C. Expériences avec vannage de la roue ouvert aux trois quarts. (1) La vanne s'était probablement dérangée, puisque le niveau de l'eau a baissé. D. Expériences avec vannage de la roue ouvert à moitié. (1) Avec une charge de 71kil.,285 et 66kil.,6161 on a eu une marche plus lente, et par conséquent on a réduit la charge à 60kil.,768. Le frein était exactement équilibré. Son bras de levier était 2,025. -Le poids qui a chargé régulièrement l'arbre de couche, indépendamment de celui qui était suspendu au bras du levier a été : kilog. Pour l'anneau en fer avec les pièces de remplissage et les clefs. 180.40 65.90 22.75 5.60 Pour le poids équilibrant. kilog. Pour calculer la pression du tourillon de l'arbre de couche, il faut compter le poids suspendu au frein déterminé ci-dessus. 330.71 619.66 Le poids de cet arbre de couche et le poids de la roue calée dessus. L'arbre en fer forgé a, sur une longueur de 10,37, un diamètre de 0,090, et sur une longueur de 0,54 aux deux têtes pratiquées aux extrémités Om,127 de diamètre; enfin il est pourvu d'un manchon creux de 0m,190, ayant une circonférence extérieure de 0.720. La roue calée sur cet arbre de couche a 54 dents espacées entre elles de 0.057 et pèse . . . Le poids de l'arbre de couche et du frein non chargé ou à vide placé dessus est donc de. Le diamètre des tourillons est égal à celui de l'arbre. Le Technologiste. T. XII. - Avril 1851. 25 219.70 1170.07 Dans le calcul de la colonne F, on a pris le coefficient de frottement = 0,075. Pour la colonne I, la quantité d'eau dépensée par seconde pour un déversoir a été déterminée par la formule dessus du seuil, était de 1 mètre. Dans le cas présent, on avait : B=1",145, Les valeurs particulières de pont été, pour les cas respectifs, déduites par l'interpolation des tableaux de M. Poncelet. On a cherché à établir une équation entre le travail absolu et la vitesse angulaire, la dépense pour la machine restant la même par la méthode sui vante. Une expression destinée à représenter les rapports qui existent entre la vitesse de circulation et le travail, la dépense restant la même (à vannage complétement ouvert), doit avoir pro bablement la forme R=bx+cx2, dans laquelle R est le travail par seconde et a la vitesse angulaire, attendu qu'il est à présumer qu'une portion de la résistance dépend de la première puissance de la vitesse et une autre de la seconde puissance. Un membre de l'équation affecté d'une puissance nulle .b2gh3, de a ne peut pas y figurer, car pour X= =0 il faut qu'on ait R=0. Les constantes b et c sont alors déterminées par la méthode des moindres carrés au moyen des équations I=[1+1,718(A.D)"] I: formule dans laquelle on a désigné par b la largeur du seuil du déversoir, h la charge au-dessus du seuil du bΣ (x2)+c(x3)=(Gx) ou G désigne le travail observé et x la h' la hauteur du seuil au-dessus du vitesse angulaire fond du canal, A la somme de h et h', H le coefficient d'écoulement. Le niveau mesuré de l'eau h, au no Or pour les expériences no 10 à 15, on obtient les valeurs suivantes : |