...par elle-même et sans une puissante protection. Charles-le- Chauve la releva; il y appela des savans étrangers, surtout des Irlandais et des Anglo-Saxons...sort de la France et que la France n'avait rien à enyier à l'antiquité. La part de l'emphase monastique est grande sans doute dans cette phrase ; mais...

...éclat que les contemporains en furent frappés comme d'une nouveauté. Au dire de Herric , rnoine de SaintGermain-l'Auxerrois, et de Wandalbert , moine...y devint telle que la Grèce aurait envié le sort delà France, et que la France n'avait rien à envier à l'antiquité. La part de l'emphase monastique...

...Scot, acquit un nouvel éclat. La prospérité des études y devint telle , disent les contemporains , que la Grèce aurait envié le sort de la France ,...la France n'avait rien à envier à l'antiquité. Le nombre prodigieux de copies qui furent faites des ouvrages de l'antiquité atteste le mouvement...

...savants étrangers , et elle prospéra tellement « que, suivant le même chroniqueur contemporain , la Grèce aurait envié le sort de la France, et que...la France n'avait rien à envier à l'antiquité. » Les esprits furent si frappés de l'éclat que jeta la culture des lettres sur la cour de ce prince,...

...releva l'école palatine, en y appelant des savants étrangers. Au dire d'un chroniqueur contemporain, la prospérité des études y devint telle «que la...sort de la France, et que la France n'avait rien à enviera l'antiquité.» Quoi qu'il en soit, le public du temps fut si frappé de cet éclat des lettres...

...appelant des savants étrangers. Au dire d'un chroniqueur contemporain. l,i prospérité des éludes y devint telle «que la Grèce aurait envié le sort de la France, et que la France n'avait rien à enviera l'antiquité.» Quoi qu'il en soit, le public du temps fut si frappé de cet éclat des lettres...

...l'état social qu'elle pût subsister par elle-même et sans une puissante protection. Charles le Chauve la releva; il y appela des savants étrangers, surtout...frappé de cette renaissance des lettres à la cour de Charles le Chauve, qu'au lieu de dire l'École du Palais (Schola Palatiî}, on disait le Palais de...

...l'état social qu'elle pût subsister par elle-même et sans une puissante protection. Charles le Chauve la releva ; il y appela des savants étrangers, surtout...frappé de cette renaissance des lettres à la cour do Charles le Chauve, qu'au lieu de dire l 'École du Palais (Schola Palatit), on disait le Palais...

...Herric, moine de Saint-Germainl'AuxiMTois, et de Wandalbert, moine de Prum, au diocèse de Trèves, la prospérité des études y devint telle que la...frappé de cette renaissance des lettres à la cour de Charles le Chauve, qu'au lieu de dire l'École du Palais (Schola falatif), on disait le Palais de l'Ecole...

...contemporains en furent frappés comme d'une nouveauté. Au dire de Herric, moine de Saint-Germain l'Auxerrois, et de Wandalbert, moine de Prum, au diocèse de Trêves...sort de la France , et que la France n'avait rien a envier à l'antiquité. La part de l'emphase monastique est grande sans doute dans cette phrase;...