Marie-Louise, l'île d'Elbe, et les cent-joursE. Dentu, 1885 - 311 pages |
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... parlait constamment de l'empereur Napoléon au petit Bonaparte , comme on appelait à Vienne l'infortuné roi de Rome . Elle apprenait à l'enfant à aimer son père , et à prier pour lui . L'empereur François agit graduellement . Il eut l ...
... parlait constamment de l'empereur Napoléon au petit Bonaparte , comme on appelait à Vienne l'infortuné roi de Rome . Elle apprenait à l'enfant à aimer son père , et à prier pour lui . L'empereur François agit graduellement . Il eut l ...
Page 18
... parlait plus que de ses immenses trésors et des prodiges qu'il allait accomplir . Les habitants étaient dans l'enthousiasme de leur nouveau souverain , pour lequel leurs imaginations méridionales s'enflam- maient , Le 6 mai , le vicaire ...
... parlait plus que de ses immenses trésors et des prodiges qu'il allait accomplir . Les habitants étaient dans l'enthousiasme de leur nouveau souverain , pour lequel leurs imaginations méridionales s'enflam- maient , Le 6 mai , le vicaire ...
Page 32
... parlait même de Napoléon qu'avec la noble franchise d'une ennemie , à la vérité , mais d'une ennemie qui ne fermait point les yeux sur les grandes qualités de ce prince . Assurée , par tout ce que lui disait l'impératrice , que ja- mais ...
... parlait même de Napoléon qu'avec la noble franchise d'une ennemie , à la vérité , mais d'une ennemie qui ne fermait point les yeux sur les grandes qualités de ce prince . Assurée , par tout ce que lui disait l'impératrice , que ja- mais ...
Page 46
... parlait de ses déboires , relativement au duché de Parme . Le comte Marescalchi , ancien ministre des relations extérieures du royaume d'Italie , homme très honorable et connu pour ses sympathies françaises , avait d'abord été chargé d ...
... parlait de ses déboires , relativement au duché de Parme . Le comte Marescalchi , ancien ministre des relations extérieures du royaume d'Italie , homme très honorable et connu pour ses sympathies françaises , avait d'abord été chargé d ...
Page 51
... parlait de son amour à Ulysse , .qui , au lieu de l'écouter , songeait à se défendre des prétendants . Après deux jours de repos , le cygne du Nord reprit la mer pour aborder aux myrtes de Baïes , emportant son petit dans sa yole ...
... parlait de son amour à Ulysse , .qui , au lieu de l'écouter , songeait à se défendre des prétendants . Après deux jours de repos , le cygne du Nord reprit la mer pour aborder aux myrtes de Baïes , emportant son petit dans sa yole ...
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Marie-Louise - L'île d'Elbe et les Cent-jours Arthur-Léon Imbert de Saint-Amand No preview available - 2016 |
Common terms and phrases
abdication acclamations allait Anglais août arriver autrichienne avaient baron bataille bataille de Waterloo bataillon Bellerophon Blücher Bonaparte bord du Bellerophon Bourbons c'était capitaine Maitland CENT-JOURS Chambre cheval choses coalition comte de Las comtesse devant dit-il drapeau Drouot duchesse ennemis époux femme fête fils française frégates garde général Beker général Drouot général Neipperg gloire gouvernement provisoire Grouchy impériale j'ai jour juillet juin l'amiral l'ancienne impératrice l'archiduchesse l'armée l'Autriche l'em l'empe l'Empire l'Europe l'île d'Aix l'île d'Elbe Labédoyère lettre Louis XVIII Louise Lucien Malmaison maréchal Marie-Caroline Marie-Louise mars matin Méneval ment mille hommes ministre Montesquiou Murat n'avait Napo nation navire nuit officiers palais palais des Tuileries passer patrie père pereur peuple Porto-Ferrajo prince de Metternich prince de Talleyrand princesse Prussiens quitter rade reine reste reur Rochefort royalistes Saale Sainte-Hélène Savary Schoenbrunn sentiments sera seul soldats souverain Talleyrand Torbay tricolore trône troupes Tuileries vaisseau venait Vienne voiture Waterloo
Popular passages
Page 210 - Français, en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés, et sur le concours de toutes les autorités nationales ; j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées.
Page 100 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 299 - Venait, comme un remords, t'assaillir loin du bruit ; Et que, les bras croisés sur ta large poitrine, Sur ton front chauve et nu, que la pensée incline, L'horreur passait comme la nuit ! Tel qu'un pasteur debout sur la rive profonde Voit son ombre de loin se prolonger sur l'onde, Et du fleuve orageux suivre en flottant le cours ; Tel du sommet désert de ta grandeur suprême, Dans l'ombre du passé te recherchant toi-même, Tu rappelais tes anciens jours.
Page 100 - Nous n'avons pas été vaincus. Deux hommes sortis de nos rangs ont trahi nos lauriers, leur pays, leur prince, leur bienfaiteur.
Page 77 - Quand, pour loger un jour ce maître héréditaire, On eut enraciné bien avant dans la terre Les pieds de marbre des palais; Lorsqu'on eut pour sa soif posé devant la France Un vase tout rempli du vin de l'espérance. . . . Avant qu'il eût goûté de ce poison doré, Avant que de sa lèvre il eût touché la coupe, Un Cosaque survint qui prit l'enfant en croupe Et l'emporta tout effaré!
Page 263 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 211 - France; puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne ! » Ma vie politique est terminée ! et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II, empereur des Français. » Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 63 - Il ya un pays où les joies sont visibles, mais fausses, et les chagrins cachés, mais réels. Qui croirait que l'empressement pour les spectacles, que les éclats et les applaudissements aux théâtres de Molière et d'Arlequin, les repas, la chasse, les ballets, les carrousels couvrissent tant d'inquiétudes, de soins et de divers intérêts, tant de craintes et d'espérances...
Page 189 - Pas un ne recula. Dormez, morts héroïques ! Le reste de l'armée hésitait sur leurs corps Et regardait mourir la garde. — C'est alors Qu'élevant tout à coup sa voix désespérée, La Déroute, géante à la face effarée, Qui, pâle, épouvantant les plus fiers bataillons, Changeant subitement les drapeaux en haillons...
Page 289 - Bellérophon , je fus sur le foyer du peuple britannique. Si le gouvernement, en donnant des ordres au capitaine du Bellérophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que me tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon.