Histoire des Français depuis le temps des Gaulois jusqu'en 1830, Volume 3Charpentier, 1856 |
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affaires allait alliance alliés Anglais armée armes assiégea Autrichiens avaient bataille Bavière Bourbon bourgeois Brandebourg c'était calvinistes campagne cardinal catholique cent Charles clergé Colbert commandement comte Condé conseil cour déclara devait donner duc d'Orléans duc de Savoie enfin ennemis envoya Espagnols étoit finances flotte force française François Ier gouvernement guerre Guillaume Henri Henri IV Hollande huguenots Impériaux jésuites l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'électeur l'empereur l'ennemi l'Espagne l'Europe laissa Ligue Lorraine Louis XIV madame de Maintenon maison d'Autriche maréchal Mayenne Mazarin menaça ment mille hommes millions ministre monarchie mort n'avait nation négociations noblesse paix parlement passa pays Pays-Bas pendant peuple Philippe Philippe IV politique Pologne porta pouvoir prince d'Orange prit protestants provinces Provinces-Unies puissance réforme refusa régent reine religion resta Rhin Richelieu royale royaume ruine s'empara s'était secours seigneurs seul siége soldats subsides Suède Sully Système de Law tion traité traité de Westphalie trône troupes Turenne vaisseaux voulait
Popular passages
Page 224 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 535 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
Page 429 - Tâchez de conserver la paix avec vos voisins. J'ai trop aimé la guerre: ne m'imitez pas en cela , non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites. Prenez conseil en toutes choses, et cherchez à connaître le meilleur, pour le suivre toujours.
Page 538 - Je tiens pour impossible que les grandes monarchies de l'Europe aient encore longtemps à durer : toutes ont brillé, et tout état qui brille est sur son déclin. J'ai de mon opinion des raisons plus particulières que cette maxime; mais il n'est pas à propos de les dire, et chacun ne les voit que trop ". caractères ineffaçables que ceux qu'imprimé la nature, et la nature ne fait ni princes, ni riches, ni grands seigneurs.
Page 434 - On buvait d'autant, on s'échauffait, on disait des ordures à gorge déployée, et des impiétés à qui mieux mieux, et quand on avait bien fait du bruit, et qu'on était bien ivre, on s'allait coucher, et on recommençait le lendemain.
Page 58 - Vous ne me connaissez pas maintenant, vous autres; mais je mourrai un de ces jours; et quand vous m'aurez perdu vous connoitre/ lors ce que je valois, et la différence qu'il ya de moi aux autres hommes.
Page 345 - ... trois sont fort malaisées, et embarrassées de dettes et de procès; et que, dans la dixième, où je mets tous les gens d'épée, de robe, ecclésiastiques et laïques, toute la noblesse haute, la noblesse distinguée, et les gens en charge militaire et civile, les bons marchands, les bourgeois rentés et les plus accommodés, on ne peut pas compter sur cent mille familles...
Page 423 - toujours été maître chez moi, quelquefois chez les « autres : ne m'en faites pas souvenir.
Page 345 - Par toutes les recherches que j'ai pu faire, depuis plusieurs années que je m'y applique, j'ai fort bien remarqué que, dans ces derniers temps, près de la dixième partie du peuple est réduite à la mendicité, et mendie effectivement; que des neuf autres parties, il y en a cinq qui ne sont pas en état de faire l'aumône à celle-là, parce qu'euxmêmes sont réduits, à très...
Page 84 - Cour, pour, avec le chancelier , les chambres assemblées , aviser sur les propositions qui seroient faites pour le service du Roi , le soulagement de ses sujets et le bien de son Etat.