1815: La première Restauration, le retour de l'ile d'Elbe, les cents jours, Volume 1 |
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12 mars armée armes arrêté arriva aurait avaient avant avril ayant bataillon Bonaparte Bourbons C'était Campbell capitaine Carnot cents Chambre chef cité Clarke colonel commandant compagnies conseil corps Corresp coup cour criant d'Angoulême Davout Déclaration demander départ Déposition devant donner Dossier duc d'Orléans écrit étr eût février Fleury former Fouché garde nationale garnison général gens gouvernement Grenoble Guerre heures hommes jour Journal juin l'armée l'empereur l'empire l'ile l'île d'Elbe l'ordre laisser lettre lieu ligne Louis XVIII Lyon Maison marche maréchal mars Arch Mém ment militaire mille ministre mois Moniteur n'avait n'était Napoléon nommé note nouvelle officiers ordres parle passer pendant peuple Peyrusse place police porte poste pouvait préfet premier prince pris Procès proclamation qu'un quitté Rapport régiment Relation reste rien route royalistes s'était sentiments serait seulement soir soldats Soult Talleyrand tion traité troupes trouvait Tuileries venait Vienne Vitrolles Vive volontaires voulait
Popular passages
Page 330 - Celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère ; il vient remettre notre patrie sous son joug de fer ; il vient enfin détruire cette Charte constitutionnelle que je vous ai donnée ; cette Charte , mon plus beau titre aux yeux de la postérité; cette Charte que tous les Français chérissent et que je jure ici de maintenir.
Page 578 - N'imitons pas l'exemple du Bas-empire, qui, pressé de tous côtés par les barbares, se rendit la risée de la postérité en s'occupant de discussions abstraites, au moment où le bélier brisait les portes de la ville.
Page 312 - Officiers, sous-officiers et soldats, » La cause des Bourbons est à jamais perdue ! La dynastie légitime que la nation française a adoptée va remonter sur le trône...
Page 465 - C'est qu'entre eux et moi, il ya même nature. Ils me regardent comme leur soutien, leur sauveur contre les nobles.... Je n'ai qu'à faire un signe, ou plutôt à détourner les yeux, les nobles seront massacrés dans toutes les provinces. Ils ont si bien manœuvré depuis dix mois ! .. .mais je ne veux pas être le roi d'une jacquerie.
Page 184 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 287 - ... nouveau, et pour la garantir de tout attentat qui menacerait de replonger les peuples dans les désordres et les malheurs des révolutions. » Et, quoique intimement persuadés que la France entière se ralliant autour de son souverain légitime, fera incessamment rentrer dans le néant cette dernière tentative d'un délire criminel et impuissant, tous les souverains de l'Europe, animés des mêmes...
Page 513 - jour sa peine, à chaque circonstance sa loi, à chacun sa nature. La mienne n'est » pas d'être un ange. Messieurs, je le répète, il faut qu'on retrouve, il faut qu'on » revoie le vieux bras de l'Empereur.
Page 381 - ... moi et ma famille ; mais, constant dans les dispositions qui m'avaient porté à ordonner que les membres de la famille des Bourbons pussent sortir librement de France , mon intention est que vous donniez des ordres pour que le duc d'Angoulême soit conduit à Cette , où il sera embarqué , et que vous veilliez à sa sûreté et à écarter de lui tout mauvais traitement.
Page 318 - Paris , ont résolu par représaille de faire main basse sur les royalistes qu'elles rencontreront : vous ne rencontrerez que des Français; je vous défends de tirer un seul coup- de fusil : calmez vos soldats; démentez les bruits qui les exaspèrent, dites-leur que je ne voudrais point rentrer dans ma capitale à leur tête, si leurs armes étaient teintes du sang Français (2).
Page 288 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui. « Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.