله الله او این سر سوم سے له هم
Popular passages
Page 353 - ... Orphiques; il était devenu une simple amulette, et quelques phrases suffisaient. On voit quelles conséquences découlent de ce fait. La doctrine des Orphiques et celle d'Eleusis, comme l'ont constaté les anciens, présentaient une grande ressemblance, résultant de leur commune origine. Toutes deux avaient le même but : assurer à leurs adeptes l'arrivée au séjour des bienheureux. Nous venons de voir que les Orphiques croyaient y parvenir en enfermant dans le tombeau la copie ou les extraits...
Page 301 - Ils sont condamnés à subir une fois dans leur vie les douleurs de l'accouchement, pendant cinq jours et quatre nuits, ou pendant cinq nuits et quatre jours.
Page 210 - Les origines de l'Épiscopat. Étude sur la formation du gouvernement ecclésiastique au sein de l'Église chrétienne dans l'Empire romain (1** partie), par Jean RÉVILLE (épuisé).
Page 299 - Le seul homme que j'aimerais serait celui qui aurait ces trois couleurs-là: les cheveux noirs comme le corbeau, les joues rouges comme le sang, le corps blanc comme la neige.
Page 80 - Berry, le plus raffiné sans contredit d'entre les amateurs du xiv' siècle, fit exécuter à son intention, en i3<)t, une rosé d'une valeur de plus de 3oo florins, soit au moins une vingtaine de mille francs, au pouvoir actuel de l'argent. Or les rosés ne coûtaient d'ordinaire guère plus d'une centaine de florins. — Sur la forme et le poids des rosés pontificales pendant le moyen âge, les renseignements étaient des plus contradictoires ou des plus précaires. M. Mûntz, en s'appuyant sur...
Page 97 - ... le feu du ciel lui obéissent. Il annonce au roi Achab « que pendant sept années il n'y aura ni rosée, ni pluie, sinon sur sa parole »; il fait descendre le feu du ciel qui consume l'holocauste: il annonce et rend la pluie à la terre desséchée. Il se tient devant l'Éternel. « Et voici l'Éternel passait et un grand vent impétueux, qui fendait les montagnes et brisait les rochers, allait devant l'Éternel; mais l'Éternel n'était point dans ce vent. Après le vent, il se fit un tremblement,...
Page 185 - ... nature qu'il a créée. Le miracle est une intervention particulière de la volonté divine pour modifier la causalité naturelle établie. Ce sont là deux choses différentes. Les raisons que nous avons admises de rejeter le miracle n'ont point de rapport avec les arguments philosophiques pour ou contre la personnalité de Dieu, la création, la Providence générale, et même l'action divine particulière quand elle est supposée interne à l'âme, ou de l'ordre moral. Il n'est point vrai...
Page 231 - Ces changements, toutefois, ont eu pour point de départ, non une intention symbolique, mais la révolution même du goût. Tour à tour conique, puis renflée vers le milieu, finalement écrasée dans le haut, tour à tour surmontée d'une grosse pierre précieuse formant bouton ou d'un globe supportant une croix, la tiare a le plus souvent servi de thème aux fantaisies des joailliers (les orfèvres proprement dit n'y ont, d'ordinaire, travaillé qu'en sous-ordre, sauf pendant la première moitié...
Page 119 - Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau, sur le front, les serviteurs de notre Dieu.